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La première partie du "Congrès" nous laisse terrassé par l’émotion. (…) Puis, dans le dédale de cette science-fiction échevelée jusqu’à la confusion, on se sent perdu mais on a la sensation aussi que quelque chose gonfle (…) "Le Congrès", dans son délire, ne racontait que cela : l’histoire d’un enfant fragile et de sa mère, une actrice qui avait peur.
Ce film fantastique est une véritable réflexion sur l'hypertechnologie du cinéma d'aujourd'hui, la montée en puissance de la 3D et, surtout, sur le risque de perdre (...) l'essentiel de ce qui nous meut vers les salles, l'émotion!
La critique complète est disponible sur le site Elle
Un sujet passionnant que le réalisateur israélien de "Valse avec Bachir" nous raconte dans cette fable futuriste qui mélange images réelles et animation.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
(...) Ari Folman, qui avait déjà mêlé bande-son documentaire et images animées dans "Valse avec Bachir", parvient [dans "Le Congrès"] à établir une cohérence profonde entre son histoire et la technique utilisée.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Sous la forme d’un cri du cœur contre le jeunisme et la course technologique post-Avatar, "Le Congrès" réunit ses thématiques dans un puzzle à moitié animé.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Folman est un philosophe badin maniant les changements de tons avec virtuosité. Son film n’est pas exempt de maladresses, mais son originalité force au respect.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Tout film digne de ce nom se doit d’être un dépaysement vers un autre monde. A la vision du "Congrès", nous sommes intellectuellement mais aussi physiquement chamboulés.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Frôlant le surréalisme, flirtant avec les hallucinogènes, ce film à part est plus qu’un voyage, c’est un trip. Que vous en reveniez enthousiaste ou souffrant du mal des transports, vous ne serez pas près d’oublier ce Congrès.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Epoustouflant, vertigineux, brillant par moments, traversé de fulgurances, mais aussi boursouflé, à la limite du kitsch, ridicule et plus que décevant par d'autres. (...) mais assez extraordinaire pour ne pas passer à côté.
Si l'on est qu'à moitié convaincu par l'animation du personnage de Robin Wright et par le développement narratif parfois nébuleux et confus, (...) "Le Congrès" reste néanmoins une expérience extra sensorielle étonnante.
Les premières cinquante minutes du "Congrès" sont, de loin, les plus intéressantes (...). Vient ensuite le temps des images animées, et c'est là que le film se perd (...), et l'on se demande de surcroît pourquoi [cette partie] s'étire durant plus d'une heure.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La première partie (...) reste (...) une leçon d'écriture et de jeu. Elle s'achève en apothéose (...). Mais à ce morceau de bravoure succède (...) un capharnaüm sans nom ni corps.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
C’est dans les moments où la surdose visuelle s’interrompt que le film gagne en intensité. (...) Mais, à force de tant de clins d’œil, de tocades rétromaniaques, Folman décridibilise l’animation, la sienne comme le genre même.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Après un climax ébouriffant (...), le film opère un radical virage esthétique et dramatique : aux prises de vues réelles succède l’animation, (...) [qui] ne convainc pas.
La critique complète est disponible sur le site Première
(...) la première partie semble mieux tenir son cap, et montrer la dématérialisation des corps avec plus de force que la partie animée, handicapée par sa surcharge visuelle et discursive évoquant un trip à l'acide. Gare à la descente.
En quelques scènes brillamment dialoguées, Ari Folman orchestre la confrontation entre un monde finissant (...) et une nouvelle ère (...). Et puis ? Patatras. Le passage à l'animation fait l'effet d'une greffe ratée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Un film riche, offrant plusieurs pistes de réflexion particulièrement intéressantes. Mais la forme, d'abord si douce, se fait trop revêche pour inciter à se plonger dans les thèses de Folman.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
D’une actrice contrainte de signer un contrat qui a tout du pacte avec le diable à un univers cartoonesque un brin hystérique, on ne comprend pas toujours où veut nous mener le cinéaste avec ce voyage dans le temps, l’espace et les genres.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Cahiers du Cinéma
La première partie du "Congrès" nous laisse terrassé par l’émotion. (…) Puis, dans le dédale de cette science-fiction échevelée jusqu’à la confusion, on se sent perdu mais on a la sensation aussi que quelque chose gonfle (…) "Le Congrès", dans son délire, ne racontait que cela : l’histoire d’un enfant fragile et de sa mère, une actrice qui avait peur.
Elle
Ce film fantastique est une véritable réflexion sur l'hypertechnologie du cinéma d'aujourd'hui, la montée en puissance de la 3D et, surtout, sur le risque de perdre (...) l'essentiel de ce qui nous meut vers les salles, l'émotion!
Le Parisien
Un sujet passionnant que le réalisateur israélien de "Valse avec Bachir" nous raconte dans cette fable futuriste qui mélange images réelles et animation.
Mad Movies
(...) Ari Folman, qui avait déjà mêlé bande-son documentaire et images animées dans "Valse avec Bachir", parvient [dans "Le Congrès"] à établir une cohérence profonde entre son histoire et la technique utilisée.
Metro
Sous la forme d’un cri du cœur contre le jeunisme et la course technologique post-Avatar, "Le Congrès" réunit ses thématiques dans un puzzle à moitié animé.
20 Minutes
Folman est un philosophe badin maniant les changements de tons avec virtuosité. Son film n’est pas exempt de maladresses, mais son originalité force au respect.
L'Humanité
Tout film digne de ce nom se doit d’être un dépaysement vers un autre monde. A la vision du "Congrès", nous sommes intellectuellement mais aussi physiquement chamboulés.
Le Point
Voir le site du Point.
Les Inrockuptibles
L’emballement narratif (et graphique), qui (...) risque, avouons-le, d’en perdre certains – est ce qu’il y a de plus vertigineux dans "Le Congrès".
Paris Match
Frôlant le surréalisme, flirtant avec les hallucinogènes, ce film à part est plus qu’un voyage, c’est un trip. Que vous en reveniez enthousiaste ou souffrant du mal des transports, vous ne serez pas près d’oublier ce Congrès.
Positif
Epoustouflant, vertigineux, brillant par moments, traversé de fulgurances, mais aussi boursouflé, à la limite du kitsch, ridicule et plus que décevant par d'autres. (...) mais assez extraordinaire pour ne pas passer à côté.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Ecran Large
Au final, le cinéaste bouscule moins le regard du spectateur qu'il n'assène le sien, pessimiste, solennel, démagogique.
L'Ecran Fantastique
Si l'on est qu'à moitié convaincu par l'animation du personnage de Robin Wright et par le développement narratif parfois nébuleux et confus, (...) "Le Congrès" reste néanmoins une expérience extra sensorielle étonnante.
L'Obs
Les premières cinquante minutes du "Congrès" sont, de loin, les plus intéressantes (...). Vient ensuite le temps des images animées, et c'est là que le film se perd (...), et l'on se demande de surcroît pourquoi [cette partie] s'étire durant plus d'une heure.
Le Monde
La première partie (...) reste (...) une leçon d'écriture et de jeu. Elle s'achève en apothéose (...). Mais à ce morceau de bravoure succède (...) un capharnaüm sans nom ni corps.
Les Fiches du Cinéma
Bienvenue dans une réflexion foisonnante, même si imparfaite, sur le cinéma et ce qu'on en fait. De ce voyage, on sort fourbu et décontenancé.
Libération
C’est dans les moments où la surdose visuelle s’interrompt que le film gagne en intensité. (...) Mais, à force de tant de clins d’œil, de tocades rétromaniaques, Folman décridibilise l’animation, la sienne comme le genre même.
Première
Après un climax ébouriffant (...), le film opère un radical virage esthétique et dramatique : aux prises de vues réelles succède l’animation, (...) [qui] ne convainc pas.
Transfuge
(...) la première partie semble mieux tenir son cap, et montrer la dématérialisation des corps avec plus de force que la partie animée, handicapée par sa surcharge visuelle et discursive évoquant un trip à l'acide. Gare à la descente.
TéléCinéObs
Le film, au fond, est victime de son ambition : il brasse trop de thèmes, trop d’idées, mais sa liberté force une certaine admiration.
Télérama
En quelques scènes brillamment dialoguées, Ari Folman orchestre la confrontation entre un monde finissant (...) et une nouvelle ère (...). Et puis ? Patatras. Le passage à l'animation fait l'effet d'une greffe ratée.
CinemaTeaser
Un film riche, offrant plusieurs pistes de réflexion particulièrement intéressantes. Mais la forme, d'abord si douce, se fait trop revêche pour inciter à se plonger dans les thèses de Folman.
Critikat.com
D’une actrice contrainte de signer un contrat qui a tout du pacte avec le diable à un univers cartoonesque un brin hystérique, on ne comprend pas toujours où veut nous mener le cinéaste avec ce voyage dans le temps, l’espace et les genres.
La Croix
(...) Ari Folman embrouille son message en accumulant maladroitement une série de mises en abyme sur l’évolution du 7e art.
TF1 News
(...) Trop naïf, trop gentil et trop confus (...).
aVoir-aLire.com
A l’image des personnages de son film, Ari Folman s’est hélas perdu dans ses rêves et ses désirs de grandeur.
L'Express
Voir le site de L'Express.