Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
(...) Redford (...) signe un faux thriller mélancolique, inquiet (...), qui dialogue, à vingt ans d'écart, avec "A bout de course", ce chef-d'oeuvre méconnu réalisé par Sidney Lumet en 1988 sur un sujet similaire.
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
(...) Un divertissement intelligent qui se laisse apprécier de bout en bout. Parce qu'il est nourri des engagements d'une personnalité de tempérament sur lesquels les années n'ont pas prise.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
En adaptant le roman de Neil Gordon, "Le Dernier d'entre nous", Robert Redford propose un vrai sujet cinématographique, mais ne va le traiter, au fond, que comme un objet.
La critique complète est disponible sur le site Positif
La mécanique du thriller parano est un peu rouillée (on n’est pas chez Alan J. Pakula), mais tant pis. "Sous Surveillance" se regarde surtout pour son joli défilé de vieilles gloires.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sous couvert de thriller paranoïaque (...) [le film] parle avant tout de désabusement, d'idéalisme mort. Le scénario (...) aimerait en dire long sur l'état du pays et en dit finalement autant - voire plus - sur l'humeur de Robert Redford, artiste engagé, homme de gauche.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Deux ans après "La Conspiration", Redford persévère donc en déambulateur, et sans flamme intérieure pour s’éclairer, dans une voie qui exigera toujours plus qu’un humanisme fatigué et une incertitude de vieux militant revenu de tout pour arriver à ses fins.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
(...) rien ne va plus trop dans ce film. Ni l'histoire, ni le rôle qu'il se donne, ni les capacités qu'il se figure avoir, ni la réplique que son film semble vouloir donner à son contemporain Clint Eastwood, confirmant que le troisième âge se porte décidément mieux à droite qu'à gauche.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
Le film prend son temps en approfondissant les troubles des personnages mais reste haletant de bout en bout.
Charlie Hebdo
(...) Redford (...) signe un faux thriller mélancolique, inquiet (...), qui dialogue, à vingt ans d'écart, avec "A bout de course", ce chef-d'oeuvre méconnu réalisé par Sidney Lumet en 1988 sur un sujet similaire.
L'Express
Voir le site de l'Express.
Ouest France
(...) Un divertissement intelligent qui se laisse apprécier de bout en bout. Parce qu'il est nourri des engagements d'une personnalité de tempérament sur lesquels les années n'ont pas prise.
Télérama
A travers son héros, [Robert Fedford] se peint en éternel cavalier solitaire. Mais il dit aussi son souhait de passer le témoin, de transmettre.
Ecran Large
Redford passe le témoin des "Hommes du président" à un Shia LaBeouf qui se décide enfin à justifier son statut d’acteur jusqu’ici surestimé.
Les Fiches du Cinéma
Robert Redford réalise un honnête film de cavale, divertissant mais passant à côté de ses enjeux.
Positif
En adaptant le roman de Neil Gordon, "Le Dernier d'entre nous", Robert Redford propose un vrai sujet cinématographique, mais ne va le traiter, au fond, que comme un objet.
Première
La mécanique du thriller parano est un peu rouillée (on n’est pas chez Alan J. Pakula), mais tant pis. "Sous Surveillance" se regarde surtout pour son joli défilé de vieilles gloires.
TF1 News
Sous couvert de thriller paranoïaque (...) [le film] parle avant tout de désabusement, d'idéalisme mort. Le scénario (...) aimerait en dire long sur l'état du pays et en dit finalement autant - voire plus - sur l'humeur de Robert Redford, artiste engagé, homme de gauche.
Télé 7 Jours
[Un] thriller de facture très classique que l'on suit, sinon avec passion, du moins avec plaisir.
CinemaTeaser
À trop vouloir lorgner vers ses heures de gloire, Redford sombre au final plus dans un rythme ronflant que dans l'efficacité old school.
Critikat.com
L'heure n'est plus aux utopies politiques, les Weathermen ont délaissé la lutte armée pour devenir de bons pères de famille.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live
Transfuge
Le film, à l'ouverture classique mais prometteuse, finit par s'essouffler à l'instar de ses protagonistes.
TéléCinéObs
Ce thriller politique en forme d'autoportrait navigue entre désinvolture et narcissisme.
aVoir-aLire.com
Deux ans après "La Conspiration", Redford persévère donc en déambulateur, et sans flamme intérieure pour s’éclairer, dans une voie qui exigera toujours plus qu’un humanisme fatigué et une incertitude de vieux militant revenu de tout pour arriver à ses fins.
Elle
Robert Redford est culte, mais n'est-ce pas le film de trop ?
Le Monde
(...) rien ne va plus trop dans ce film. Ni l'histoire, ni le rôle qu'il se donne, ni les capacités qu'il se figure avoir, ni la réplique que son film semble vouloir donner à son contemporain Clint Eastwood, confirmant que le troisième âge se porte décidément mieux à droite qu'à gauche.
Les Inrockuptibles
Redford réalise un film au mieux maladroit (la mécanique du thriller, très datée), au pire franchement antipathique.