Avis : La Cabane dans les bois - Page 2

Sans doutes un des plus grands chef-d'oeuvre du genre ! Franchement je m'attendais pas à un film aussi bien fichu, on ne s'ennuie pas une seconde, le film nous laisse aucun moment de répit ! Drew Goddard a su donner des instants plus qu'excitant au spectateur, c'est inexplicable. L'histoire est tout simplement génial, personne ne s'attendait a voir des événements pareil et pour ceux qui aiment les rebondissements de dernière minute ; ils en auront plein la face ! Même si le film peut paraître assez différent des chefs-d'oeuvre de l'horreur " La Cabane dans les bois " respecte toute les règles d'un film horrifique en nous livrant des jump-scares, des moments de frissons et des scènes très gores ( mais qui ont leur limite quand même ). Le film parodie beaucoup de choses mais n'est jamais une parodie à lui tout seul ( comme " Scary Movie " ). Les monstres en images de synthèses sont tous plus réussies les uns que les autres malgré leurs apparitions courtes. Mais avant les effets spéciaux le film accentue sur les vieilles techniques telles que les costumes ou les masques qui ne passe pas inaperçues. La B-O est très sensible et accompagne le film gaiement ou pas ! Les bois sont un lieux très typiques aux film du genre mais se démarquent facilement grâce à un scénario atypique, le film profite d'une mise en scène moderne mais pas révolutionnaire. " La Cabane dans les bois " est film qui peut nous faire réfléchir, nous faire douter et nous faire peur surtout ( mais pas autant que ça car ils ont tout miser sur la scène finale qui nous fera pas peur mais jouir ! ).

HA! je crois bien que c'est la premiere fois que je suis plus d'accord avec les critiques presses que spectateur ! Je comprend pas ce que les gens cherchent dans un film, on a la une petite perle scénaristique (certe completement déjanté), une solide réalisation et des acteurs convaincant dans leurs roles caricaturaux (Fran Kranz juste trop drole)! Qu'on l'aime pas c'est une chose mais quand on tombe sur un film aussi original qui assume completement ses clichés pour mieu les contourner voir les briser on ne peut pas le qualifier de "nul" et se prétendre cinéphile. Ce qui m'étonne le plus c'est les critiques de personnes se disant "fan" du genre horrifique descendant ce film, alors que je l'ai plutot perçu comme clairement un hommage au genre, trés second degré, créé par des fan pour des fan (mad movies ne s'y est d'ailleur pas trompé). Mais je suis peut etre un trop grand fan de whedon moi meme pour etre neutre (au passage on reconnais bien sa patte quand on a suivi ses séries). En tout cas si vous etes comme moi et que vous ne crachez pas sur un peu (beaucoup) d'originalité, foncez!

Premier long-métrage pour Drew Goddard, plus connu comme étant scénariste à la télévision (Buffy, Angel, Alias ou encore Lost) et au cinéma (Cloverfield - 2008) et qui se retrouve en très bonne compagnie, à savoir Joss Whedon (en tant que co-scénariste et co-producteur). Avec un tel bagage, on était en droit de s’attendre à un film qui réinvente et repousse toutes les conventions du genre (puisqu’il oscille entre l’horreur, la science-fiction et le fantastique), mais affublé d’un scénario bien trop ambitieux pour cette petite entreprise, La Cabane dans les bois (2012) s’essouffle très rapidement tel un château de cartes. Pourtant on aurait voulu y croire, car le film fait preuve d’une réelle originalité, malgré qu’il puisse démarrer comme un film d’horreur classique (une bande de jeunes partent faire la fête dans une cabane isolée au beau milieu de la forêt où l’on y retrouve des personnages très stéréotypés, de la blonde (cruche) en passant par l’intello, le sportif, la vierge ou encore le fumeur de beuh raide défoncé, bref tout ce beau va bien évidemment se faire décimer les uns après les autres). Mais là où le film se démarque, c’est par son côté "reality-show", imaginez un mix entre Le Club des monstres (1980) & The Truman Show (1998), il y avait matière à en tirer une œuvre originale, mais Drew Goddard préférant réaliser un film d’horreur parsemé d’humour, finalement on se demande si l’on ne se serait pas trompé de film car il faut réellement attendre la dernière partie pour que ce dernier vire réellement dans l’horreur pure (voir le bain de sang). Pas assez pris au sérieux, le spectateur s’en retrouve rapidement décontenancé, ne sachant plus s’il doit prendre le film au sérieux ou au second degré.
Trois ans après le clap de fin, le film de Drew Goddard bénéficie enfin d’une exploitation en salles (suites aux soucis financiers rencontré par la MGM, la société de production), longtemps resté dans les tiroirs, avec ses allures de DTV, le film déçoit, on pourra toujours se rabattre sur quelques touches d’humour noir (mention spéciale à la licorne !) ou à la prestation hilarante de Fran Kranz (avec son bang télescopique), sans oublier la participation de Sigourney Weaver (la guest star surprise du film).

Soit 5 post-ados archétypaux (3 garçons, 2 filles) en partance pour un w-e isolé en forêt, dans une "cabin" appartenant au cousin de l'un d'entre eux, avec une étape pour prendre du carburant chez un bouseux inquiétant façon "Deliverance" : cela sent le film d'horreur des plus "classiques", non ? Un prologue cependant, complètement hors contexte, laisse à penser à autre chose qu'un simple jeu (même ingénieux ou spectaculaire) sur les codes du genre. La suite confirme, avec un dérèglement combiné de l'histoire centrale (une affaire de zombies) et de l'histoire sous-jacente (revisitant "The Truman Show"), pour un final déjanté, et un épilogue nettement apparenté au mythe lovecraftien de Cthulhu, grandiose et ouvrant donc une 3ème dimension pour cette "Cabane dans les bois", riche et décoiffante expérience, sorte d'"OFNI" (objet filmique non identifié), inventif et pas si effrayant (même si le "gore" est surabondant) - affiche intrigante très réussie par ailleurs, quelque part entre « Le Magicien d’Oz » et « Cube ».

La cabane dans les bois est un film qui sort du lot de la catégorie du genre, et qui sans les avis élogieuses à propos de son originalité, je ne serais pas allé le voir. Ce qui aurait été dommage car même si le film n’est pas excellent, il enchaîne les bonnes idées tout en offrant un humour et un divertissement totalement aboutit.

Pourtant à lire le résumé de film, on pourrait penser à un autre slasher dans la même veine de « Vendredi 13 » mais on s’aperçoit très vite qu’il est totalement différent.
Le film déroule les références du genre tout en les tournant dans son sens pour offrir une œuvre qui diffère de ce qu’on a pu voir jusqu’à présent. Le film est rempli de rebondissements afin d’assurer le divertissement et de surprendre le spectateur. Cette production ne doit pas être trop prise au premier degré car il y a beaucoup d’humour (que ce soit humour noir ou décalé).

Le film présente des personnages assez intéressants qui ne sont pas désagréables : le drogué est tout simplement hilarant (rien qu’à sa première apparition, c’est du délire total), la vierge est sage et intelligente, la blonde ne m’a pas paru trop bête et elle se montre très sexy sur deux ou trois scènes où elle fait son « show », et les deux autres gars sont convenables.

Cependant, je trouve que malgré quelques images assez glauques, il y a un petit manque de scènes gores. Ensuite, lors du flamboyant renversement de situation un peu avant la fin, la mise en scène n’est pas très aboutie (cela m’a fait penser à un film sur Syfy).

La cabane dans les bois est donc un film innovateur qui donne un mélange entre Hunger game et Evil Dead, qui vaut largement le coup d’œil malgré des petits points faibles.

Lorsqu'un film comme La Cabane dans les Bois se voit être (énormément) soutenu par la presse cinématographique peu avant sa sortie, il est logique que les cinéphiles et téléspectateurs entre autre se rongent les ongles voire les peaux d'impatience. Pourtant, au premier abord, ce long-métrage ne prévoyait rien d'extraordinaire (rien que le titre) et on pouvait s'attendre à une espèce de slasher aussi basique qu'attendu. Ce qui devait finalement être LE film d'Horreur de l'année 2011 avec un grand H s'avère être une belle ratatouille médiocre avec comme ingrédients un mélange de clins d'oeils à certains classiques de l'horreur - le film regroupe un nombre de genres horrifiques assez impressionnants - ainsi qu'un scénario disons... étrange. Très étrange. (Pour le coup, le slogan du film présent sur l'affiche [Vous croyez connaître l'histoire. Vous pensez déjà connaître la fin.] est très approprié...) N'hésitons pas à dire qu'il faut un sacré cran voire une arrogance folle pour balancer ce genre de long-métrage avec une histoire aussi renversante que ridicule offrant du grand n'importe quoi à tous les niveaux possibles et imaginables. Unique est ce film, certes. Malheureusement, ce qui devait divertir tout un monde finira peut-être par l'abrutir plus qu'autre chose. Une fois encore, la déception est présente.

Seule une belle affiche ne fait pas tout un film, et c'est bien dommage. Créant le buzz comme rarement, le film de Drew Goddard ne restera pas dans les annales du cinéma contrairement à ce que certains pouvaient croire auparavant. Avec un jeu d'acteur aux abonnés absents, ce long-métrage à la volonté de relancer le monde de l'Horreur finira par couler comme tant d'autres, emportant avec lui une histoire atypique et un 0 pointé concernant la crédibilité de la chose. Dommage, car tout n'est pas à jeter.

Après avoir tant entendu parler de ce film, je me suis enfin décidé à le visionner à mon tour. Et bien il est digne de sa renommée ! Ce film est époustouflant. L'histoire commence comme un banal et ordinaire film d'horreur du genre slasher : la forêt, les jeunes inconscients... tout y est..

Et puis scènes après scènes, cette façade stéréotypée vacille et se brise pour laisser place à la perle cinématographique qu'est ce film, les genres s'entrechoquent, le film slasher se décortique, le rythme s’accélère, le message du film se dévoile et les références fusent.
On notera d'ailleurs de très réussis clins d’œil à de nombreux film du genre, notamment "Evil Dead" (la cabane, les bois, les zombie et leur rituel d'invocation..), "Cabin fever" (le petit lac dans les bois, le ponton y menant, le cadre forestier..) ou encore "Cube" (l'enchevêtrement des zones de confinement des différentes créatures, les scientifiques qui assistent et dirige la mort de personnes qu'ils épient..), peut-être même "Massacre à la tronçonneuse" (l'ambiance et l'organisation de la station service..) !

Parallèlement à cela, on notera avec quelle précision déroutante les réalisateurs tournent en dérision et se moque ouvertement du genre, avec notamment le fameux weekend en amis qui va virer au cauchemar, le quota ethnique bien respecté, la psychologie des protagonistes totalement survolée, le lieu phare de la forêt, etc. Mais ce qu'il y a d'encore plus fort et fascinant, c'est que ce n'est pas juste une satyre horrifique, non cela va au delà, car tant d'effort ont été déployés pour en faire une critique aiguisée que cela en devient un hommage, une preuve d'amour. Ceci confère donc au film un certain statut d'allégorie de l'opposition, tant au niveau du film en lui même (le choc des différents genres) que du message qu'il souhaite faire passer : message à la fois satyrique et affectueux. L'allégorie peut d'ailleurs être elle-même une opposition ! Puisque c'est grâce à la dualité et la pluralité des genres que l'on obtient l'entité réuni et cohérente qu'est "La cabane dans les bois".
Contrairement à ce que l'on pourrait penser, les scènes s'enchaînent incroyablement bien, tout s'emboîte de façon logique, tout semble cohérent : nous sommes comme happés par cet univers si déroutant !

C'est le seul film (à ma connaissance) à avoir tenté un tel pari, et bien c'est une réussite totale.
"La cabane dans les bois" nous permet d'être spectateur d'une progression et d'une issue incroyable ! On commence en effet avec le weekend d'ami typique à malheureusement bon nombre de films d'horreur spoiler: pour finalement aboutir à la destruction de la Terre, (et donc de l'humanité) en passant par une organisation secrète mondiale !


Je recommande vivement de le voir, ne serait-ce que pour découvrir cette complexité cachée derrière l'apparence simpliste et l'intrigue des plus imprévisibles.

La Cabane dans les bois : Alors la énorme, vraiment gros surprise ce film d’horreur. Je ne m’attendais pas à un tel résultat et un tel délire mais surtout à une telle merveille. Car au début, ce film commence comme le film d’horreur le plus banal. C’est 5 amis (une bimbo, un musclé, un intello, un fou et une vierge) qui ce sont trouvé un coin tranquille pour prendre du bon temps. Donc rien d’original et je me disais, ouais bon mais nous (spectateur) on se trompe carrément. Car après (pas longtemps d’ailleurs), le film part dans un délire et une machination étonnante, vraiment je m’attendais pas a ça et après, on va de surprise en surprise, d’originalité en originalité et ça c’est génial et rafraichissent (ça dépoussière vraiment le genre). C’est incroyable comment on a pu inventer une telle histoire car ça va très loin mais ça fonctionne bien dans le délire que on nous propose. Et on ne sait jamais a l’avance ou nous emmène le film et ça c’est vraiment énorme (je commencé a pu avoir l’habitude dans les films d’horreur car c’est toujours un peu la même chose) : mais pas la. Et puis en plus, le film (le réalisateur et scénariste) prend un malin plaisir a joué avec des références des films d’horreurs pour ensuite le « parodié », d’où le sentiment de « ou sait jamais ou le film va nous emmené » et ça c’est excellent. De plus, le film a une bonne dose d’humour et de parodie comme je disais, avec une bonne auto-dérision des films d’horreur classique et ça c’est top. Et comme je le disais, on a le droit aussi a énormément de référence des films de genre mais pas que (je vous laisse découvrir ça par vous-même). C’est surtout a la fin le déluge de référence et d’ailleurs, parlons de cette fin : elle peut sert paraitre complètement malade et déjanté (car ça part dans le tous et n’importe quoi) mais elle colle parfaitement au délire du film (donc ça fonctionne bien) et il faut dire qu’elle est vraiment jouissif a souhait voir épic. Donc voila, niveau scénario, c’est un des films d’horreur les plus original et vraiment plaisir à voir des films comme ça qui casse les codes (même si ça va très loin ^^). Ensuite, niveau réalisation, c’est de l’efficace, vraiment la réalisation est excellente. On a le droit à une bonne mise en scène et de bon maquillage et aussi une bonne ambiance bien maitrisé. De plus, le casting est de taille au film et les acteurs sont convaincants et parfait dans leur rôle. Donc voila, un film d’horreur qui ma agréablement surprit du a son originalité (ça fessait longtemps que je n’avais pas vu un film comme ça) et franchement, ça fait plaisir. Un film d’horreur vraiment original que je vous conseille absolument.

"La Cabane dans les Bois" à un début très basique qui copie un peu Evil Dead, on peu se dire que ça va être un slasher déjà vu des milliers de fois mais plus on avance dans le film, plus on se rend compte qu'il y a un mystère à découvrir et ça en devient très intéressant. Le scénario est donc très innovant, les acteurs sont assez bon et les effets spéciaux sont bon aussi même si il y a un peu trop de gore à mon gout. Un film, donc, qui sort des slasher habituels que l'on prend plaisir à regarder du début à la fin.

Un film très novateur qui m'a assez surpris.
L'ambiance bizarre est totalement assumé.
Et la fin réserve une petite surprise pour tout "Nerd" qui se respecte.
A voir et revoir dans l’avenir.

Succès surprise niveau critiques US, La Cabane dans les Bois marque des points sur son originalité. Tout comme Scream le film parodie discrètement mais intelligemment le genre en nous ressortant tout les vieux clichés ( spoiler: ici la maisonnette paumée au milieu d'une forêt comme dans Cabin Fever, un sous-sol pas rassurant du tout comme dans Evil Dead, l'incapacité des personnages à pourvoir s'échapper des bois comme dans Le Projet Blair Witch, la jolie blonde qui meurt en premier comme dans Les Griffes de la Nuit, il le faut qu'il y ait au moins un toxico dans la bande de potes comme dans Shrooms, le mec sportif qui sort avec la jolie fille et qui utilise plus ses muscles que ça tête comme dans Souviens-toi l'Été Dernier, l’héroïne qui est vierge comme dans Halloween
ect...). Ce que j'ai aimé dans ce long-métrage produit par Joss Whedon -le papa de Buffy Contre les Vampires et le réalisateur d'Avengers- et réalisé par le scénariste de Cloverfield et de World War Z, c'est que c'est à la fois un slasher, un film gore et un film de monstres... un cocktail qui envoi forcément du lourd ! Le scénario qui a première vue peut paraître simple prend des directions inattendues et nous emmène vers un petit twist retournant si bien que l'idée que la révélation finale soit si grosse ( spoiler: il n'est plus question de la survie des personnages mais de celle de l'humanité
) qu'elle en devient moyennement crédible m'a traversée l'esprit. Côté frayeur, disons que ça ne fait pas peur mais qu'il y a du suspens. Un film d'horreur à 30 000 000 $ c'est rare mais au moins les effets spéciaux sont vraiment correctes et la photographie est très bonne. Les acteurs principaux (Kristen Connolly, Chris Hemsworth, Fran Kranz, Jesse Williams et Anna Hutchison) sont bons et on apprécie aussi la présence de la célèbre Sigourney Weaver (saga Alien) au casting ! La Cabane dans les Bois est donc une bonne surprise !

mais c'est quoi cette mauvaise blague?????? LE NAVET DE L'ANNÉE
Sans révéler la fin, je dirais simplement que le ridicule a été surpassé

Joss Whedon et Drew Goddard se moquent sublimement de la télé réalité avec ce surprenant film d'horreur qui sort clairement des sentiers battus. 1h30 super fun avec un bouquet final vraiment jouissif.

« La cabane dans les bois » a tous les symptômes du film d’horreur/slasher qui se prend au sérieux, courant dans ce genre de productions où la faiblesse du scénario et le manque d’inventivité se double d’une volonté forcenée de ne surtout pas avoir le moindre humour hormis celui lourdingue de blagues ras-du-front. On a donc une bande de jeunes au protagonistes très archétypaux : la blonde incendiaire, la coincée, le sportif, l’intello et l’accro du cannabis et autres drogues récréatives, qui partent dans un coin reculé pour passer un week-end de fiesta qui sans qu’on ait besoin de beaucoup d’intuition nous apparaît comme destiner à finir en massacre. Mais là où les choses se révèlent moins communes que pressenties, c’est dans la signature du scénario qui réunie Joss Whedon (le créateur de « Buffy ») et Drew Goddard (scénariste pour la même série et également pour « Lost » ou le film « Cloverfield ») et force est de constater que quand deux scénaristes compétents sont aux commandes d’un film de ce type il se place vraiment au-dessus niveau qualité. Car sans être une parodie du genre il offre un côté second degré et un humour plein de références qui rendent les dialogues et les situations beaucoup plus intéressantes. Il utilise en outre tous les passages obligés du genre pour offrir une dramatique plus complexe qui laisse vraiment le spectateur se creuser les méninges pour savoir ce qui réellement se cache derrière le massacre de ces jeunes. L’humour qui traverse le film n’est en outre jamais potache ou vulgaire, il s’inscrit dans une volonté de fournir plus de profondeur aux personnages et plus d’inédit dans les diverses péripéties du film. Ce dernier est en outre un hommage aux meilleures productions du genre avec une galerie de monstres vraiment réussie qui offre une séquence de massacre en milieu clos vraiment jouissive, ne serais-ce que par la qualité des effets spéciaux. Les acteurs (comme Chris « Thor » Hemsworth) qui ont choisi de jouer dans ce film ont eu vraiment le nez creux. Un divertissement horrifique d’excellente facture qui récompense le visionnage de tant de navets du genre et qui mérite de figurer au panthéon des films de genre. À voir absolument pour voir ce qu’un film d’horreur bien scénarisé peut donner.

si je pouvais mettre aucune étoile je le ferai
c'est un film très mauvais qui rassemble tous les archéotypes des films d'horreur :
les jeunes qui vont passer un week end dans une cabanes au fond des bois et cela va mal se passer, des personnages, des mutants, des zombies, des revenants, toute la panoplie est dépliée avec en parallèle un monde de télé réalité qui orchestre tout ces morts
du grand n'importe quoi
à fuir