Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
S’appuyant sur des effets spéciaux spectaculaires, cet opus multiplie les références savoureuses et les répliques cultes.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Ainsi lancé sur de nouveaux rails, le cinquième volet de la saga tient particulièrement bien la route, non seulement parce que les effets hightech sont au rendezvous, mais aussi parce que le scénario ménage une belle surprise quant à la distribution des rôles (...).
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
On prend les mêmes et c'est reparti pour un nouveau voyage dans le temps un peu tiré par les cheveux. Mais qu'importe : on est ravis de retrouvé Schwarzy (...). L'humour en plus, une arme qu'utilise à fond ce nouvel épisode, beaucoup plus pop-corn movie que les précédents.
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
"Terminator Genisys" réussit de façon alerte et enjouée à relire finement tous les grands tropes d'un des mythes les plus forts du cinéma américain de ces trente dernières années.
TF1 News
par Jérémie Ponthieux
Miraculeusement équilibré entre le respect de l'œuvre d'origine et un détournement de ses éléments constitutifs, ce nouveau Terminator parvient à trouver sa propre identité en trahissant aussi intelligemment son modèle.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Le film n’a ni la majesté des scènes d’action des opus réalisés par Cameron et Mostow, ni la gravité ridicule de "Terminator Renaissance". Et c’est tant mieux : il est ramené à un ton de série B foutraque dont il n’aurait jamais dû s’éloigner.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Ces poursuites tonitruantes, fusillades, bagarres, où les protagonistes, invulnérables, ne cessent d'en réchapper, pour recommencer dix minutes plus tard, créent un effet de répétition qui, sur deux heures, lasse.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Christophe Carrière
Retour à la case départ. Même début que le premier, puis des variantes provoquées par une surenchère de ressorts spatio-temporels. Amusant mais un poil lassant.
Le Parisien
par Alain Grasset
De l'action, des poursuites, des effets spéciaux spectaculaires. Le cahier des charges est rempli pour les fans de la saga qui apprécieront dans la première partie l'hommage rendu aux deux premiers épisodes réalisés par James Cameron. Malheureusement, la succession des allers-retours dans le temps complique trop la suite.
Le Point
par Phalène de la Valette
Il y a, c'est vrai, quelque chose de touchant dans le spectacle de cette machine humaine désormais ridée et grisonnante. Au fond, "Terminator Genisys" est à "Terminator" ce que "Jurassic World" est à "Jurassic Park" : une madeleine de Proust bon marché, moyennement goûteuse, mais néanmoins comestible.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Télé 2 semaines
par Thomas Colpaert
Certes la saga a toujours joué sur les allers-retours dans le temps et toutes les complications qui en résultent, mais attention à la surdose ! Malgré cette (importante) réserve, le film, l'un des plus attendus de cet été en salles, reste spectaculaire et distrayant.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Côté grand spectacle, le contrat est rempli, les comédiens assurent le job (...). Mais l'impression de revoir "Terminator 2" gâche un peu notre plaisir de retrouver ce bon T800.
Télérama
par Frédéric Strauss
Alan Taylor assure le contrat, mais sans parvenir à injecter à cette grosse machine la fièvre nécessaire. Heureusement, il sait s'appuyer sur ses comédiens, notamment Emilia Clarke, qu'il retrouve après l'avoir dirigée en mère des dragons dans "Game of thrones".
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Quentin Le Goff
"Genisys" a perdu ce que la science-fiction donnait à percevoir malgré la distance de son monde : les échos lointains du notre. Il y a dans l’état des lieux au présent du film de Taylor un vide de réalité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Gala
par Jean-Christian Hay
A force de clin d’œil, de références, de retour dans le temps sur des événements connus, avec des personnages déjà vus, c’est une légère impression de redite et de répétition qui prédomine. Même dans les scènes d’action, fort réussies, ce Genisys n’innove pas beaucoup.
La critique complète est disponible sur le site Gala
L'Ecran Fantastique
par Gilles Penso
Épisode le plus faible d'une saga inégale, "Terminator Genisys" s'efforce de rendre hommage aux deux premiers chefs-d'oeuvre robotiques de James Cameron. Mais face à ses aînés, il fait bien pâle figure.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le cahier des charges du blockbuster est rempli : les effets sont spéciaux, les scènes d'action, fréquentes, les (super-)héros, increvables. Tout est en toc, rien ne vit. C'est du cinéma de service marketing et d'ingénieurs en effets numériques.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Marianne
par Alexandre Gefen
Malgré deux heures d'effets spéciaux et ses plaisanteries potaches, "Terminator Genisys" est plus proche d'"Ex Machina", sorti début juin, que de "Blade Runner" ou de "Retour vers le futur" : ce n'est pas vraiment l'intelligence d'Arnold Schwarzenegger, alias T-800, qui inquiète, mais plutôt celles de ses machines qui arrivent à lui redonner forme humaine.
Metro
par Mehdi Omaïs
Alors que James Cameron avait parfaitement conjugué par le passé le fond et la forme, nous léguant des œuvres dépourvues de rides, Alan Taylor remet aujourd’hui les compteurs à zéro sans une once d’originalité. Le réalisateur (...) se contente de satisfaire sa hiérarchie en répondant mécaniquement à un cahier des charges prévisible et aseptisé.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par Pierre Fornerod
Une lutte à la vie à la mort entre les forces du bien et du mal. Sauf que les deux co-scénaristes se sont inutilement ingéniés à charger leur propos en jouant sur l'identité des personnages. Lesquels s'amusent dans un jeu de fausses pistes et de vrais mensonges, à tromper l'ennemi et intriguer le spectateur. Cet embrouillamini devient vite lassant.
Public
par La Rédaction
Oubliez les questions philosophiques autour de l'intelligence artificielle fasciste tentant d'asservir l'humanité, ce blockbuster au budget de 170 millions de dollars n'est que prétexte à des scènes d'action cauchemardesques et à de délirants effets spéciaux.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Une série B à très gros budget, sans vision de cinéma propre, qui laisse au spectateur un petit sentiment de dejà-vu.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
Décidément, Hollywood, plus que jamais incapable de se renouveler, s'encroûte dans le syndrome de la rétrospective infinie (...).
Ecran Large
par Simon Riaux
"Terminator : Genisys" s'apparente à un cauchemar de cinéphile, entre mépris pour le spectateur et opportunisme nauséeux.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Monde
par Jean-François Rauger
Arnold Schwarzenegger se glisse une nouvelle fois dans la peau du personnage créé il y a trente ans, auquel un scénario paresseux ne laisse aucune chance de convaincre.
Libération
par Alexandre Hervaud
Une suite laide qui donne envie de voyager dans le temps pour empêcher sa réalisation.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Cédric Delelée
La pire suite d'un classique de la SF depuis "RoboCop 3".
Positif
par Jean-Pierre Berthomé
Le Terminator lui-même se définit avec humour : un peu vieillot, mais pas obsolète. Ce n'est pas si sûr.
20 Minutes
S’appuyant sur des effets spéciaux spectaculaires, cet opus multiplie les références savoureuses et les répliques cultes.
Le Dauphiné Libéré
Ainsi lancé sur de nouveaux rails, le cinquième volet de la saga tient particulièrement bien la route, non seulement parce que les effets hightech sont au rendezvous, mais aussi parce que le scénario ménage une belle surprise quant à la distribution des rôles (...).
Le Journal du Dimanche
On prend les mêmes et c'est reparti pour un nouveau voyage dans le temps un peu tiré par les cheveux. Mais qu'importe : on est ravis de retrouvé Schwarzy (...). L'humour en plus, une arme qu'utilise à fond ce nouvel épisode, beaucoup plus pop-corn movie que les précédents.
Les Inrockuptibles
"Terminator Genisys" réussit de façon alerte et enjouée à relire finement tous les grands tropes d'un des mythes les plus forts du cinéma américain de ces trente dernières années.
TF1 News
Miraculeusement équilibré entre le respect de l'œuvre d'origine et un détournement de ses éléments constitutifs, ce nouveau Terminator parvient à trouver sa propre identité en trahissant aussi intelligemment son modèle.
Cahiers du Cinéma
Le film n’a ni la majesté des scènes d’action des opus réalisés par Cameron et Mostow, ni la gravité ridicule de "Terminator Renaissance". Et c’est tant mieux : il est ramené à un ton de série B foutraque dont il n’aurait jamais dû s’éloigner.
Franceinfo Culture
Ces poursuites tonitruantes, fusillades, bagarres, où les protagonistes, invulnérables, ne cessent d'en réchapper, pour recommencer dix minutes plus tard, créent un effet de répétition qui, sur deux heures, lasse.
L'Express
Retour à la case départ. Même début que le premier, puis des variantes provoquées par une surenchère de ressorts spatio-temporels. Amusant mais un poil lassant.
Le Parisien
De l'action, des poursuites, des effets spéciaux spectaculaires. Le cahier des charges est rempli pour les fans de la saga qui apprécieront dans la première partie l'hommage rendu aux deux premiers épisodes réalisés par James Cameron. Malheureusement, la succession des allers-retours dans le temps complique trop la suite.
Le Point
Il y a, c'est vrai, quelque chose de touchant dans le spectacle de cette machine humaine désormais ridée et grisonnante. Au fond, "Terminator Genisys" est à "Terminator" ce que "Jurassic World" est à "Jurassic Park" : une madeleine de Proust bon marché, moyennement goûteuse, mais néanmoins comestible.
Télé 2 semaines
Certes la saga a toujours joué sur les allers-retours dans le temps et toutes les complications qui en résultent, mais attention à la surdose ! Malgré cette (importante) réserve, le film, l'un des plus attendus de cet été en salles, reste spectaculaire et distrayant.
Télé 7 Jours
Côté grand spectacle, le contrat est rempli, les comédiens assurent le job (...). Mais l'impression de revoir "Terminator 2" gâche un peu notre plaisir de retrouver ce bon T800.
Télérama
Alan Taylor assure le contrat, mais sans parvenir à injecter à cette grosse machine la fièvre nécessaire. Heureusement, il sait s'appuyer sur ses comédiens, notamment Emilia Clarke, qu'il retrouve après l'avoir dirigée en mère des dragons dans "Game of thrones".
Critikat.com
"Genisys" a perdu ce que la science-fiction donnait à percevoir malgré la distance de son monde : les échos lointains du notre. Il y a dans l’état des lieux au présent du film de Taylor un vide de réalité.
Gala
A force de clin d’œil, de références, de retour dans le temps sur des événements connus, avec des personnages déjà vus, c’est une légère impression de redite et de répétition qui prédomine. Même dans les scènes d’action, fort réussies, ce Genisys n’innove pas beaucoup.
L'Ecran Fantastique
Épisode le plus faible d'une saga inégale, "Terminator Genisys" s'efforce de rendre hommage aux deux premiers chefs-d'oeuvre robotiques de James Cameron. Mais face à ses aînés, il fait bien pâle figure.
L'Obs
Le cahier des charges du blockbuster est rempli : les effets sont spéciaux, les scènes d'action, fréquentes, les (super-)héros, increvables. Tout est en toc, rien ne vit. C'est du cinéma de service marketing et d'ingénieurs en effets numériques.
Marianne
Malgré deux heures d'effets spéciaux et ses plaisanteries potaches, "Terminator Genisys" est plus proche d'"Ex Machina", sorti début juin, que de "Blade Runner" ou de "Retour vers le futur" : ce n'est pas vraiment l'intelligence d'Arnold Schwarzenegger, alias T-800, qui inquiète, mais plutôt celles de ses machines qui arrivent à lui redonner forme humaine.
Metro
Alors que James Cameron avait parfaitement conjugué par le passé le fond et la forme, nous léguant des œuvres dépourvues de rides, Alan Taylor remet aujourd’hui les compteurs à zéro sans une once d’originalité. Le réalisateur (...) se contente de satisfaire sa hiérarchie en répondant mécaniquement à un cahier des charges prévisible et aseptisé.
Ouest France
Une lutte à la vie à la mort entre les forces du bien et du mal. Sauf que les deux co-scénaristes se sont inutilement ingéniés à charger leur propos en jouant sur l'identité des personnages. Lesquels s'amusent dans un jeu de fausses pistes et de vrais mensonges, à tromper l'ennemi et intriguer le spectateur. Cet embrouillamini devient vite lassant.
Public
Oubliez les questions philosophiques autour de l'intelligence artificielle fasciste tentant d'asservir l'humanité, ce blockbuster au budget de 170 millions de dollars n'est que prétexte à des scènes d'action cauchemardesques et à de délirants effets spéciaux.
aVoir-aLire.com
Une série B à très gros budget, sans vision de cinéma propre, qui laisse au spectateur un petit sentiment de dejà-vu.
Charlie Hebdo
Décidément, Hollywood, plus que jamais incapable de se renouveler, s'encroûte dans le syndrome de la rétrospective infinie (...).
Ecran Large
"Terminator : Genisys" s'apparente à un cauchemar de cinéphile, entre mépris pour le spectateur et opportunisme nauséeux.
Le Monde
Arnold Schwarzenegger se glisse une nouvelle fois dans la peau du personnage créé il y a trente ans, auquel un scénario paresseux ne laisse aucune chance de convaincre.
Libération
Une suite laide qui donne envie de voyager dans le temps pour empêcher sa réalisation.
Mad Movies
La pire suite d'un classique de la SF depuis "RoboCop 3".
Positif
Le Terminator lui-même se définit avec humour : un peu vieillot, mais pas obsolète. Ce n'est pas si sûr.