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Mission accomplie. Porté par Kristin Scott Thomas, lumineuse et juste, et par l'ultra-convaincante Mélusine Mayance, son film marie le souffle et la sobriété.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
[Gilles Paquet-Brenner] préserve à tout moment la force et la sensibilité de son récit, par son habileté à installer l'émotion d'un cinéma populaire capable de donner à penser et à réfléchir.
Plutôt inattendu dans ce registre, Gilles Paquet-Brenner (...) signe, sans pathos ni mélo, une adaptation du roman de Tatiana de Rosnay dont on ressort bouleversé.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Un film populaire dans le sens noble du terme, à l'écriture solide et à la réalisation ample et efficace. (...) Une fresque de l'intime, toujours humaine et sensible.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Gilles Paquet-Brenner fait d'"Elle s'appelait Sarah" un bon film populaire, familial, qui sait éviter certains fâcheux écueils comme l'aspect larmoyant. On sent qu'il a travaillé son sujet, sur le fond et la forme, s'interrogeant sur le sens de tel ou tel mouvement de caméra et la limite entre sobriété et manque de créativité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
On reconnaîtra à Gilles Paquet-Brenner le souci de créer quelques personnages gris (...), d'avoir choisi un casting un peu hors des sentiers battus (...), et même de raviver un peu le récit par des détails fictionnels enfin inventifs (...), soucis qui font sortir quelquefois son film des rails du genre.
L'histoire allie ambition (la reconstitution du Vel' d'Hiv', la belle photo de Pascal Ridao), crescendo dramatique (...) et caractérisation des personnages (...) on regrettera toutefois quelques longueurs et un petit air de déjà vu (...)
La critique complète est disponible sur le site Première
(...) le film est pénalisé par la lourdeur des effets, entraînant le spectateur au bord du coma glycémique. Quant à la morale de l'histoire, elle est empreinte d'une psychanalyse lourdaude sur le thème de la révélation nécessaire de la vérité (...)
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le Figaroscope
(...) Paquet-Brenner signe un très beau mélodrame historique français. Émouvant et sincère.
Le Parisien
Mission accomplie. Porté par Kristin Scott Thomas, lumineuse et juste, et par l'ultra-convaincante Mélusine Mayance, son film marie le souffle et la sobriété.
20 Minutes
Ce film a toutes les qualités d'un bon thriller historique hollywoodien. Et il est brillamment interprété, ce qui ne gâche rien.
Elle
Cette pure fiction mélodramatique touche parce qu'elle sonne vrai (...).
L'Express
Voir le site l'Express.fr
Le Journal du Dimanche
C'est une histoire simple et bouleversante, entre enquête historique et drame intimiste, que nous raconte Gilles Paquet-Brenner.
Metro
(...) récit poignant (...)
Ouest France
[Gilles Paquet-Brenner] préserve à tout moment la force et la sensibilité de son récit, par son habileté à installer l'émotion d'un cinéma populaire capable de donner à penser et à réfléchir.
Paris Match
(...) ce drame historique, (...) manie avec pertinence les flash-back, au point de donner le sentiment de suivre deux films à la fois.
Télé 7 Jours
Plutôt inattendu dans ce registre, Gilles Paquet-Brenner (...) signe, sans pathos ni mélo, une adaptation du roman de Tatiana de Rosnay dont on ressort bouleversé.
Télérama
Un film simple et fort (...)
Brazil
Un film populaire dans le sens noble du terme, à l'écriture solide et à la réalisation ample et efficace. (...) Une fresque de l'intime, toujours humaine et sensible.
Critikat.com
Gilles Paquet-Brenner fait d'"Elle s'appelait Sarah" un bon film populaire, familial, qui sait éviter certains fâcheux écueils comme l'aspect larmoyant. On sent qu'il a travaillé son sujet, sur le fond et la forme, s'interrogeant sur le sens de tel ou tel mouvement de caméra et la limite entre sobriété et manque de créativité.
Excessif
Un film d'une rare sobriété.
Filmsactu
"Elle s'appelait Sarah" version cinéma se révèle fidèle au livre original : très classique dans la forme, mais nécessaire et émouvant.
Le Monde
La rafle du Vél' d'Hiv romancée.
Le Point
Voir la critique sur Le Point.fr
Positif
(...) il est indéniable que du strict point de vue historique et humain ce film a avant tout le mérite d'exister.
Les Inrockuptibles
On reconnaîtra à Gilles Paquet-Brenner le souci de créer quelques personnages gris (...), d'avoir choisi un casting un peu hors des sentiers battus (...), et même de raviver un peu le récit par des détails fictionnels enfin inventifs (...), soucis qui font sortir quelquefois son film des rails du genre.
Première
L'histoire allie ambition (la reconstitution du Vel' d'Hiv', la belle photo de Pascal Ridao), crescendo dramatique (...) et caractérisation des personnages (...) on regrettera toutefois quelques longueurs et un petit air de déjà vu (...)
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Le film – inévitablement émouvant – n'évite pas le symbolisme naïf et peine souvent à lier les deux époques avec fluidité.
Libération
(...) le film est pénalisé par la lourdeur des effets, entraînant le spectateur au bord du coma glycémique. Quant à la morale de l'histoire, elle est empreinte d'une psychanalyse lourdaude sur le thème de la révélation nécessaire de la vérité (...)