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(...) Cette "Vénus noire" touche notre époque au plus sensible : l'oppression du regard et des normes, les vestiges de la colonisation. Ce film agit au présent.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le cinéaste (...) bouleverse non seulement les croyances, les clivages, les élans humanistes, les jugements hâtifs, mais aussi notre quotidien, en reliant hier à aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
La vertu de "Vénus noire" est de ne pas dénoncer, de n'encourager jamais le réflexe de haine, sans pour autant absoudre. L'histoire est terrible, les thèmes approchés sont de ceux qui provoquent l'effroi, la tentation était grande, et excusable sans doute, de vouloir le film aimable malgré tout, et plaisant (...). Il n'est pas, peut-être, de mérite plus grand que de ne pas prétendre séduire et d'y parvenir pourtant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
"Vénus noire" est un film d'une noirceur totale mais incandescente, radical au sein d'un genre mainstream (le biopic purement narratif) qui n'avait rien donné d'aussi beau depuis peut-être le "Van Gogh" de Pialat.
"Vénus noire", à la matière embrasée c'est tout à la fois un documentaire sur l'acharnement de tous contre une seule, un dispositif sadien pour fétichiste morbide (...) une fable ivre sur le coeur noir des hommes et la blancheur dépravée des femmes (...). Comment Kechiche s'en sort-il? Avec maestria (...)
La critique complète est disponible sur le site Libération
Âpre, tendue, privilégiant les regards aux enluminures de la reconstitution historique classique, la mise en scène de "Vénus noire" ne ménage pas le spectateur (...) Kechiche ausculte la mécanique du racisme (...). Essentiel.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Film puissant et forcément peu aimable (...), "Vénus noire" trace un chemin hautement risqué et met notre regard à l'épreuve, l'épuise, d'une façon inédite et forcément dérangeante.
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
Par une sensibilité dramatique menée à ses extrêmes cruels et crus, s'ordonnancent les strates d'une histoire que nous savons "vraie" et d'une fiction qui ne cesse de s'affirmer comme telle.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Clinique, certes, mais aussi d'une impressionnante ambition visuelle et narrative, "Vénus Noire" range définitivement Kechiche parmi les réalisateurs qui comptent.
La critique complète est disponible sur le site Première
A travers une histoire vraie, Kechiche réfléchit sur la pornographie esthétique et politique, les dérives du colonialisme et la dialectique maître-esclave. Il travaille aussi, comme toujours, la dignité de la tragédie et l'épuisement de la transe. La comédienne (Yahima Torres), presque atone, est bluffante.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Opposer à la lourdeur de la repentance politique, le doux repentir de l'artiste, la belle idée que voilà, mais ces touches délicates (...) s'avèrent trop étroites pour pouvoir aspirer un vent d'imaginaire et d'émotion au coeur de ce film monolithe. Il n'empêche que celui-ci peut toujours se targuer de sa belle et indéniable densité.
(...) On a une histoire forte et de gros moyens, mais quasiment pas d'émotion, ni d'empathie pour l'héroïne (...) Autant "La graine et le mulet" était un plat qui se mangeait chaud, autant cette "Vénus noire" nous laisse froids.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Kechiche enferme lui-même Saartje dans une spirale spectaculaire. Il n'en fait justement qu'une pure extériorité. Un individu hors-norme qui, par sa non conformité, s'expose. Un corps qui se montre. Un monstre. Vous avez compris ? Le coupable, c'est vous.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
(...) un ressentiment punitif, en longues scènes monocordes, insistantes, répétitives, méprisantes, comme s'il voulait faire payer au spectateur les insultes subies jadis par la pauvre Saartje.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Elle
(...) Cette "Vénus noire" touche notre époque au plus sensible : l'oppression du regard et des normes, les vestiges de la colonisation. Ce film agit au présent.
Excessif
Le cinéaste (...) bouleverse non seulement les croyances, les clivages, les élans humanistes, les jugements hâtifs, mais aussi notre quotidien, en reliant hier à aujourd'hui.
L'Obs
La vertu de "Vénus noire" est de ne pas dénoncer, de n'encourager jamais le réflexe de haine, sans pour autant absoudre. L'histoire est terrible, les thèmes approchés sont de ceux qui provoquent l'effroi, la tentation était grande, et excusable sans doute, de vouloir le film aimable malgré tout, et plaisant (...). Il n'est pas, peut-être, de mérite plus grand que de ne pas prétendre séduire et d'y parvenir pourtant.
Le Monde
Suivant le parcours tragique de Saartjie Baartman, le réalisateur de "L'Esquive" livre un film à la force tellurique.
Le Parisien
Cru, poisseux, dérangeant, le film peut sembler misanthrope et désespérant, mais se révèle d'une force rare.
Les Inrockuptibles
"Vénus noire" est un film d'une noirceur totale mais incandescente, radical au sein d'un genre mainstream (le biopic purement narratif) qui n'avait rien donné d'aussi beau depuis peut-être le "Van Gogh" de Pialat.
Libération
"Vénus noire", à la matière embrasée c'est tout à la fois un documentaire sur l'acharnement de tous contre une seule, un dispositif sadien pour fétichiste morbide (...) une fable ivre sur le coeur noir des hommes et la blancheur dépravée des femmes (...). Comment Kechiche s'en sort-il? Avec maestria (...)
Metro
Âpre, tendue, privilégiant les regards aux enluminures de la reconstitution historique classique, la mise en scène de "Vénus noire" ne ménage pas le spectateur (...) Kechiche ausculte la mécanique du racisme (...). Essentiel.
20 Minutes
Oeuvre puissante (...). Sans voyeurisme, mais sans concession.
Charlie Hebdo
Film puissant et forcément peu aimable (...), "Vénus noire" trace un chemin hautement risqué et met notre regard à l'épreuve, l'épuise, d'une façon inédite et forcément dérangeante.
L'Humanité
Par une sensibilité dramatique menée à ses extrêmes cruels et crus, s'ordonnancent les strates d'une histoire que nous savons "vraie" et d'une fiction qui ne cesse de s'affirmer comme telle.
La Croix
(...) un film d'une grande exigeance sur l'histoire de la Vénus hottentote.
Le Journal du Dimanche
(...) une épopée intense, en totale empathie avec une héroïne toujours mystérieuse, déjà contemporaine.
Marianne
Saisissant et éprouvant, somptueux et sordide, en un mot dérangeant (...).
Ouest France
(...) Une remuante introspection.
Positif
(...) Kechiche contiue de ciseler les thèmes qui animent son cinéma (...): le spectacle et le regard, le langage et la communication.
Première
Clinique, certes, mais aussi d'une impressionnante ambition visuelle et narrative, "Vénus Noire" range définitivement Kechiche parmi les réalisateurs qui comptent.
TéléCinéObs
A travers une histoire vraie, Kechiche réfléchit sur la pornographie esthétique et politique, les dérives du colonialisme et la dialectique maître-esclave. Il travaille aussi, comme toujours, la dignité de la tragédie et l'épuisement de la transe. La comédienne (Yahima Torres), presque atone, est bluffante.
Télérama
POUR - Film qui, jamais, ne cherche à séduire, mais n'en reste pas moins passionnant.
Cahiers du Cinéma
Opposer à la lourdeur de la repentance politique, le doux repentir de l'artiste, la belle idée que voilà, mais ces touches délicates (...) s'avèrent trop étroites pour pouvoir aspirer un vent d'imaginaire et d'émotion au coeur de ce film monolithe. Il n'empêche que celui-ci peut toujours se targuer de sa belle et indéniable densité.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Paris Match
(...) On a une histoire forte et de gros moyens, mais quasiment pas d'émotion, ni d'empathie pour l'héroïne (...) Autant "La graine et le mulet" était un plat qui se mangeait chaud, autant cette "Vénus noire" nous laisse froids.
Télérama
CONTRE - Rarement un film aura autant violenté et mis en cause son public.
Critikat.com
Kechiche enferme lui-même Saartje dans une spirale spectaculaire. Il n'en fait justement qu'une pure extériorité. Un individu hors-norme qui, par sa non conformité, s'expose. Un corps qui se montre. Un monstre. Vous avez compris ? Le coupable, c'est vous.
Le Figaroscope
(...) un ressentiment punitif, en longues scènes monocordes, insistantes, répétitives, méprisantes, comme s'il voulait faire payer au spectateur les insultes subies jadis par la pauvre Saartje.