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4 critiques presse
Libération
par Didier Péron
« The Big Lebowski » cerne de proche en proche l’ampleur de la vacuité névrotique qui sature l’ambiance et réduit nos désirs à néant. Sauf que, loin d’être un critérium de dépression, ce constat emporte avec lui une douce euphorie dans la quelle il est po
Positif
par Philippe Rouyer
Antihéros ontologique de l’Amérique contemporaine, le « Dude » n’en est pas moins l’un des protagonistes les plus férocement drôles, et les plus dérangeants, qu’aient inventés les frères cinéastes. Positif 447, mai 98.
Télérama
par François Gorin
[The big Lebowski] laisse plus sûrement une gueule de bois qu’un futur grand souvenir cinéphilique mais, franchement, qu’est-ce qu’on se marre. Télérama, 22 avril 98.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Ostria
Ainsi donc, alors que de nombreuses situations du film, et notamment les dialogues, sont percutants, bourrés d’humour bête et méchant, le film s’apparente finalement à une étude un peu condescendante sur la bêtise humaine. Cahiers du cinéma 523, avril 98
Libération
« The Big Lebowski » cerne de proche en proche l’ampleur de la vacuité névrotique qui sature l’ambiance et réduit nos désirs à néant. Sauf que, loin d’être un critérium de dépression, ce constat emporte avec lui une douce euphorie dans la quelle il est po
Positif
Antihéros ontologique de l’Amérique contemporaine, le « Dude » n’en est pas moins l’un des protagonistes les plus férocement drôles, et les plus dérangeants, qu’aient inventés les frères cinéastes. Positif 447, mai 98.
Télérama
[The big Lebowski] laisse plus sûrement une gueule de bois qu’un futur grand souvenir cinéphilique mais, franchement, qu’est-ce qu’on se marre. Télérama, 22 avril 98.
Cahiers du Cinéma
Ainsi donc, alors que de nombreuses situations du film, et notamment les dialogues, sont percutants, bourrés d’humour bête et méchant, le film s’apparente finalement à une étude un peu condescendante sur la bêtise humaine. Cahiers du cinéma 523, avril 98