Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
(...) le polar anglais qu'il ne faut pas louper cette semaine (...) le réalisateur est un petit malin qui s'amuse à jouer avec le spectateur en brouillant habilement les pistes. Réjouissant.
La critique complète est disponible sur le site Metro
La mécanique dramatique est un peu trop bien réglée pour emporter tout à fait le spectateur et la résolution en une seule image de ces trompe-l'oeil successifs laisse apparaître les efforts du scénariste. Le plus clair du temps, ces artifices sont masqués par une interprétation impeccable.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ce premier long-métrage d'un jeune scénariste britannique révèle un réalisateur bourré de talent qui parvient à tenir en haleine le spectateur de bout en bout.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
(...) ce film au budget minuscule, réaliste jusqu'au sordide, parvient à prendre le spectateur en otage grâce à des rebondissements imprévisibles. Son scénario, servi par un casting pertinent, nous dribble jusqu'au dénouement, sans jamais perdre de vitesse.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Longtemps la mise en scène rythmée et carrée entretient dans sa rigueur mécanique une tension et un suspense prenants. Mais cette efficacité (...) se perd peu à peu dans des rebondissements incongrus qui tirent plus volontiers vers le ridicule que sur le supplément de noirceur.
L'originalité de ce polar est de pimenter l'intrigue habituelle de questions annexes. Jusqu'au moment où l'on comprend que cette velléité à faire du neuf n'est qu'un dispositif.
La critique complète est disponible sur le site Première
Malgré une mise en scène à huis clos qui nourrit la tension et une interprétation honnête de Gemma Arterton, ce polar indépendant britannique pêche par son scénario classique aux rebondissements prévisibles.
De ce pitch, on peut déduire la fin, qui est exactement celle qu'on imagine. Mais là n'est pas le problème. Le hic, c'est une théâtralité appuyée, qui ôte toute force au processus.
(...) on a vite fait de regarder sa montre tant ce huis clos enchaîne les coups de théâtre sans se soucier de leur crédibilité psychologique et vire au grotesque.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Le Figaroscope
Autant dire que l'on se laisse vite prendre par ce huis clos efficace, servi à point par l'ex-James Bond girl Gemma Arterton et Eddie Marsan.
Metro
(...) le polar anglais qu'il ne faut pas louper cette semaine (...) le réalisateur est un petit malin qui s'amuse à jouer avec le spectateur en brouillant habilement les pistes. Réjouissant.
Impact
[...] thriller malin qui tire le meilleur parti de son micro budget.
Le Monde
La mécanique dramatique est un peu trop bien réglée pour emporter tout à fait le spectateur et la résolution en une seule image de ces trompe-l'oeil successifs laisse apparaître les efforts du scénariste. Le plus clair du temps, ces artifices sont masqués par une interprétation impeccable.
Le Parisien
Ce premier long-métrage d'un jeune scénariste britannique révèle un réalisateur bourré de talent qui parvient à tenir en haleine le spectateur de bout en bout.
Paris Match
(...) ce film au budget minuscule, réaliste jusqu'au sordide, parvient à prendre le spectateur en otage grâce à des rebondissements imprévisibles. Son scénario, servi par un casting pertinent, nous dribble jusqu'au dénouement, sans jamais perdre de vitesse.
Excessif
(...) Mais, même à son niveau, J. Blakeson, ne convainc pas et s'empêtre malheureusement dans la tension qu'il tentait de mettre en oeuvre.
La Croix
Ce premier film d'un jeune cinéaste britannique a été réalisé avec un tout petit budget. De cette économie de moyens, il a su tirer une grande force.
Le Point
Voir le Point.fr
Ouest France
Longtemps la mise en scène rythmée et carrée entretient dans sa rigueur mécanique une tension et un suspense prenants. Mais cette efficacité (...) se perd peu à peu dans des rebondissements incongrus qui tirent plus volontiers vers le ridicule que sur le supplément de noirceur.
Première
L'originalité de ce polar est de pimenter l'intrigue habituelle de questions annexes. Jusqu'au moment où l'on comprend que cette velléité à faire du neuf n'est qu'un dispositif.
Télérama
Le jeune réalisateur abuse un peu des rebondissements. Mais sa mise en scène stylisée et l'interprétation, fiévreuse, captent l'attention.
Brazil
La disparition d'Alice Creed n'est pas prise chou mais quand même pas très excitant. ZZZzzzzz.
Le Journal du Dimanche
Malgré une mise en scène à huis clos qui nourrit la tension et une interprétation honnête de Gemma Arterton, ce polar indépendant britannique pêche par son scénario classique aux rebondissements prévisibles.
Les Inrockuptibles
De ce pitch, on peut déduire la fin, qui est exactement celle qu'on imagine. Mais là n'est pas le problème. Le hic, c'est une théâtralité appuyée, qui ôte toute force au processus.
Positif
Les premières minutes laissent espérer un bon film. (...) La suite est moins convaincante (...).
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
(...) on a vite fait de regarder sa montre tant ce huis clos enchaîne les coups de théâtre sans se soucier de leur crédibilité psychologique et vire au grotesque.
Critikat.com
Le film se noie dans un récit lourdingue à la limite du grotesque, où les personnages ne sont que des pantins au service d'un scénario mécanique.