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Un visiteur
1,0
Publiée le 20 juillet 2009
Ce film à mal vieilli.Film réference pour de nombreux films, "Délivrance" n'est plus tout jeune. Il est temps de passer à autre choses comme réference, surtout que l'on a vu mieux depuis. Malgré son succes dans les années 70's, il s'avére que finalement, il est bourée de fautes de raccords ( A voir les apparitions/disparitions du chapeau de l'un des acteurs dans les rapides ) Sic...
Film qui partait d'une bonne idée mais qui m'a vraiment choquer, une scène en particulier à vraiment fini de m'achever c'est surement un très bon film mais il est insoutenable je ne suis pas aller jusqu'à la fin , déconseillé aux émotifs , au conformistes,aux grenouilles de bénitier et aux victimes de viol (vous comprendrez quand vous l'aurez vu).
Le film commence très bien en nous expliquant assez vite le contexte, sans trop ajouter de détails superflus, pour directement passer à l'histoire. Cela permet au spectateur de directement rentrer dans l'histoire sans s'endormir. La suite des péripéties est loin d'être attendue et c'est ce qui fait l'intérêt du film. Les personnages sont attachants, malgré des acteurs pas toujours justes. La réalisation est correcte, malgré quelques faux raccords ou trucages visible. Bref, ce film vaut le coup d'être vu !
Voici un film au suspense prenant, de très bons acteurs un super scénario et une merveilleuse nature comme décors. Que demander de plus, un chef-d'oeuvre en son genre. = 5 / 5
Certainement un film choc à son époque. Au prisme d'un regard contemporain, ça a bien mal vieilli. Même si ça conserve un charme désuet, c'est léger au niveau de l'action pour un spectateur d'aujourd'hui.
il est a voir , un vrai bon film qui met une vrai claque , surtout pour l époque ...et aprés on croit que le cinema est vraiment né au milieu des années 90 ? alors là il ny a qu a voir ce film pour comprendre Attention scénes qui font limite régner le silence dans une piéce ! incontournable
Un film qui a sacrément mal vieillit , le film met 1h avant de vraiment commencer , mais reste néanmoins dans une lenteur déconcertante, rajoutons a cela une scène de viol ridicule , le violeur hurleur plus que le type violé c'est limite drôle . Le film est rattrapé par de bon acteurs . Peut être culte a l'époque mais plus maintenant
A l epoque il auré pu merité les quatres etoiles mé en visionnant le film je n ai pas eté pris aux tripes surpassé par les oeuvres d aujourd hui( ce qui est logique ).Scenes barbares ,viols ,sauvagerie et surtout le moyen de survivre face a ce cauchemar.Quelque longueurs ,un debut un peu longué et forcement une realisation UN PEU FAIBLARD du a son ancienneté mais qui restera surement dans les annales pour les ancien spectateurs a leur époques.
Quatre citadins décident de "revenir aux sources" en descendant en canoé une des dernières rivières sauvages de l'état, avant que la vallée ne soit transformée en lac pour la construction d'un barrage. Sauf que le week-end au naturel se transformera en cauchemar... Oppositions entre citadins et campagnards, entre prétention et animalité, entre civilisation industrielle et communauté primitive toutes deux au bord de la décadence, beauté de la nature qui cache une dangerosité insoupçonnée : les thèmes abordés par "Deliverance" sont riches, et ont fait de ce film l'une des œuvres majeures de John Boorman. Au-delà de son fond intéressant, "Deliverance" est avant tout un film viscéral, qui offre autant de beaux paysages et belles scènes (le fameux duel de banjo !) que de passages plus cruels et violents, tournant à l'horreur. Une manière de rappeler la sauvagerie dont sont capables l'Homme comme la nature. Les quatre acteurs principaux sont par ailleurs en forme pour incarner des Américains moyens imbus d'eux-mêmes à divers degrés, dont le statut d'homme civilisé sera remis en question : Burt Reynolds en aventurier débrouillard mais pas infaillible, Jon Voight en disciple plus fragile, Ned Beatty en citadin insolent, et Ronny Cox en homme qui tente d'être plus ouvert et plus droit. Il s'agit d'ailleurs du premier rôle à l'écran pour ces deux derniers !
Sauvage et inquiétant. La promenade du dimanche va devenir une chasse à l'homme avec des êtres dégénérés qui sont assez horribles comme personnages!!!!! La jungle est un territoire de jeu sanglant et si peu à leur avantage. "L'expérience" va devenir aussi une découverte de soi-même. Un peu comme "sa majesté des mouches" où la nature bestiale de l'homme prend le dessus. On a enfin cette façon de filmer comme un regard qui traque et non qui suit les protagonistes. Plutôt angoissant et réussi.
Ah, les excursions en pleine nature avec ses beaux paysages... et sa dangereuse faune locale ! "Homo homini lupus est" comme disait l'Autre.
Avec "Délivrance", John Boorman signe ici son chef d'oeuvre. Une pépite de tension psychologique qui ne nous épargne aucune violence. Le nom du réalisateur n'est généralement pas associé à celui du "Nouvel Hollywood" mais ce long métrage en a toutes les caractéristiques comme cette liberté de ton "post-code Hays" rendant l'oeuvre subversive et choquante. Encore aujourd'hui, on est bousculé par la puissance de ce long métrage, grâce notamment à l'excellente maitrise de Boorman et à son casting.
Les chef d'oeuvre ne prennent pas de rides (ou des rides qui les embellissent). Au risque de jouer le vieux réac', les studios hollywoodiens savaient prendre des risques à l'époque contrairement à maintenant.
Reflet symbolique de la nature double de l'homme, aspirant au confort et au vernis de la civilisation tout en éprouvant de viles pulsions sauvages, la rivière alterne entre un calme apparent et de dangereux rapides. Tandis que Lewis exprime avec délectation son entité profonde voulue en adéquation avec les règles de survie en milieu hostile, ses trois compagnons sont confrontés à des doubles primaires d'eux-mêmes dont ils vont se rapprocher moralement dans leur désir de leur échapper. Battant en brèche le mythe du "bon sauvage", le récit illustre les bas instincts de l'Homme qui prend la nature pour prétexte soit d'un sursaut d'écologie hypocrite soit de catalyseur à sa violence. Un pamphlet qui questionne, malmène, bouscule.