Mon compte
    Trainspotting
    Note moyenne
    4,1
    33732 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Trainspotting ?

    781 critiques spectateurs

    5
    307 critiques
    4
    288 critiques
    3
    99 critiques
    2
    61 critiques
    1
    13 critiques
    0
    13 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 avril 2007
    Excellent Film, d'une puissance comique et dangereuse, ponctué par un ebande d'excellents acteurs ( mentions speciales a Ewan MacGregor et Robert Carlyle) et d'une réalisation stylisée et bien maitrisée par Danny Boyle. De plus, la BO (Iggy Pop, Lou Reed...).

    Le film alterne facilement humour et émotion, nous plongeant dans un monde triste et déluré, où l'un des seuls echappatoires est la drogue. C'est la que l'on nous démontre la dangerositée de ces produits toxiques. Dans ce film, on découvre aussi une bande de potes ( composée d'un dealer, d'un truand, d'un escroc et des loosers) menée par Renton, qui craque, n'en peux plus de la vie qu'il mène et souhaite de se débarrasser de ses emmerdeurs de potes pour mener une vie normale avec Diane, une jeune mineure dont il est amoueux.

    LE meilleur film de Danny Boyle !
    Anonymous :)
    Anonymous :)

    59 abonnés 532 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 octobre 2013
    Adapté du roman du même nom de Irvine Welsh, "Traispotting" est un drame tragi-comique réalisé par Danny Boyle qui marque le renouveau du cinéma britannique. Le film décrit la vie d'un groupe de jeunes marginaux, accros à l'héroïne, dans la ville d'Édimbourg. Au chômage, comme la plupart des jeunes Écossais de sa génération, Mark Renton, qui pose un regard lucide sur sa condition de drogué, traîne dans la banlieue d’Édimbourg avec ses copains Sick Boy, le fanatique de James Bond et le tombeur de filles, Spud le gentil crétin, Begbie le dangereux désaxé cherchant toujours la bagarre et Tommy l'adepte de la musculation. Pour pouvoir se payer l’héroïne qu'ils prennent, sauf Begbie, qui s’en tient à l’alcool, et Tommy qui ne touche à rien et mène une vie saine, dans l’antre du dealer Swanney surnommé la « Mère supérieure », ils commettent de petits délits qui peuvent leur coûter cher. Pour son second long-métrage, le polyvalent Danny Boyle nous propose un film déjanté qui inspirera quelques années plus tard le célèbre "Arnaques Crimes et Botanique" de Guy Ritchie. Au-delà de l'addiction à la drogue, le film explore les conditions de vie sordides de la jeune génération dans une Écosse en pleine dépression économique. Mise en scène avec brio, le film nous raconte cette histoire de junkies shooté à l'héroïne de la meilleur des manières possibles. Oscillant parfaitement entre horreur et humour noir, décalé, potache, "Trainspotting" se singularise des autres comédies grâce à un scénario qui ose absolument tout (la plongée dans les pires toilettes d'Ecosse par exemple), ce qui en fait un divertissement unique. Le casting est vraiment excellent : la révélation Ewan McGregor, qui est vraiment parfait, Johny Lee Miller (son grand père interprété M dans les James Bond), Robert Carlyle et Ewen Bremner sont aussi excellents. Tous les personnages sont aussi charismatiques que loufoques, la BO est superbe très bien trouvée et envoûtante. Ainsi, "Trainspotting" est une très bonne comédie teintée d'humour noir typiquement britannique, aujourd'hui devenue culte.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 octobre 2006
    C'est culte, c'est grossier, c'est trash, c'est british jusqu'au bout des ongles, c'est porté par une géniale Brit pop, avec une merveilleuse ironie transpirant de toutes les séquences, et on nous épargne la morale vaseuse version requiem for a dream (la drogue, c'est mal, et en plus votre bras est tout bleu après). La scène d'OD sur Perfect Day vaut son pesant de fish and chips, quoique j'ignore si cette curiosité culinaire s'étend même jusqu'en Ecosse. Anyway, les acteurs sont impeccables, Robert Carlyle en tête, hallucinant, et même si Ewan McGregor s'est un peu rangé depuis, il a eu la bonne idée de débuter en se vautrant dans le mauvais goût le plus absolu, le plus assumé. On se console de Moulin Rouge avec Trainspotting, drôle, féroce et assez terrifiant, aussi. Reste à savoir si le film tiendra le choc du temps, et ne finira pas comme une ringardise potache, symptomatique du désenchantement "nineties", se démarquant en cela d'Orange Mécanique, le film culte que les années n'ont pas épargné, et auquel il a été comparé.
    J.J. Dixon
    J.J. Dixon

    18 abonnés 336 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 juillet 2013
    Une interprétation géniale des acteurs dans une histoire à la fois sombre et délurée, qui regroupe tous les genres. Entre scènes hilarantes, tristes, violentes, barrées, réalistes et j'en passe, "Trainspotting" ne laisse pas indifférent. Sur une excellente bande-son, ce film nous rend nostalgique des années 90, et pour répondre simplement à un critique cinéma du magazine "Le Monde", OUI, le long-métrage de Danny Boyle est bien le "Orange Mécannique" des Nineties !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 octobre 2012
    Le meilleur Danny Boyle que j'ai vu pour l'instant. (J'ai aussi vu "La Plage", "Sunshine", "127 Heures" et "Slumdog Millionnaire".) Une fresque déconcertante, dérangeante, à la fois drôle et violente.
    C'est ce mélange de comique et de violence que Danny Boyle maîtrise habilement, tout comme d'autres cinéastes : Quentin Tarantino avec "Pulp Fiction" par exemple, les Frères Coen avec "No Country for Old Men", David Fincher avec "Fight Club" ou Jean-Pierre Jeunet avec "Alien Resurrection".
    Ces six cinéastes (en comptant les jumeaux Coen) savent faire rire de choses pas drôles.

    Dans "Trainspotting", c'est aussi le cas. Ces jeunes écossais, livrés à eux-mêmes et perdus, vivent dans la mélasse, au sens figuré, mais parfois aussi au sens propre. Le film critique violemment la société dans ses déviances.
    Il condamne la débauche de la jeunesse des années 90. La drogue et le sexe commettent des dégâts considérables dans la vie de ces jeunes. spoiler: L'un d'entre eux meurt du Sida et il y a carrément la mort d'un nourrisson, dont les parents, très jeunes, étaient trop occupés à se droguer.

    Mais aussi, le film me semble beaucoup trop caustique à l'égard de la "vie bien rangée, sérieuse" pour la considérer comme idéale.
    Acteurs excellents, surtout Ewan McGregor et Robert Carlyle.
    Quelques répliques assez piquantes, et des scènes bien drôles et salaces, spoiler: comme le drap rempli de m**** qui éclabousse toute la famille pendant le dîner.

    Mémorable.
    Charlotte28
    Charlotte28

    95 abonnés 1 762 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 juillet 2022
    Ewan McGregor excelle. L'ambiance particulière est saisissante grâce à l'originalité esthétique ainsi qu'à l'inscription de l'intrigue dans son environnement culturel. L'ironie de la fin contribue grandement au sel du film -qui se laisse aller à quelques facilités scénaristiques par ailleurs-: honnête, cruelle, vraie.
    streptocock
    streptocock

    41 abonnés 214 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 août 2008
    A ce film on eut reproché qu'il incitât la jeunesse à consommer des substances illicites. Comme pour Requiem for a Dream, je ne vois absolument pas le bien-fondé de cette critique. Trainspotting est un film assez dur et non dénué d'une certaine violence psychologique qui se traduit moins par le langage (celui des junkies ne se démarque guère) que par l'image : certaines images acquièrent une force par un traitement léché de l'image, notamment par l'esthétisme des décors, à la fois sales et glauques, et par le physique des acteurs artificiellement malmené. Les scènes chocs qui jalonnent le film (notamment celle du nouveau-né, assez traumatisante) dressent plutôt un savant réquisitoire contre la dope et ses effets néfastes. Et surtout la difficulté à s'en défaire, symbolisée par l'histoire du personnage principal, campé à merveille par Ewan McGregor (que le film révéla). Entouré de ses amis avec qui il occupe ses journées à se défoncer avec des substances toutes plus illégales les unes que les autres (dont le très bon Ewen Bremmer), harcelé par une nymphomane mineure, il se rend compte de la médiocrité de son existence et s'engage dans un long repentir, un rachat aux yeux de la société. Portrait subtil d'une génération on ne peut plus complexe, Trainspotting est un très bon film qui mérite amplement le succès fulgurant dont il fut l'objet.
    Jules A.
    Jules A.

    14 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 janvier 2019
    La claque!
    Trainspotting est le meilleur film anglais que j’ai pu voir. Il est rapide, drôle, triste, tout y est.
    Cette histoire de toxico britannique est superbement réalisé par Danny Boyle avec un casting de qualité.
    Guillaume182
    Guillaume182

    123 abonnés 1 194 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 mars 2011
    Beaucoup de gens affirme que ce film est un chef d'oeuvre et qu'il n'est en rien comparable à "Requiem for a dream" Pourtant, le sujet et le même et les deux films sont sencés dénoncer les effets de la drogue.

    Seulement dans celui-ci qui est traité avec humour, personnellement je n'ai pas rit du tout, nous donne l'impression que finalement la drogue c'est cool et qu'il est plus ou moins facile de s'en sortir.

    Quelques scènes choquante, le film s'adresse à un public avertie et des acteurs au top notamment Ewan Mcgregor dans l'un de ses premiers rôle.

    Le message passe, mais le film est surestimé.
    Florent B.
    Florent B.

    54 abonnés 756 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 novembre 2018
    Trash et déjanté, où les situations comiques se mêlent à une détresse omniprésente. On assiste à une véritable descente aux enfers, que Boyle nous montre sous tous les angles. Chaque personnage dégage une personnalité qui nous permet de voir le monde de la drogue différemment. Un cinéma qui peut rendre mal à l'aise comme il peut faire réfléchir. Les acteurs sont parfaits. À voir.
    Sid Nitrik
    Sid Nitrik

    43 abonnés 416 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 mai 2014
    Dès son deuxième film, Danny Boyle réussit un petit exploit : cartonner au box office mais surtout marquer toute une génération. Bardé de scènes devenues cultes telles que la plongée dans les « pires chiottes d'Ecosse », l'accident gastrique de Spud, le bébé au plafond ou encore les différents pétages de câble de Francis Begbie (l'excellent Robert Carlyle), le réalisateur manipule sans vergogne un humour trash sur fond de drame social sur la jeunesse paumée de Glasgow. Il y a un soupçon de Loach chez Boyle, doublé d'un goût prononcé pour la culture psychédélique comme en témoigne une mise en scène très particulière à base de décors crasseux, de délires hallucinogènes, de personnages ravagés et de fonds sonores particulièrement en phase avec l'esprit du film (Iggy Pop, Blur, Lou Reed, Leftfield, New Order, Underworld... la BO est formidable). Ewan McGregor explose littéralement dans un rôle compliqué et la saleté ambiante permet de mettre efficacement en avant les ravages de la drogue. On lui reprochera de manquer parfois un peu de justesse dans la subversion, mais franchement on ne se lasse pas de cette pépite culte et vitaminée de décalage (par contre j'ai beaucoup de doutes quant à la pertinence d'un « Trainspotting 2 », apparemment annoncé pour 2016).
    ferdinand75
    ferdinand75

    466 abonnés 3 660 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 mai 2009
    Un film très important qui marquera vraiment son époque. C'est l'aboutissment et l'apothéose d'une culture underground, mais traité par une mise en scène assez classique empreinte de poésie , de beauté picturale et de trouvailles de génie. C'est aussi et bien sûr une critique sociale acerbe et un "document" exceptionel sur les années "post punk" et l'entrée dans l'ère libérale. Une bande son de haut niveau, dont plusieurs mmorceaux deviendront cultes , Une interprétation parfaite de cette bande de jeunes copains , qui feront tous une belle carrière. Et l'entrée par la grande porte pour Dany Boyle dans le cercle très fermé des grands réalisateurs
    L. Lawliet
    L. Lawliet

    17 abonnés 354 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 juillet 2021
    Ce film est un peu… Spécial !

    Aujourd’hui on s’attaque (vite fais) à :"Trainspotting", par le réalisateur de "28 Jours Plus Tard" !

    "Trainspotting" est également le deuxième long-métrage de Danny Boyle après "Petits meurtres entre amis". Pour ce film, le cinéaste britannique adapte avec son scénariste John Hodge le roman éponyme de Irvine Welsh. Il parle d'un groupe d'amis, et plus spécialement de Mark, drogués et au chômage, qui tentent de survivre dans l'illégalité. La drogue est donc au cœur de cette histoire. Ce n'est pas un sujet facile, néanmoins Danny Boyle ne s'en sort pas trop mal. On retiendra particulièrement les scènes de trip du personnage principal qui sont plutôt bien construites. Cependant, le réalisateur de *127 heures* semble constamment hésiter entre plonger réellement dans la comédie ou au contraire en faire une œuvre plus sombre. De ce fait, Trainspotting devient une sorte de mixte des deux, traitant d'un sujet grave de manière assez légère, évitant de devenir glauque, mais oubliant aussi de faire rire.
    Celui qui a produit "Battle Of The Sexes" a toujours dit que c’est un film déconseillé moins de 18 ans et clairement on le comprend.
    Surtout qu’on voit dans le film Ewan McGregor nue. Et je le rappelle, McGregor est celui qui joue Obi Wan Kenobi dans "Star Wars".. donc en gros comme dans "Halston", on voit Obi Wan À poil ! 😂
    Mais donc ce film est un long-métrage que je conseille avec même pas Bruno Choël en Vf mais ne Doubleur de DiCaprio.
    On connaît le superbe réalisateur qu’il a derrière ce film. Danny Boyle fait un film au même niveau que "Trance".
    Bref
    7/10
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 27 novembre 2011
    On met souvent en opposition le cas de la drogue dans le cinéma par deux films: Trainspotting et Requiem For A Dream. Si le second prend sa place dans les drames chocs, le premier prend un ton plus "léger" et moins dramatiques, même si certains passages mettent vraiment mal à l'aise. On reste dans le trip psychédélique et jamais il n'est fait l'apologie du pétard ou de l'héroïne. Mais le fait est qu'il marque moins que le film d'Aronofsky. Reste des acteurs incroyables, notamment Ewan McGregor totalement dans son rôle et une bande son qui fait mouche dès le départ ( Iggy et les Stooges, ça passe crème n'importe où ). Bref, un excellent film de Danny Boyle, mais sur le sujet le roi incontesté reste Requiem For A Dream.
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    99 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 mars 2013
    le film qui fit connaître Danny Boyle auprès du grand public. Trainspotting ou la version britannique de Requiem for a Dream. Les films n'ont certes que peu de choses en commun, mais comment ne pas y faire un rapprochement? Quoiqu'il en soit, il s'agit ici d'un film hautement surestimé. C'est sans doute cet humour noir british qui verra le film percer les âges, un film sans conteste d'un ton léger sur un sujet dur. Boyle propulse le public en Ecosse, Edimbourg, là ou l'on ne s'attendait pas vraiment à ce qu'il y dépeigne un monde nauséabond, crasseux et sans vraiment d'espoir. En somme, Boyle se force à rendre moche et délurée une ville touristique, un pays coutumier de traditions vieilles comme le monde en sombre contrée faite de briques rouges et de pubs miteux. Mais Boyle dépeint finalement une jeunesse sans le sous, camée jusqu'au os, incapable de projets d'avenir, les rares du groupes ne se droguant pas étant de violents salopards.

    C'est au travers du la voix-off du dénommé Renton, alias Evan McGregor, que nous fait vire le cinéaste sa vision de la drogue, des ses abjectes bénéfices personnelles mais aussi de ses aléas pour le moins dramatiques. C'est ici d'héroïne dont on parte, une drogue plongeant ses adeptes dans une transe paralysante, amorphe. Nos jeunes gens s'installent dans leurs appartements minables et crasseux ou chez leur dealer commun en vue de se shooté, s'étalier sur des matelas pourris pour se morfondre sous l'effet du pavot. Lorsque quelques solutions pour sortir de là sont envisagées, ces jeunes paumés en reviennent irrémédiablement à la piqûre, les choses ayant de mal en pis sans drogue. Bref, le discours du junkie est globalement assez simple et assimilable à celui d'un sportif égoïste, la drogue étant un échappatoire à une vie préconçue faite de télévision, de sortie dominicale et d'enfantement. Alors qu'ils croient avoir tout compris, Boyle démontre que leur mode de vie est tout aussi destructeur qu'indépendant.

    Le cinéaste semble toutefois ne pas accabler ses jeunes personnages, aux coupes de morts-vivants, leur donnant même parfois des élans de philosophie pas si mal torchés. C'est toutefois grace à la qualité des interprétations, McGregor, mais aussi Robert Carlyle ou encore Ewen Bremner, que Trainspotting sort du simple trip pour devenir un film social amicalement décalé, qui verra un brave gars devenu larve faute de consommation de drogue et que ne cesse de sortir de là alors que ses amis de shoot le suivent comme son ombre. Il faudra finalement sombrer dans la criminalité de haut vol pour que l'ami Renton saisisse l'occasion de recommencer sa vie, d'ou un final passablement bon enfant en regard à l'ensemble du film. Danny Boyle fait certes un film sur la drogue, mais surtout un film à la mode, un film sur une jeunesse perdue qui consomme ce que la loi leur défend de consommer, le principe même de la rébellion sociale.

    Léger, jamais aussi choquant que le film choc d'Aronofsky, toujours très tiré vers une culture britannique que le cinéma à fait connaître de par le monde et par dessus tout très digeste. Il n'empêche que je réitère mon propos, Trainspotting est surestimé, comme peuvent l'être Slumdog Millionnaire, du même réalisateur, ou encore le discours d'un roi et tout film au succès populaire irrémédiable qui trouvent dans leurs ombres respectives de bien meilleurs ouvrages de cinéma. Bref, Danny Boyle, maintenant très populaire et metteur en scène d'ouverture de JO, aura monté rapidement les marches du succès grâce à Trainspotting et ses idées indépendantes et très ouvertes le monde des camés. 12/20
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top