Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
par Jean De Baroncelli
La mise en scène est d'une simplicité, d'une efficacité exemplaire. La photo est très belle. (…) L'interprétation parfaite. Le Monde, 15 mai 79
Positif
par Robert Benayoun
Woody Allen, le Philosophe sauvage, ronge jusqu'à la poussière l'os des civilisations en ménopause. Positif 222, septembre 79
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mairy
"Il adorait New York." Et on adore Manhattan. Point.
Cahiers du Cinéma
par Danièle Dubroux
Fiction pure du réel oublié et content de l'être, dérivant sur un flot de discours, il faut dire la modernité de ce cinéma-là. Cahiers du cinéma 302, juillet-août 79
Libération
par Gilbert Rochu
Woody Allen délaisse peu à peu le burlesque et le pastiche, pour un scénario plus cohérent, un humour toujours plus noir. Libération, 5 décembre 79
Télérama
par Alain Remond
Woody Allen nous est devenu indispensable : comment se passer de son regard à la fois lucide, cynique, tendre et amusé sur nos petits problèmes et nos grandes questions ? Télérama, 23 mai 79
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
La mise en scène est d'une simplicité, d'une efficacité exemplaire. La photo est très belle. (…) L'interprétation parfaite. Le Monde, 15 mai 79
Positif
Woody Allen, le Philosophe sauvage, ronge jusqu'à la poussière l'os des civilisations en ménopause. Positif 222, septembre 79
aVoir-aLire.com
"Il adorait New York." Et on adore Manhattan. Point.
Cahiers du Cinéma
Fiction pure du réel oublié et content de l'être, dérivant sur un flot de discours, il faut dire la modernité de ce cinéma-là. Cahiers du cinéma 302, juillet-août 79
Libération
Woody Allen délaisse peu à peu le burlesque et le pastiche, pour un scénario plus cohérent, un humour toujours plus noir. Libération, 5 décembre 79
Télérama
Woody Allen nous est devenu indispensable : comment se passer de son regard à la fois lucide, cynique, tendre et amusé sur nos petits problèmes et nos grandes questions ? Télérama, 23 mai 79