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Ce qui fait aussi le prix de "Restless", qui en fera sans doute un des plus beaux films de son auteur, c'est la manière dont il dépasse le système un peu figé (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
"Restless" est certainement un des films de Gus Van Sant les plus complexes et aboutis. Et comme il arrive souvent chez des artistes de cette envergure, ce n'est pas l'oeuvre la plus mystérieuse ni la plus difficile qui occupe cette place.
"Restless" donne une inflexion étonnamment pop à la filmographie de Gus Van Sant. Les intentions sont floues ; le résultat, lui, envoûte, et tient son équilibre miraculeux presque jusqu'à la fin. Un film imparfait, peut-être, mais un des films les plus surprenants de cette année.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Il faut être Gus Van Sant pour filmer les ébauches d'un baiser sans aucune niaiserie. Et rendre visible la naissance d'un amour condamné à la fulgurance.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Tout est léger, élégant, délicatement noir dans ce drame shakespearien joué par deux acteurs épatants, Henry Hooper (fils de Dennis) et Mia Wasikowska.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
"Un film mineur", comme on a pu l'entendre au dernier Festival de Cannes ? Un peu de tout ça, certainement : un film discret, moins ambitieux, entre les récits édifiants du grand Hollywood ("Harvey Milk") et les objets plus conceptuels ("Elephant", "Gerry"...). Entre le lyrisme orchestral et les sonorités minimales : une ballade folk, en somme.
À verser ainsi dans l'angélisme, le réalisateur prend parfois le risque de se laisser aller à une candeur et une innocence très adolescentes, justement. Mais c'est pour mieux trouver la tonalité qui convient, touchante et spontanée, à ce chant d'amour tout en émouvante légèreté, tandis que rôde toujours la Grande faucheuse.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Film mineur, léger comme une plume mais conçu comme tel, "Restless" est moins le signe d'une compromission de la part de Gus Van Sant que la preuve de l'éclatante santé de son cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Première
Peu à peu, les ficelles dramaturgiques se laissent oublier. Sur fond d'Elliott Smith, troubadour rock trop vite disparu, la délicatesse inouïe avec laquelle Gus Van Sant filme les moindres gestes des amoureux en sursis nous étreint une fois encore.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Tout juste y a-t-il là-dedans un principe narratif, exploité auparavant par GVS avec plus de brio, consistant à contempler le tragique à travers un étrange filtre adoucissant, utilisé avec une pudeur câline, comme pour communiquer les turpitudes baudelairiennes à tous les enfants de 7 à 77 ans.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le spectateur, lui, a 1h31 pour trouver un semblant d'intérêt à ce croisement entre "Harold et Maude" et un "Love Story" ado, élégamment réalisé par Gus Van Sant ( "Harvey Milk" ) mais dépourvu de surprises et d'émotion.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
On ne peut pas dire que le film fascine ou soulève l'enthousiasme. Il est lo-fi et en hypoglycémie stylistique. [...] Le film le plus faible de son auteur.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Monde
Ce qui fait aussi le prix de "Restless", qui en fera sans doute un des plus beaux films de son auteur, c'est la manière dont il dépasse le système un peu figé (...).
Cahiers du Cinéma
"Restless" est certainement un des films de Gus Van Sant les plus complexes et aboutis. Et comme il arrive souvent chez des artistes de cette envergure, ce n'est pas l'oeuvre la plus mystérieuse ni la plus difficile qui occupe cette place.
Critikat.com
"Restless" donne une inflexion étonnamment pop à la filmographie de Gus Van Sant. Les intentions sont floues ; le résultat, lui, envoûte, et tient son équilibre miraculeux presque jusqu'à la fin. Un film imparfait, peut-être, mais un des films les plus surprenants de cette année.
Elle
Il faut être Gus Van Sant pour filmer les ébauches d'un baiser sans aucune niaiserie. Et rendre visible la naissance d'un amour condamné à la fulgurance.
La Croix
Une oeuvre douce et envoûtante (...), une belle réflexion sur la vie, sa beauté, son miracle, sa brièveté et son inéluctable fin.
Le Figaroscope
Tout est léger, élégant, délicatement noir dans ce drame shakespearien joué par deux acteurs épatants, Henry Hooper (fils de Dennis) et Mia Wasikowska.
Les Inrockuptibles
"Un film mineur", comme on a pu l'entendre au dernier Festival de Cannes ? Un peu de tout ça, certainement : un film discret, moins ambitieux, entre les récits édifiants du grand Hollywood ("Harvey Milk") et les objets plus conceptuels ("Elephant", "Gerry"...). Entre le lyrisme orchestral et les sonorités minimales : une ballade folk, en somme.
Ouest France
À verser ainsi dans l'angélisme, le réalisateur prend parfois le risque de se laisser aller à une candeur et une innocence très adolescentes, justement. Mais c'est pour mieux trouver la tonalité qui convient, touchante et spontanée, à ce chant d'amour tout en émouvante légèreté, tandis que rôde toujours la Grande faucheuse.
Première
Film mineur, léger comme une plume mais conçu comme tel, "Restless" est moins le signe d'une compromission de la part de Gus Van Sant que la preuve de l'éclatante santé de son cinéma.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Télé 7 Jours
Un film étonnamment lumineux et léger.
Télérama
Peu à peu, les ficelles dramaturgiques se laissent oublier. Sur fond d'Elliott Smith, troubadour rock trop vite disparu, la délicatesse inouïe avec laquelle Gus Van Sant filme les moindres gestes des amoureux en sursis nous étreint une fois encore.
L'Express
Voir le site www.lexpress.fr
Le Journal du Dimanche
Gus Van Sant signe un film pas facile sur le papier, mais fluide et touchant, où les émotions affleurent sans pathos.
Le Point
Voir le site lepoint.fr
Chronic'art.com
Tout juste y a-t-il là-dedans un principe narratif, exploité auparavant par GVS avec plus de brio, consistant à contempler le tragique à travers un étrange filtre adoucissant, utilisé avec une pudeur câline, comme pour communiquer les turpitudes baudelairiennes à tous les enfants de 7 à 77 ans.
Le Parisien
Le spectateur, lui, a 1h31 pour trouver un semblant d'intérêt à ce croisement entre "Harold et Maude" et un "Love Story" ado, élégamment réalisé par Gus Van Sant ( "Harvey Milk" ) mais dépourvu de surprises et d'émotion.
Libération
On ne peut pas dire que le film fascine ou soulève l'enthousiasme. Il est lo-fi et en hypoglycémie stylistique. [...] Le film le plus faible de son auteur.
Metro
La mise en scène, léchée à l'excès, emprisonne les personnages derrière une vitre froide et incassable.
TéléCinéObs
La fantaisie du film est trop fabriquée pour que l'émotion affleure. On est dans le morbide chic.