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    Love Exposure
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    4,2
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    94 critiques spectateurs

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    Yetcha
    Yetcha

    772 abonnés 4 292 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 janvier 2016
    Mon premier Sion Sono, whaouh, c'est quoi ce délire? J'adore, des petites culottes, du gore, de l'engagement politique, de la polémique, c'est carrément décalé et purement jouissif. Malgré la très longue durée de ce film, j'ai adoré et on ne s'ennuie pas un instant. Je fonce voir d'autres réalisation de ce japonais fantasque.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 31 janvier 2015
    Si vous avez l'âme d'un pseudo intellectuel vous pourrez flatter votre ego en vous évertuant à dénicher du génie là où il n'y a rien de plus qu'une accumulation de scènes scabreuses particulièrement lourdingues et puériles. L'exotisme inhérent à tout film japonais empêche vraisemblablement certain d'apprécier ce film pour ce qu'il est : simplement mauvais.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 août 2012
    Le meilleur film de tous les temps! On y passe des rires, aux larmes et sans s'ennuyer pendant les 4 heures que durent le film. Autant de thèmes y sont traités mais le principal est l'adolescence, les problèmes qu'on ressent. Je ne sais pas comment décrire mais je sais juste que j'ai passé un super bon moment devant ce chef-d'oeuvre bien mieux que la plupart des films occidentaux décrit comme des oeuvre d'art...
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    114 abonnés 2 343 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 juillet 2021
    Un long film gentillement pervers qui aborde les déviances sexuelles et mentales sans temps mort....
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 septembre 2010
    (...) la croix symbolise toujours la victoire, lorsqu'elle est érigée. Ce que Florence Ehnuel nous dit en ces termes : "l'érection est un miracle au quotidien", un "saint-sacrement" ! elle écrivit son livre sur le "beau sexe des hommes" avant la sortie du film. convergence déconstructionniste quant à la civilisation judéo-chrétienne, et, a fortiori, les monothéismes... au-delà donc du projet de JL Nancy, c'est d'abord une critique de l'Un, du signifiant Maître, par le "Hentaï", c'est-à-dire la père-version ! Or, comme le dit Lacan, "Dieu est père-vers". Le passage du mystique au père-vers (ou l'inverse pour elle), se fait donc par un "miracle", l'érection du corps/coeur (la pulsion indifférencie les 2) dans la rencontre réelle ET imaginaire... les trois premiers chapitres structurent ce nouage avec brio, pour laisser place au 4ème, "lady Scorpion", ou la confusion sexuelle, la confusion politique, la confusion artistique... adolescence, c'est-à-dire expérimentation traumatique et aventureuse des corps d'abord, du monde ensuite, et donc, confrontation aux normes sexuelles d'abord, aux normes politiques ensuite... Il n'y a pas d'hétéro, pas d'homo... Bisexualité fondamentale, détournée par les rencontres, par la sagesse du Détour. Si chinois ici. Alors intervient la charge féroce contre l'Empire des simulacres, le spectacle du capitalisme qui est, selon Benjamin, "la religion absolue", ayant intégré le péché, "intériorisé la faute", autant dire : "Church Zero" ! Zero, car le principe est de neutraliser les émotions en réduisant l'Amour au sexe ou l'inverse... diviser, classer, stigmatiser, moraliser, etc. surtout : capturer par divers dispositifs, récupérer les monothéismes, absorber tout Un, s'en servir, par le Zero... face à ça, peu de solutions, de profonds traumatismes, des explosions enfin... la violence, l'attentat, le choc, cela permet de faire "doucement" s'effondrer l'Empire... mais peut-être que le prix à payer est trop fort... donc : PORNANARCHISME (...)
    Typi35
    Typi35

    46 abonnés 483 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 mai 2013
    Les deux premières heures peuvent se résumer en une chanson de Souchon : Sous les Juppes des Filles; mais ce n'est pas péjoratif, c''est d'ailleurs la partie du film que j'ai le plus appréciée -bien qu'il y ait quand même un contenu très intéressant derrière-.
    Puis le reste du film est très manichéen, bien trop pour être crédible : je ne pouvais pas m'apitoyer car je n'y croyais pas. Tout ça manque clairement de subtilité, on est constamment dans la surenchère (typiquement asiatique, qu'on retrouve aussi dans "the taste of tea")..
    Quand à ceux qui parlent de chef-d'oeuvre, ils se font bien berner et -au passage- c'est bien fait pour leur gueule. Le réalisateur semble découvrir le café au lait et gueuler partout "Et voiciiiii LE CAFE AU LAIIIIT !!!!!", ce à quoi toutes les oies applaudissent.
    Bref, un film correcte mais ça ne pisse pas loin. Par contre, la dernière heure/demi-heure contient de très bonnes idées et dégraisse la majeur partie du film de ses lourdeurs. Elle éclate tellement qu'on a l'impression d'avoir vu un ovni, mais il ne faut pas s'y tromper : c'est la faiblesse du début qui crée cette impression très complexe à analyser : on peut facilement faire l'amalgame entre l'émotion que nous a procuré le début et l'impression que c'est un passé, une nostalgie, comme construit dans le seul but de soutenir cette fin qui gomme tout et couvre tout. Astier disait que l'avantage d'un film long, c'est que même si on rate une scène en la rendant chiante et inutile, le spectateur l'oubliera dans le tout. Dans Exposure, il y en a un paquet !
    Sinon les musiques sont très bien choisies.
    Virevoltant sans virtuosité, le réalisateur sait parfaitement où il veut nous amener, même s'il nous arrache un peu par moments.
    Moorhuhn
    Moorhuhn

    121 abonnés 579 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 mai 2011
    Ca faisait longtemps qu'un film ne m'avait pas autant remué. En lançant ce film je me suis dit "Bon, j'espère au moins passer 4 heures sympas". A vrai dire à ce moment-là je ne savais toujours pas à quoi m'attendre, je ne savais pas encore que j'allais passer 4 heures merveilleuses devant un film qui allait me transporter, m'émerveiller, me faire passer du rire aux larmes sans me brusquer et qui, comme ça venu d'ailleurs, allait rejoindre mes films préférés de manière tonitruante!
    Car oui, Love Exposure est un film absolument merveilleux, une pépite nippone d'une richesse rare et d'une folie prenante. C'est fou ce que j'ai pu ressentir devant ce film, une fourmillière à émotions! Ce n'est pas l'aspect technique qui m'a plu le plus. A vrai dire j'accorde énormément d'importance à ça, la mise en scène ne m'a pas paru éblouissante au premier abord même si elle se révèle au final très réfléchie et parfaitement dans le ton du film. Et justement le ton de ce film... Cette ambiance... C'est tout bonnement quelque chose de fou! Jamais je n'ai vu une telle ambiance dans un film, et jamais je ne verrais la même ailleurs je pense. C'est un film qui même à la fois un côté loufoque à un côté tragique, et le tout sans que ça choque. Entre des scènes absurdes mais si drôles comme les séances de photographie, les personnages hauts en couleur et les scènes plus sombres, plus tragiques, plus injustes, c'est tout un univers qui nous est offert et qui nous parait à la fois réel et totalement surréaliste, Love Exposure donne l'impression de mélanger deux mondes.
    Ces personnages justement... J'ai adoré les personnages de Yu et de Yoko, ils sont si attachants et si émouvants, ce fut une merveille de suivre leur histoire pendant 4 heures, je m'étais totalement identifié à eux, je les adorais! Les autres personnages aussi sont énormes, je pense au père prêtre, lunatique au possible, qui semble tantôt déconnecté de la réalité et qui brusquement change du tout au tout.
    C'est dur de raconter précisément tout ce qui m'a plu dans LE, il y a tellement de choses, tellement de détails, tellement de scènes, c'est hallucinant. Il y a aussi un fond dans cette oeuvre, je ne dirais pas une dénonciation des sectes mais plutôt une critique du lavage de cerveau et de l'endoctrinement forcé.
    Love Exposure est une véritable expérience, j'ai ri aux éclats, j'ai eu les larmes aux yeux, je fus parfois bouche bée (le monologue de Yoko putain!). Des scènes fortes qui m'ont marqué, des semaines après j'avais encore des images plein la tête, les musiques qui parfois résonnent aussi et le souvenir toujours aussi vivace d'un film merveilleux et touchant, d'un de mes films préférés pour qui j'ai une affection énorme. Plus qu'un film, c'est une expérience et ca dépend surtout du ressenti de chacun. En tout cas pour ma part la sauce a plus que pris. Une véritable merveille!
    cinéman
    cinéman

    24 abonnés 745 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 février 2021
    Extrêmement original, Love exposure est une œuvre rare, frisant avec le surréalisme, qui alterne les scènes gores, humoristiques, érotiques, sentimentales tout en gardant un fil conducteur plausible… tout ça magnifié sur une musique classique majestueuse et envoutante. Un ovni. Même si on est tenté parfois de trouver que c'est un grand n'importe quoi, le sentiment d'adhésion triomphe. Les trois jeunes acteurs principaux sont excellents. Le rythme est soutenu et imprévisible. On tient facilement les 3h47 de ce film japonais sans faillir.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 juin 2012
    O-V-N-I exceptionnel !
    Pour mon premier Son Siono, ce fut un pur plaisir, 4h intenses, sans le moindre temps mort, où l'on ne voit pas le temps passer, où l'on est transporté dans cet univers hybride envoûtant. Le contenu est tellement riche, aborde une multitude de sujets sur la société japonaise et la déviance d'une certaine jeunesse, sur les croyances et les sectes, sur l'amour, l'amour de Dieu, l'amour paternel, l'amour de son prochain, la haine, la vengeance... pas la peine de tout énumérer, faudrait décrire chaque scène, chaque séquence pour pouvoir résumer cet ovni et ses idées véhiculées.
    Je savais que les asiatiques étaient doué pour le mélange des genres, notamment les coréens qui le maîtrisent parfaitement. Mais là c'est tellement WTF que même "Save The Green Planet" fait pâle figure par rapport à celui-ci. Déja rien que dans le découpage de l'histoire, c'est très poignant dès le début. Chaque chapitre nous présente le passé des 3 personnages principaux. Yu Honda, fils d'un prêtre lunatique manipulé par une femme hystérique, qui promet à sa mère défunte de lui présenter sa future Marie
    une fois qu'il l'aura croisée. Yoko, une fille traumatisée par son père qui l'aura maltraité durant toute son enfance, et qui la dégoûtera à vie des hommes. Et enfin Koike, une fille embrigadée avec la secte de l'Eglise Zero, et incarne la Tentation, le Mal en personne.

    La lonnnnnnnngue séquence d'intro permet de préparer la rencontre entre ces 3 merveilleux personnages (la fameuse révélation de "Marie", inoubliable, tellement drôle, émouvant et absurde).

    Ces personnages sont vraiment très forts, très puissants, on s'identifie dans chacun d'eux. On les comprends, on défend chacun de leurs points de vue, et on passe du rire aux larmes d'une scène à l'autre. Et c'est ce qui fait la richesse de ce film. C'est sûr l'histoire est tirée par les cheveux, tout est exagéré, y a ptêt un peu de giclées de sang en trop, ça frôle le teen movie par moments (prendre des photos sous les jupes des filles et en faire son métier , c'est juste totalement con mais tellement génial), mais il faut prendre le film comme un conte surréaliste, poétique.
    On retiendra bien sûr la séquence de Yoko et de Yu sur la plage, avec le monologue de l'amour de Yoko, et le magnifique plan du couple face à la mer.
    L'image est belle au naturelle, filmée un peu à la manière du Dogme95 par moments, avec un montage parfois volontairement sale, des gros plans en courte focale assez grossiers (ce qui rappelle Dogville de Lars Von Trier ou les premiers films de Wong Kar Wai), mais ça ne m'a pas choqué, je n'ai pas le mal de mer donc ça va. Mais on a également droit à des plans très travaillés, lors de séquences plus posées.

    En définitive ce chef d'oeuvre est une Ode à l'Amour, qui ne vous laissera pas indemne. Plusieurs heures après le visionnage on garde en tête la magnifique bande son omniprésente, comme par exemple le Boléro, morceau que j'adore. C'est le genre de film que revisionnerais très volontiers, pour déceler le moindre détail. Et ce, malgré les 4h qui peuvent paraître dissuasives au premier abord, mais au final on ne regrette pas, bien au contraire.
    Kiwi98
    Kiwi98

    244 abonnés 238 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 mai 2015
    Honnêtement, le mec qui a fait ce film et ceux qui l'ont distribué et édité sont des gros malades.
    En me laçant dans ce film, j'avais peur, pas peur de la durée exceptionnelle de quatre heures, ni de ce Sion Sono (ou Sono Sion chais pas) que je ne connaissais pas, ni de la mauvaise note de Aurea, ni du synopsis qui avait l'air con de chez con; j'avais peur d'un film trop subversif, d'un film trop loufoque, trop décalé qui me ferait vivre un moment bizarroïde auquel je n'adhérerai pas. Mais "Love Exposure" c'est typiquement le film que je n'aurai peut être jamais découvert sans SensCritique et mes humbles éclaireurs qui semblent presque tous s'extasier devant.
    Finalement, au grand dam de Sergio Leone ou d'un dimanche matin, je n'ai jamais vu quatre heures défiler aussi vite de ma vie. C'est dingue de penser que "Love Exposure" dure vraiment quatre heures, quatre heures c'est quand même le temps qu'on met pour faire un Paris-Marseille en train, c'est une après midi entière, c'est deux fois le cours d'art appliqué le lundi soir (une horreur). Et pourtant devant "Love Exposure", on a ce sentiment qu'il n'y a aucune longueur, rien ne vient gâcher cette paisible (ou pas) ode à l'amour, cet acte de cinéma unique. La vérité c'est que "Love Exposure" est bel et bien une oeuvre décalée mais d"une richesse incroyable. Tout ça entre la religion, les culottes, l'érection, l'inceste, les lesbiennes, un poseur de bombe, un kidnappeur et la septième symphonie de Beethoven...Mais le film garde sa certaine clarté, ce qu'il raconte est magnifique, entre l'ode à l'amour, au rêve, à la folie, au sexe, le tout dans son déluge onirique somptueux, dans sa force, sa tension. On passe du rire (la bande qui s'entraine à photographier sous les jupes des filles en se prenant pour des super héros, les petites culottes...) à la haine de certains personnages, notamment cette petite garce qui va castrer son propre père.

    "Love Exposure" c'est le film qui va nous faire passer des lesbiennes aux arts martiaux, de la religion à la secte, du virtuel à la vraie vie, du fétichisme à la grace. Le cadrage magnifiquement riche à chaque plan, les multiples émotions qui passent font du film un véritable tourbillons qui trouve son humanité lorsqu'il commence à parler d'amour. Sion ne tombe pas dans le piège de faire de l'absurde pour la jouer cool, il rend l'absurde incroyablement sublime, terriblement beau, et quand il le veut insoutenable. "Love Exposure" touche, bouscule, soulève des questions sur la religion, l'amour ... Mais le génie vient surtout du fait que en quatre heures, on ne distingue aucune perte de rythme, maintenir ce montage aussi jouissif pendant une aussi longue durée est un véritable prodige quand on voir la qualité du résultat final. De plus que le film se développe en deux partie totalement antonymes, il ne demande également aucune patience, distillant habilement et avec finesse ses différents thèmes et saveurs pour les réunir dans la symphonie finale à l'ahurissante beauté, et puis cette manière de filmé, "Love Exposure" est aussi beau qu'il est FOU ! Notamment rendu par des acteurs, certes un poil fébrile mais totalement dedans, donnant au film leur excitation permanente, une jeunesse absolue et insaisissable.

    Avec "Love Exposure", Sono Sion fait de la poésie avec de la folie et de l'érection, l'érection en effet, c'est que devant Marie que ça arrive, sinon c'est cassé.
    Julien D
    Julien D

    1 127 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 août 2013
    S’il avait pris fin au bout de deux heures, Love exposure aurait été un film à regarder avec plaisir mais sa durée effective de quatre heures transforme son visionnage en épreuve de volonté. Le début de son scénario déconstruit nous présente brutalement les sources religieuses des troubles de son personnage principal, promettant un film assez cru sur les dérives sectaires, puis ses activités faussement anarchistes se transforment vite en délirium autour de petits jeux sexuels très en vogue au Japon (photos de culottes et travestissement). Jusque-là tout va bien, le ton est léger et la mise en scène dynamique et pleine de poésie. Mais, au bout d’une heure, cet étrange teen-movie va prendre les allures d’une histoire d’amour impossible, dans lesquels vont se multiplier, de façon toujours aussi énergique mais difficilement déchiffrable, les situations les plus scabreuses pour justifier cette surenchère puérile de perversité cessée appuyer le lien étroit que Sion Sono veut faire du lien entre désir sexuel et endoctrinement religieux. Plus le film avance, plus il brasse du vent, ne faisant plus que se répéter, encore et encore. On finit par s’ennuyer devant ce spectacle qui pourtant au début passait vite mais qui, à force de tourner en rond, à grands coups de redites formelles et de moralisation pompeuse, devient réellement un calvaire cinématographique.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 juillet 2012
    Quelle claque !!!
    Certains l'ont dit : Ovni est le mot qui convient.
    Merci Shion Sono de m'avoir fait ré-apprécier le cinéma japonais.
    Théâtral, burlesque, drôle, touchant, triste, captivant, beau, religieux, érotique, frustrant, exaspérant, lent, dynamique, enfantin, profond. Ce film est un paradoxe ambulant. Rarement une oeuvre ne m'aura fait passer par autant d'émotions différentes pour ne pas dire antagonistes.
    En regardant ce film j'ai pensé à Miike, Tarantino et même à Orange mécanique (wtf?) de Kubrick c'est dire si j'ai été chahuté.
    Simplement hallucinant, un bijou comme on en trouve peu.
    Quatre heures d'intense bonheur cinématographique.
    J'en suis ému.
    Acidus
    Acidus

    641 abonnés 3 666 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 décembre 2013
    Il n'y a vraiment que les japonais pour nous pondre un film de ce genre. "Love Exposure" est un film ambitieux et globalement réussi bien que son extrême durée n'est pas toujours justifiée. Qu'à cela ne tienne, les quatre heures de ce long métrage passe relativement vite malgré de nombreuses irrégularités. Les bonnes idées en côtoient de moins bonnes (heureusement moins nombreuses) pour un rendu final complètement loufoque, complet et jouissif.
    Parkko
    Parkko

    138 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 novembre 2011
    Film fleuve, phare, ambitieux.
    Beaucoup de choses positives dans Love Exposure. Le mélange des genres est réussi, les jeunes acteurs sont convaincants, le réalisateur tisse en quatre heures une fresque immense, alternant les phases légères et les phases graves où il dénonce les fléaux de son pays. A noter qu'en quatre heures, je trouve juste que la dernière heure est vraiment longuette, sinon le reste passe bien. Pas mal de bonnes idées de mise en scène. Mais dans tout ça le réalisateur se perd parfois un peu. Certains passages sont moins réussis, et c'est regrettable (le début est la meilleure partie je trouve). Qui plus est, il faut le reconnaître, ce n'est pas le genre de film qui me transporte spécialement, mais je lui reconnais beaucoup de qualités déjà.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 janvier 2012
    Love Exposure est le genre de film coup de coeur ! Grandiose ! A voir de toute urgence !
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