Derniers Avis : Space Jam - Page 4

Une comédie familiale divertissante et drôle avec un Bill Murray excellent et une histoire bien construite.

Un film assez sympa à découvrir pour passer un bon moment mais qu'on ne retiendra pas comme le film de l'année, les sportifs ne font pas tous de bons acteurs !

Michael Jordan et les Looney Tunes jouent au basket contre des extra terrestres. Rien que de dire cela on sait qu'il ne faut pas s'attendre au film du siècle. Mais il n'est pas horrible à regarder loin de la, il reste un divertissement familial correct les Looney Tunes sont amusants et la bo fonctionnent parfaitement, bref ça fait le boulot.

C'est mignon avec une âme d'enfant sinon... Les Toons sont excellents mais Jordan est vraiment en trop. On ne voit plus que lui au final. A voir si vous avez de la marmaille et que vous souhaitez vous la jouer nostalgie avec eux.

Une excellente comédie sur le basket Ball et les Looney toon, ou Micheal Jordan qui viens jouer au basket avec bugs bunny et ses amies. Ce film est sympa, drôle et divertissant, il permet de passer un bon moment.lanjoamtion est se qualité est fidèle au début et au dessin animé de l'époque des Looney toon
On est très vite pris dans l’histoire des looneys toons qui rencontrent le fameux Michael Jordan. Je trouve que c'est un bel hommage à ces héros de dessins-animés et qui, encore aujourd'hui, sont connus et produit par la Warner.
On retrouve bien dans ce film l'humour américain dans tout ses états !
Les scénaristes savent qu'avec les Looney Tunes (et pourtant je suis un fervent supporter de Disney et de la bande de Mickey) on peut tout faire tant que ça reste dans le non-vulgaire. Et ça marche. Le match final, qui dure près de 30-35 minutes est un condensé de comédie parfaite où même Michael Jordan nous fait du Ice Cube dans Are We Done Yet? avant l'heure. Le début du film, avec un Wayne Knight halluciné nous permet d'attendre patiemment. Ce savant dosage donne un super film du début à la fin.
trouvé et très drôle à l'image des héros cultes de la Warner.

On a tous un film qu'on a vu est revu dans notre enfance qu'ont trouvé géniale et une quinzaine d'années plus tard, on se dit: "eh! et si je le revois pour voir ce que s'est devenu ?" Pour ce film, le résultat fait mal. Très, très mal.
Le monde des Looney Tunes est en péril. De redoutables aliens veulent les exploiter sur leur planète. Pour Bugs et les autres héros de cartoon, leur seul espoir est de vaincre les envahisseurs à match de basket avec l'aide de la super-star de la NBA, Michael Jordan...
La réalisation n'est pas formidable: les mouvements de caméra sont bizarres, le cadrage n'est pas toujours génial, les prises de vues pas bonnes et la mise en scène ratée.
Le scénario est assez affreux: outre l'histoire bâclée, l'humour est archinul et pourtant les tunes sont drôles mais là... Les scènes sont longues, très longues, c'est téléphoné et tout respire le commercial et le placement de produit dégoûtant. Les acteurs sont très mauvais, l'écriture des personnages immondes et les dialogues stupides et totalement inutiles. J'entends déjà les: "c'est un fil pour enfants, ce n'est pas grave si ce n'est pas bien écrit". Euh... non. Ce n'est pas parce que c'est un film pour enfants qu'il faut écrire quelque chose de mauvais. Exemple ? Pixar. Studio de films pour enfants presque toujours superbement écrits.
La photographie de Michael Chapman est très terne, pas de changements de lumière et des couleurs très moches.
Le montage est trop simpliste, aucune originalité.
Les décors sont moches, les costumes ridicules et la musique pas top.
"Space Jam" est un mauvais produit de marketing et rien de plus

Un mariage original : Looney Tunes & Stars de NBA !
Les meilleurs basketteurs de la bonne vieille époque ont joué le jeu (Jordan, Ewing, Barklay, Johnson, Bogues, Malone, Bird...) pour notre plus grand plaisir. "Space Jam" fait partie des incontournables de notre enfance. Bien que le scénario soit invraisemblable et que le film ait pris un sacré coup de vieux, ça reste fun, les bons gags sont dispatchés ici et là, et la nostalgie pourra donc continuer d'opérer. Un match de basket orchestré par les Looney Tunes ne pourra que réserver une partie d’anthologie délirante.
"Space Jam" reste un ovni cinématographique, mais toutefois nettement moins excitant que son confrère "Qui veut la peau de Roger Rabbit ?".

Je l'avais loupé à l'époque alors que j'étais totalement fan de Roger Rabitt et des Looney. Je viens de voir cet ovni, c'est gentil. Très gentil, et très mal joué. Roger Rabitt reste un chef d'oeuvre.

Je garde un très bon souvenir de ce film. Même après l'avoir revu récemment il reste drôle et attachant quoique ayant un peu vieilli. Michael Jordan et Bill Murray portent beaucoup le film, mais l'humour Looney Tunes aide aussi beaucoup.

Space Jam est un film franchement passable.
L'animation est plutôt réussi mêlant avec brio animation et prise vue réelles. Mais c'est bien tout.
Les gags ne sont pas franchement percutants (même si un très jeune public peut être sensible à certains gags). J'ai trouvé les personnages moins intéressants que dans les séries animées Looney Tunes de la Warner Bros, Bugs Bunny compris. Ce film a tout de même le mérite d'introduire le personnage de Lola Bunny.
L'histoire est franchement faible. Les scènes de basket ne sont pas vraiment extraordinaire. Michael Jordan est moyen. Le design des extra-terrestres est hideux.
Je n'ai pas vraiment accroché.

Un classique de mon enfance qui n'a certes pas la même saveur plus tard mais reste une madeleine de proust via la présence de Michael Jordan et des personnages des Looney Tunes depuis un peu disparus.

Critique de "Space Jam".
Savoureux mélange entre humour réel et monde cartoonesque, Space Jam réussit un paris risqué. Michael Jordan ne sort pas le grand jeu mais s'en sort pas mal en tant qu'acteur. Le film nous offre un humour décapant avec les looney tunes. Space Jam un agréable divertissement même si l'on le juge un peu trop commercial. Le film n'est pas à prendre au sérieux, rien est à jeter. 3/5

Qu'est-ce que j'ai pu aimer ce film quand j'etais petit, et qu'est que je l'aime toujours quand je suis grand. Les gags, la bande originale, les clin d'oeil au monde du Basket, des toons, et du cinema, nous font totalement oublié la moyenne performance des effets speciaux (meme si les toons, restent parfaitement incrustés). Space Jam est une pepite pour les enfants !

Je m'attendais tellement à mieux que la déception est immense. Space Jam nous propose de plonger dans un match de Basketball endiablé avec 2 icônes symboliques du pays de l'Oncle Sam, Bugs Bunny et Michael Jordan. Autant vous dire tout de suite, si vous vous attendiez à un quelconque scénario, vous vous méprenez. On est bien dans une succession de sketch à la Warner Bros. sans originalité, ni l'efficacité qu'on peut retrouver dans un cartoon de 7 mn. Et c'est véritablement ici que le problème est considérable. A aucun moment (à l'exception de ceux qui ont été bercé dans leur enfance par ce film), le spectateur s'amuse. De plus, certains personnages du cartoon sont complètement mis de côté pour laisser la part belle aux classiques : Daffy, Bugs, Titi et Grosminet... Sans être complètement rater, le film manque le coche à l'exception des graphismes et de la qualité du dessin animé, tout de même sympathique. Une volonté de bien faire ne parvient pas toujours à faire un bon film, dommage ...

Une rencontre au sommet entre Michael « The Goat (pour Greatest Of All Time) » Jordan et Bugs Bunny. Oui, Bugs Bunny, l’histoire de cet improbable duo commence d’abord avec un spot TV de 90 secondes pour Nike. Le développement d’un film, Space Jam, commence alors, l’idée de base étant d’offrir une version alternative à la première retraite de MJ. En effet, par lassitude, celui-ci délaisse la NBA pour le baseball entre 1993 et 1995. Au delà de ça, le film sera très influencé par la vie de Michael Jordan. Le père d’His Airness occupe d’ailleurs un rôle important de le film. Voici la scène d’intro…

Le film sortira le 15 novembre 1996 pour le plus grand bonheur des fans de basket et des enfants en général. En fin de parcours, le film atteindra les 230 millions de dollars au Box-Office mondial, plus gros succès de tous les temps pour un film de basket, et est aujourd’hui considéré comme un classique. Imaginez un peu, c’est comme-ci Cristiano Ronaldo faisait un film avec les Minions.

Attention, l’histoire pique les yeux : le gérant extraterrestre tyrannique d’un parc d’attraction veut recruter les Looney Tunes et en faire ses bêtes de foire. Il envoie ses sbires, 5 misérables aliens de 20 centimètres de haut les bras levés, afin de les convaincre (gentiment ou non). Les Looney Tunes proposent un match de basket : si les aliens gagnent alors les Tunes seront leurs esclaves.

Conscients de leurs limites physiques, les 5 affreux volent le talent de 5 basketteurs (on reviendra là-dessus) et deviennent les Monstars, des bonhommes qui feraient chialer Kaaris en deux temps trois mouvements si vous voulez une image.

Sur terre, Jordan, alors joueur de baseball, est recruté par les Looney Tunes qui le traînent de force dans leur monde par l’intermédiaire du trou de golf (WTF). Il lui est confié la mission de transformer les Looney Tunes en une équipe capable de vaincre les Monstars au cours d’un match de basket. Une histoire complétement dingue, je vous l’accorde, qui propose de jouer sa vie au basketball ??? Bref, toujours est-il que le film est formidable !

4 ans seront accordés à la réalisation et ça se voit. Tout d’abord la technique utilisée et le fameux fond vert, est celle qui ouvre la voie aux Avatars et autres films de science-fiction modernes. Ensuite, le casting est tout simplement époustouflant ! Au casting : Bill Murray Wayne Knight (mais si le gros balourd de Jurassic Park voyons…) et Danny DeVito dans les rôles principaux. Outre Michael Jordan (qui ne joue pas si mal), la liste des joueurs qui apparaissent dans le film est impressionnant. Honneur aux vaincus, nous commencerons par les joueurs qui se font « voler » leur talent : Charles Barkley (un des plus grands trashtalkers de l’histoire du game), Shawn Bradley, Patrick Ewing (légende des New York Knicks), Larry Johnson et Muggsy Bogues (1m60 sous la toise et joueur NBA, je vous laisse imaginer la paire du bonhomme). Des stars telles que Larry Bird, Danny Ainge, Vlade Divac, Alonzo Mourning ou encore Charles Oakley apparaissent également au cours du film ! Un régal pour les fans. Concernant l’aspect cartoon, les Looney Tunes affichent complet et les Monstars sont charismatiques à souhait ! Vous vous retrouvez en face d’une équipe plus alpha que le mâle alpha lui même tout simplement.

L’influence de ce film en terme sur la pop-culture est assez extraordinaire, avec le temps les Jordan du film, par ailleurs magnifiques, deviendront devenues ultra-collector au même titre que le maillot des Tunes, qui beaucoup d’équipes actuelles doivent envier. Le site web, lui, n’a pas bougé d’un poil depuis 1996 (!).Que dire de la BO ? Vous savez on s’intéresse également à la musique et les fins connaisseurs que nous sommes (en toute modestie), vous conseille grandement ce soundtrack mythique. « I Believe I Caen Fly » de R.Kelly, qui était un peu plus haut, c’est pour Space Jam ! L’hymne des Monstars avec B Real, Busta, Coolio, LL Cool J & Method Man est complètement dingue. Si vous voulez un best-of de la musique urbaine des mid-90’s ne cherchez plus, vous avez trouvé la perle rare.

Enfin, Looney Tunes obligent, les vannes au cours du film sont d’une puissance… On ne fera aucun spoiler mais elles valent le détour et même Michael prend cher !

Source de revenue inépuisable, différentes collaborations entre Jordan Brand et l’univers de Warner Bros sont proposées depuis quelques mois. Blake Griffin, fan de la première a d’ailleurs droit à sa propre publicité avec Marvin le Martien. Apparemment, une suite avec tonton LeBron (qui d’autre pouvait prendre la suite à part le Chosen One ?) est dans les tuyaux… On attend le résultat avec impatience !