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L'ennemi absolu de ce cinéma, c'est la justesse, qui demanderait de la vraisemblance, de l'équilibre, de la mesure, alors que la vérité toujours excède, éclate, brûle.
Des premières brûlures aux cendres, la décomposition de l'amour selon Garrel. Avec cette fois une Monica Bellucci très émouvante et un usage raffiné de la couleur.
Philippe Garrel scrute la passion déclinante d'un peintre et d'une artiste dans l'Italie mythique du "Mépris" [...] Monica Bellucci y est enfin pleinement regardée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cette perpétuelle circulation entre les morts et les vivants, ce trafic de matières intime et fictionnelle, reconduit tout ce que l'on admire dans le cinéma presque primitif de Garrel.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ce film n'est pas l'un des chefs-d'oeuvre du cinéaste, mais on retrouve sa manière si identifiable de faire sourdre, dans les scènes les plus familières, une difficulté d'être à tailler au couteau.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
D'où vient cette impression que la mayonnaise ne prend pas complètement, et que ce sec "Été brûlant" émeut finalement assez peu ? Certainement pas de l'écriture de Garrel, toujours aussi lumineuse, magnétique, plastiquement puissante (les larges à-plats de couleur), porteuse de fulgurances sublimes et de mots imparables.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Cahiers du Cinéma
L'ennemi absolu de ce cinéma, c'est la justesse, qui demanderait de la vraisemblance, de l'équilibre, de la mesure, alors que la vérité toujours excède, éclate, brûle.
Les Inrockuptibles
Des premières brûlures aux cendres, la décomposition de l'amour selon Garrel. Avec cette fois une Monica Bellucci très émouvante et un usage raffiné de la couleur.
Libération
Philippe Garrel scrute la passion déclinante d'un peintre et d'une artiste dans l'Italie mythique du "Mépris" [...] Monica Bellucci y est enfin pleinement regardée.
Le Monde
Cette perpétuelle circulation entre les morts et les vivants, ce trafic de matières intime et fictionnelle, reconduit tout ce que l'on admire dans le cinéma presque primitif de Garrel.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Télérama
Ce film n'est pas l'un des chefs-d'oeuvre du cinéaste, mais on retrouve sa manière si identifiable de faire sourdre, dans les scènes les plus familières, une difficulté d'être à tailler au couteau.
Critikat.com
D'où vient cette impression que la mayonnaise ne prend pas complètement, et que ce sec "Été brûlant" émeut finalement assez peu ? Certainement pas de l'écriture de Garrel, toujours aussi lumineuse, magnétique, plastiquement puissante (les larges à-plats de couleur), porteuse de fulgurances sublimes et de mots imparables.
L'Express
Voir le site www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Philippe Garrel sait toujours composer de très beaux plans (...) mais entre ces moments d'intensité, le film a quelque chose de confus et de mou.
Le Parisien
S'il peut parfois sembler aride, cet " Eté brûlant " réunit des acteurs magnifiques [...] et ménage des séquences d'une émotion intense.
Le Point
Voir le site lepoint.fr
Première
Si ce constat désenchanté a la poésie désuète, il n'empêche nullement les moments de grâce.
TéléCinéObs
Sans prétendre renouer avec l'éblouissement habituel, Garrel a le cinéma dans le sang.
Positif
Trop, c'est le mot, pour tenir en un seul film, même signé Philippe Garrel.
La Croix
On s'ennuie ferme devant tant de grandiloquence désuète.
Le Journal du Dimanche
Ici, l'été est plus soporifique que brûlant.