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    Ma vie avec Liberace
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    tony-76
    tony-76

    1 070 abonnés 1 410 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 septembre 2013
    Ma vie avec Liberace est une oeuvre dramatique et souvent chaotique. Les personnes sensibles devraient s'abstenir car on trouve beaucoup d'émotions, les scènes de sexes sont dérangeantes mais cela n’empêche pas qu'on reste accroché à ce biopic. Michael Douglas est vraiment bluffant et bouleversant dans le rôle de Liberace en pianiste. Matt Damon quand à lui est étonnant. Soderbergh nous parle d'une homosexualité très mal vécue dans cette génération. Les décors de cette dernière sont bien respectés avec une ambiance tendue. Bref, j'ai été ému et choqué par ce film à cause de cette love story.
    landofshit0
    landofshit0

    274 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 janvier 2014
    Ma vie avec Liberace doit surtout à son duo d'acteurs et spécialement à un Michael Douglas étonnant dans ce rôle. Pour le reste, Soderbergh film avec un classicisme absolut une histoire qui peine malheureusement à captiver. 2h c'est tout de même bien trop long pour ce que Soderbergh a à dire et surtout à montrer. Le résultat est un téléfilm moyen qui aurait dut rester à sa place c'est à dire ne pas envahir les salles de cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 23 septembre 2013
    Cette fois c'est juré, c'est le dernier. En pré-retraite depuis un certain temps, Steven Soderbergh a livré à Cannes son dernier long métrage, le cinéma étant devenu un peu trop lassant pour lui (ce qui començait franchement à se voir dans sa production récente). Pour partir en beauté, le très éclectique ex-golden boy du cinéma indépendant a donc choisi de se consacrer à un biopic, un des genres les plus classiques et les plus codés.

    Mais comme Steven ne fait rien comme tout le monde, il a jeté son dévolu sur Liberace, une immense star de Vegas qui a caché son homosexualité pendant des décennies, et cela malgré des spectacles et des costumes d'un kitch absolument phénoménaux. Un biopic gay, auquel le réalisateur a convié deux très grands acteurs dont un sur le retour (Michael Douglas), ne leur mettant aucune limite.

    Résultat, le film n'a même pas pu sortir en salles aux Etats-Unis, et a du se contenter d'une diffusion sur la prestigieuse chaîne de télé cablée HBO, après que les dirigeants des studios aient avalé leur eau minérale de travers devant un tel déferlement kitch et gay, avec évidemment des stars s'embrassant à pleine bouche dans le jacuzzi.

    Ce n'est pas nouveau, Soderbergh est un homme de coups. Le concept de ses films l'intéresse plus que ses films eux-mêmes désormais, et c'est malheureusement encore le cas ici. On sent la jubilation du metteur en scène de projeter sur l'écran un Michael Douglas étonnant en vieille folle, dans ces intérieurs décorés avec la légèreté légendaire de Vegas. Mais ce sera à peu près tout.
    Malgré deux acteurs vraiment très brillants, malgré une photo impeccable et une reconstitution brillante, le film laisse sur sa faim. Peut-être parce qu'il semble peu s'intéresser au fait que Liberace ait été forcé de cacher son homosexualité toute sa vie, ce qui est un vrai sujet. Mais surtout parce que la vie de cet homme est au final bien peu passionnante, sans épisode marquant, sans grande scène, sans accomplissement véritable.
    Devant un tel désert narratif, reste donc le mélo. Et là, Soderbergh n'arrive que rarement à faire pointer l'émotion, passant comme dans une course de haies toutes les étapes obligées de l'exercice avec rythme mais sans passion (la rencontre, la lune de miel, la dégringolade, les avocats, etc...

    On peut rester admiratif devant la performance de Michael Douglas, de Matt Damon, parfaitement épaulés par Dan Arkoyd et Rob Lowe qui viennent mettre un peu d'air dans ce film parfois très monotone.
    Mais on cherche toujours l'intérêt de proposer un biopic de deux heures sur un tel personnage...
    AlphaWolf
    AlphaWolf

    75 abonnés 829 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 septembre 2013
    Une histoire vraie n'est pas gage de réussite et on en a encore une fois la preuve avec cet énième biopic qu'est Behind The Candelabra. Si on met de côté l'aspect extravagant du personnage de Liberace et la différence d'age assez incroyable entre ce dernier et Scott qui n'avait que 17 ans (!) lorsqu'ils se sont rencontrés — détail important qui passe d'ailleurs quasi inaperçu —, il ne reste qu'une histoire d'amour presque banale, avec ses hauts et ses bas, qui peine à convaincre. On se retrouve à subir des scènes poussives, parfois très linéaires, souvent peu constructives, et à l'intérêt plus que discutable.
    On pourrait également se questionner sur la véracité et la partialité du récit étant donné que le scénario est basé sur les mémoires de Scott Thorson.
    En tout cas, Steven Soderbergh peut dire merci au casting en général et à Michael Douglas en particulier pour leurs très bonnes performances, car sans eux, on était pas loin du flop.
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    109 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 mars 2014
    Dernier tour de piste pour Steven Soderbergh qui annonce dès lors que Ma vie avec Liberace sera son dernier long métrage en temps que réalisateur. Juger trop clairement homosexuel, comprenez déficitaire d’un point de vue commercial, le film ne fût donc pas distribuer dans les salles obscures américaines. Si en Europe et dans le reste du monde, le dernier film de Soderbergh aura connu un succès retentissant dans les Multiplex, aux Etats-Unis, c’est la plateforme HBO qui prend la place du distributeur, là encore, avec un certain succès critique. Dans une demi-mesure, Ma vie avec Liberace aura donc connu une promotion difficile, sensiblement pas destinée au tout-public Outre-Atlantique. Malgré tout, Soderbergh reste fidèle à ses principes et offres une romance dramatique pour le moins bien écrite, quand bien même l’intérêt du film ne réside en soi qu’a contempler les accoutrements et mimiques de ses interprètes.

    Oui, outre le nom de réalisateur au générique, c’est incontestablement les performances respectives, en homosexuels kitsch, de Michael Douglas et Matt Damon qui poussent à la curiosité. Alors que le premier semble revivre une nouvelle jeunesse, dans un certain sens, à la suite de sa réémission du cancer, le second prouve une fois encore qu’il est capable de tout jouer. L’on peut dès lors considérer sans ambages que les interprétations demandées ici aux deux vedettes hollywoodiennes n’ont pas été une mince affaire. Saluons donc l’ouverture d’esprit de deux acteurs, souvent viriles, pour avoir joué un couple homosexuel avec tant de crédibilité. Si ce n’est pas une première, soyons au moins certain de le tandem Douglas/Damon n’a pas fait les choses à moitié. Bon, pour autant, les looks de chacun, leurs intonations et déhanchés, prêtent d’avantage à la rigolade qu’à s’en émouvoir, la lecture de l’œuvre s’apparentant, malgré le travail accompli, d’avantage à la cage aux folles qu’Au Secret de Broadback Mountain.

    Bref, si je ne m’avancerai pas à ouvertement critiqué Soderbergh pour le choix de son thème, je soulève toutefois qu’hormis les exploits artistiques des acteurs, leurs excellents maquillages évolutifs, rien n’est franchement moins intéressant que les amourettes d’une diva masculine complètement inconnue dans nos contrées. Si le dénommé Liberace, Walter de son petit prénom, alias Lee, pour les intimes, fût une star dans années 70, voir 80, il n’est désormais plus qu’un vague souvenir pour ceux qui s’y sont intéressés et n’est rien d’autre qu’un personnage de fiction presque agaçant pour les non-initiés, comme moi. Dès lors, je me suis ennuyer à devoir attendre la rupture entre la belle blonde et la diva, passant sur un certain nombre de scènes stériles qui renforcent l’impression que la star est aussi capricieuse que malhonnête.

    Je n’avouerais pas ne pas avoir aimé le dernier film de Steven Soderbergh, simplement du fait qu’il est incontestable que ce choix demandait un certain culot et que par ailleurs, les interprétations sont formidables. Cependant, j’émets tout un tas de réserve quant à la réelle valeur d’un tel film, destiné à un devoir de mémoire inutile qui permet surtout à son réalisateur de se dresser comme un intellect qui n’oublie pas la destinée historique de personnages hauts en couleur. Alors que j’ai trouvé l’anonyme Magic Mike plutôt agréable, que je suis un admirateur de Trafic, que je concède à la Saga Ocean son aspect extrêmement divertissant et que j’ai relativement apprécier le duo Contagion et Effets secondaires, je n’ai jamais retrouvé, du long de Ma vie avec Liberace, la flamme passionnée de Soderbergh pour narrer l’impossible. Selon moi, un semi-échec imputable à une volonté de s’intéresser à ce que personne de veut, histoire de faire un peu son malin. 07/20
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 17 février 2014
    Soderbergh décrit le Liberace comme une personne incapable d'aimer un autre que lui-même. Narcissique jusque dans la relation amoureuse. Mais le cinéaste se trouve incapable de dépasser ce fait et de nous montrer ce qui a pu unir profondément ces deux là. En privé comme en public, le Liberace est fidèle à son image. Jamais Soderbergh ne s'aventure au delà de l'apparence et de l'illusion. Jamais il ne s'aventure dans l'abîme des sentiments. Le couple est perçu comme une synergie froide de désirs égoïstes, dans laquelle chacun risque d'y perdre son identité. Glauque.
    Christophe R
    Christophe R

    29 abonnés 465 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 septembre 2013
    "Ma Vie avec Liberace" a été une très grande déception pour moi. Film trop marqué de cette période lourde de clichés (fin des 70's et début des 80's), cette histoire d'amour là ne prend pas : malgré la belle prestation de Michael Douglas, on reste toujours beaucoup plus proche de la vision loupée et parfois vulgaire de "La Cage aux Folles" que de la poêsie de "Brokeback Mountain". Heureusement cependant que le dernier tiers du film, plus sombre, redonne un peu de profondeur au film... même si cela ne suffit pas.
    Yetcha
    Yetcha

    875 abonnés 4 386 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 janvier 2014
    En dehors du fait que ce personnage haut en couleur est magnifiquement interprété par un Michael Douglas au top, je n'ai pas particulièrement accroché sur l'univers gay. La réalisation avec des couleurs saturées, du lens flare et des reflets partout est excellente mais Soderbergh n'est pas trop ma tasse de thé et je me suis plutôt ennuyé.
    David S.
    David S.

    66 abonnés 409 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 septembre 2013
    Supposé être le dernier film de Soderbergh, on peut pas dire que ce dernier clôt sa carrière de réalisateur cinéma en grande fanfare tant ce dernier choisit l'histoire intimiste en lieu et place des paillettes et du grand show.

    Choix audacieux certes mais judicieux ? C'est vraiment la bonne question.
    Alors oui Michael Douglas et Matt Damon y sont excellents et délivrent des performances d'une justesse et d'une finesse inouïe. On comprend que Deauville les ait célébrés !
    On y voit aussi l'implication qu'à eu un Michael Douglas à jouer et à personnifier Liberace ainsi que le parallèle évident entre leurs deux carrières. Enfant des étoiles, de la démesure et de la folie enjouée, Liberace méritait un traitement à l'avenant.
    Mais Dieu que l'histoire qui se passe derrière la petite porte est ennuyeuse. Soderbergh focalise le film sur les dernières années de l'artiste et réduit l'intrigue à l'aune de la relation amoureuse entre Liberace et l'un de ses très jeunes amants, Scott Thorson. Et on ne peut pas dire que le récit soit palpitant.
    Liberace et Scott devant la télé, Liberace et Scott dans leur lit, Liberace et Scott dans la salle à manger... L'émotion est atténuée par un récit statique, plat et sans consistance et très clichesque au final. Le quotidien quotidien, c'est bien pour un Monoprix, c'est beaucoup moins bien pour un biopic sur un personnage aussi extravagant et lumineux comme Liberace ! 2,5/5
    Cinephille
    Cinephille

    155 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 octobre 2013
    Je n'ai pas de gout pour les films de vampire, pas plus pour celui-là que pour d'autres. Je trouve ce film bien fait, bien joué, bien costumé, bien décoré mais je n'ai ni été très intéressée ni particulièrement émue. Michael Douglas devrait récolter tous les awards du monde tant ce personnage est exemplaire du rôle à Oscar. Matt Damon est très bon aussi dans ce personnage finalement gentil qui ne rêve que de faire partie d'une famille. Mais bon...ça reste pour moi de l'entertainment.
    orlandolove
    orlandolove

    134 abonnés 1 722 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 octobre 2013
    Les deux acteurs sont indéniablement le principal atout du film : Douglas et Damon ont rarement été aussi bons. Cette histoire haute en couleur se suit globalement avec plaisir (une ou deux séquences très drôles) mais le script n'évite pas quelques baisses de rythme dommageables. Heureusement, grâce à un final poignant, le film se conclut sur une très bonne note.
    adicte
    adicte

    58 abonnés 700 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 mai 2014
    Si ce n'est pour les excellentes prestation de Douglas et Damon, je n'ai pas trouvé un réel intérêt à ce film qui ne raconte au fond pas grand chose si ce n'est une histoire d'amour peu ordinaire, certes, mais qui au bout d'une heure s’avère insuffisante pour nous captiver. Par ailleurs, le personnage de Liberace m'était inconnu, donc sa vie n'a éveillé en moi aucune nostalgie ou émotion particulière. La réalisation est très classique, et j'insiste, si ce n'est pour les acteurs, rien de vraiment palpitant n'est venu me sortir de ma léthargie...
    SansCrierArt
    SansCrierArt

    54 abonnés 420 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 septembre 2013
    Ma vie avec Liberace raconte 5 années de la vie de Wladziu Valentino Liberace, pianiste virtuose de music-hall. Il fut une véritable star, des années 50 à 70 à la télévision et à Las Vegas. Le film est tiré de la biographie d'un des amants de la star, interprêté par le très bon Matt Damon.

    Michael Douglas incarne le rôle titre et sa performance vaut à elle seule de regarder ce biopic dont l'histoire est assez peu passionnante pour qui ne connait pas le personnage public.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 6 janvier 2014
    Une film kitch assumé pleinement par Soderbergh. Pétillant, clinquant, une oeuvre qui fait décidément honneur au fameux et excentrique Liberace. Il ne s'agit pas simplement de conté la vie de Libarace mais de se concentrer essentiellement sur sa relation malheureusement, peu fringante, avec son compagnon éternel Scott Thorson, si et seulement si l'on ne connait que moyennement l'artiste. Une relation à coup de bistouris, de sexe, mais surtout d'amour dans un décor royal qui pourrait rendre jaloux tous bons rois de france. Une romance peu consistante presque terne, qui ne parle que d romance et d'amour.... Le tout manque donc cruellement de saveur malgré une mise en scène bien trop riche pour son sujet. Un film qui ne réussit qu'à nous intéresser surtout par la prestation hors norme de ces deux comédiens impeccables. Une discussion, un dialogue entre deux comédiens caméléons qui nous feraient presque passer un très bon moment.
    brunetol
    brunetol

    188 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 février 2014
    Soderbergh a beaucoup de savoir-faire, et le film est loin d'être mauvais. C'est du travail honnête, avec quelques trouvailles, deux comédiens brillants, une direction artistique irréprochable. Et malgré toutes ces qualités, la mayonnaise peine à prendre, parce que le scénario est bien trop prévisible, tout semble écrit d'avance, toute la fatalité qui pèse sur la situation est là dès les premières minutes, et tout se passe exactement comme on pouvait le craindre. On aurait voulu que la mécanique se grippe quelque part, que le film dérape, nous surprenne, mais il reste sagement sur les rails du biopic balisé, l'histoire d'amour impossible mille fois contée entre la star et le gueux, le vieux riche et célèbre et le bel inconnu. On prend très vite beaucoup d'avance sur les péripéties, on les voit venir de tellement loin que l'intérêt du film se délite progressivement, jusqu'à ne plus constituer autre chose qu'un nouvel exercice de style de son auteur. Soderbergh reste un cinéaste doué, inventif, mais sans réel caractère, sans personnalité affirmée, un excellent technicien, mais un auteur très inégal.
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