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    Dallas Buyers Club
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    margauxperso
    margauxperso

    3 abonnés 50 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 février 2014
    Histoire passionnante, dans un contexte difficile mais poignant. Mention spéciale aux acteurs qui sont tous époustouflants! A voir!
    fcaponord
    fcaponord

    9 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 février 2014
    voilà un très beau film malgré l'aspect assez vulgaire sur le 1er degré....il y a cependant "du cœur", avec en fond de thème le problème tjrs présent de la réelle indépendance des grandes institutions (FDA, OMS, EFSA...) censées œuvrer pour la santé et le bien public............percutant, à voir !!! :-)
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 avril 2014
    Tout simplement sublime
    Une histoire poignante et des acteurs juste parfaits
    On ne peut décrocher tellement c'est beau
    A voir et a revoir
    _domimi_
    _domimi_

    8 abonnés 386 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 avril 2014
    Matthew I love you (par contre on met une capote hein !)
    tixou0
    tixou0

    650 abonnés 1 977 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 31 janvier 2014
    Ron Woodroof, électricien texan, a deux hobbys : le rodéo et courir les filles (ce célibataire mène une vie de patachon, alcoolique, adepte du sexe sans lendemain avec des partenaires pas très "clean", droguées comme lui - coke en ce qui le concerne - peu portées sur l'hygiène, quelle qu'elle soit, et pratiquant aussi le "vagabondage sexuel").
    Il est diagnostiqué séropositif en 1985 - il a 35 ans. On lui donne 1 mois de vie. Il s'accroche, d'abord de manière brouillonne (en se procurant illégalement de l'AZT, alors en expérimentation à haut niveau de dosage), puis de façon de plus en plus sensée, après la rencontre au Mexique voisin d'un médecin américain, interdit d'exercice aux E-U parce qu'il refuse les diktats des labos et de la FDA. Il va doubler une connaissance de plus en plus pointue des traitements alternatifs au Sida (qu'il teste sur lui, avec un certain succès - il survivra 7 ans durant !) avec l'astuce juridique (laquelle explique le titre). Cependant, DEA et IRS vont se liguer contre son "club" très particulier.
    Fallait-il 1 h 57 pour faire de cette histoire vraie un "biopic" ? Le résultat est un délayage édifiant (avec exposé platement chronologique des faits).
    Le film est un des grands favoris des Oscars cette année - réponse le 2 mars prochain. Pour moi, de manière totalement imméritée. Mais hautement compréhensible, car "aventure humaine" (la lutte contre un fléau de santé publique), avec performance physique (l'amaigrissement spectaculaire de McConaughey/Ron et Leto) et une bonne dose de "politiquement correct" - ici, sur l'évolution attendue, via la doxa ambiante, du personnage principal (Ron, macho de base, est persuadé que seuls les homos mâles peuvent être touchés par le Sida ; en fréquentant Raymond/"Rayon", un travesti de bonne famille, tombé dans l'addiction, il sera touché par la grâce homosexualiste et deviendra homophile).
    Trois raisons pour estampiller "Dallas Buyers Club" film à récompenser. Une évidence. Un "must".
    C'est en fait d'un intérêt cinématographique pur proche du néant. La seule vertu du film (par le Québécois Jean-Marc Vallée) est de (ré)entonner l'air (salutaire) du "les labos pharmaceutiques sont des bandits qui ne pensent qu'à s'en mettre plein les fouilles", amplifié par l'air secondaire du (toujours salutaire aussi) "les pouvoirs publics sont des complices zélés de ces fripouilles".
    Reste la performance d'acteurs de McConaughey et Leto ("Rayon"). Indéniable. Mais pour un jeu à une corde seulement.
    DiCaprio est 100 coudées au-dessus dans "Le Loup de Wall St" pour moi (indépendamment du jugement à porter sur le film de Scorsese). Hélas, je ne parierai pas sur ses chances, par rapport à MMcC. Pour les raisons évoquées plus haut, tenant au film-même, tellement dans le sens de la bien-pensance de l'Académie (AMPAS) attribuant les Oscars.
    Plume231
    Plume231

    3 562 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 mars 2014
    J'ai été très déçu que Leonardo DiCaprio n'ait pas obtenu un Oscar totalement mérité pour sa performance hallucinante dans "Le Loup de Wall Street" mais je ne pouvais pas légitimement critiquer l'Honorable Académie du fait que je n'avais pas encore vu l'interprétation de Matthew McConaughey... Bon ben maintenant que je l'ai vue, je peux la critiquer en toute légitimité... L'acteur a perdu un nombre considérable de kilos et on a l'impression que c'est juste pour cela qu'il a obtenu la statuette. Son jeu est plus-que-convenable mais pas mémorable non plus. Celui de Jared Leto en prostitué travesti pareil, les acteurs ayant incarné des travestis il y en a eu pas mal et là on est juste dans la moyenne sans plus, d'ailleurs même j'ai trouvé son personnage assez transparent...
    Il faut bien dire aussi que le sujet pourtant très fort, appelant un potentiel intensité énorme, n'est guère bien servi par une mise en scène qui a force de vouloir à tout prix faire dans la sobriété tombe dans une très grande platitude et une certaine pauvreté technique comme si le réalisateur ne comptait uniquement que sur ses comédiens pour porter l'ensemble...
    La seule chose que l'on retiendra de ce film, c'est que Leonardo DiCaprio a perdu face à Matthew McConaughey...
    missalila
    missalila

    7 abonnés 185 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 mars 2014
    Belle performance de Mathew, je ne connaissais pas l'histoire vrai de cet homme. Jared Leto est epoustouflant et la métamorphose est crédible : 2 grands acteurs dans un film à voir.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 janvier 2014
    6 nominations aux Oscars, dont meilleur film, deux Golden Globe, voila un film qui va marquer. Deux acteurs qui ont su se remettre en question. Une réalisation de Jean Marc Vallée pleine de talent et des images imprégnées de sa patte (C.R.A.Z.Y, Café de Flore). Un sujet grave qui nous replonge dans une époque ou l'inconnu faisait peur et ou la détresse était grande (1985). Un combat raconté sans tomber dans le pathos à aucun moment, avec une intensité rare et prenante. Un vrai film à voir, parce qu'on s'en souviendra tous simplement.
    selenie
    selenie

    5 601 abonnés 6 053 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 janvier 2014
    Après "C.R.A.Z.Y." (2005), "Victoria, les jeunes années d'une reine" (2009) et "Café de Flore" (2010) le réalisateur canadien s'offre, à l'instar de son compatriote Denis Villeneuve avec son "Prisoners" (2013), une entrée fracassante à Hollywood en adaptant l'histoire vraie de Ron Woodroof, un cow boy toxico et homophobe qui va ouvrir de nouvelles perspectives à l'aube du SIDA... Un biopic traité de manière assez classique dans la forme mais qui offre un fond plus complexe qu'il en a l'air. On suit donc un homme antipathique, un bouseux texan égoïste et homophobe qui n'a plus que 30 jours à vivre qui va aller chercher des traitements à l'étranger, pour sa survie d'abord et pour le business ensuite. Woodroof va alors s'associer avec un gay ce qui va ouvrir évidemment le lien vers l'amitié, la tolérance... etc... Emotion sans pathos et dénonciation d'un système pharnaceutique corrompu en filigrane. Mais c'est évidemment la performance des acteurs qui font de ce film le meilleur de ce début d'année. Matthew McConaughey confirme une nouvelle fois son retour tonitruand, perdant 22kg pour ce rôle, il signe là un jeu éblouissant. Jared Leto n'est pas en reste, après ses 28kg pris pour "Chapitre 27" (2007) de J.P. Schaefer, il perd 25kg pour le rôle de Rayon volant presque la vedette à McConaughey. Le duo McConaughey-Leto est absolument remarquable et impressionnant. Un drame prenant, intelligent et en prime une performance d'acteur qui vaut le détour.
    Benito G
    Benito G

    611 abonnés 3 159 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 mars 2014
    Voici un nouveau biopic comme on peut en voir sortir assez "régulièrement" en ce moment sur nos écrans. LE jeu des acteurs et la souplesse à laquelle ils font fasse est stupéfiante! LE mode caméra à l'épaule, là ou certains donnerait plus la nausée qu'autre chose. Apporte ici, un petit plus. Le coté, histoire vraie... Nous rappelons que la réalité dépasse parfois la fiction! Cette production nous apprend la compassion, la tolérance... Tout ça, avec une certaine forme d'instruction aussi instructive que déchirante. Jared L. nous épate en transexuelle séropo... et nous montre qu'il sait interpréter différent jeu de rôle quant cela lui est demander. Et pour le coup, il s'en sort remarquablement! On sent une légère touche d'humour, faisant passer un peu mieux la délicatesse de l'ensemble du sujet traité et pour une fois dans ce type de production (très loin d'égaler pas mal de biopic ou de ce qui peut ce faire chez nous^^). LE réalisateur arrive à ne pas mettre en avant le sentimentalisme malgrè l'envie se faisant parfois sentir. Et pour une fois, le réalisateur se moque des codes qui font recettes et raconte ; certes ; parfois crument ; mais avec authenticité un film à l'existence hors du commun (et ou, là ; la véracité de l'histoire n'est pas un coup de promo comme dans pas mal de film). Bref, une réussite totale ; ou l'on oppose les ficelles de ce que l'on voit habituellement. Rendant le film encore plus percutant, saisissant... Doté de plus, d'acteurs à leur maximum! Certains penseront que le film sombrera dans le pathos, le mélo et j'en passe. Mais c'est loin d'être le cas. Et ceux, en utilisant ; à contrario de ce qui est utilisé généralement. Ajoutant un peu de légèreté et d'humour (et ses deux points sont amplement nécessaire pour la réussite du film). On pourra donc passer outre les quelques ellipses, et la légère bancalité du scénario sur certains points. Rien ne peut être parfait, mais pour avoir traité un sujet aussi délicat et pourtant déjà traité. Celui-ci, s'avère être celui le plus aboutit et réussi à tout niveau! Une excellente surprise dont je n'attendais même pas le quart! A voir sans hésiter, pendant qu'il est sur les écrans (espérons que le bouche à oreille lui fasse gagner des salles, car bon nombre de cinéma ; ne le diffuse pas pour le moment...^^ A bon entendeur).





    .
    moket
    moket

    461 abonnés 4 227 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 décembre 2015
    J'ai longtemps retardé le moment de visionner ce film, craignant qu'il ne s'agisse que d'un film à performances, formaté pour les oscars. Et je suis ravi de m'être trompé ! Certes, les performances de Matthew McConaughey et Jared Leto sont XXL, Jennifer Garner est lumineuse, mais le film est aussi et surtout une histoire de rédemption très forte, formidablement racontée, émouvante sans tomber dans le pathos.
    Chris58640
    Chris58640

    186 abonnés 733 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 février 2014
    Pas très glamour sur le papier, j’en conviens, le sujet de « Dallas Buyers Club » s’avère pourtant passionnant et riche d’enseignements. Mais c’est vrai que dans ce film, pas de trace de poésie, de légèreté, de futilité. Ici, les corps sont marqués, les traits sont creusés, les yeux sont cernés et les tâches corporelles du syndrome de Kaposi s’impriment sur les corps amaigris. Les performances des deux principaux acteurs de ce film commencent déjà par cela, la performance physique. Matthew McConaughey interprète un cow boy hétéro au visage émacié, frappé par ce qu’on appelait alors encore « le cancer gay », maigre, à l’accent du Sud à couper au couteau. McConaughey est un acteur qui se bonifie avec le temps. Longtemps abonné aux films grands publics, parfois de qualité discutable comme « Sahara », il signe dans le rôle de Woodroof une performance ENORME qui fait de lui un vrai prétendant à l’Oscar du meilleur Acteur. A ses côtés, Jennifer Gardner est très convaincante mais son rôle est un peu sous-écrit. Jared Leto, en revanche, compose de façon très convaincante un travesti hyper attachant et émouvant. Le film dure presque deux heures mais il n’y a pas de vraies longueurs, son déroulement est très linéaire avec un petit décompte des jours qui montre bien que le Ron Woodroof condamné à brève échéance gagne des semaines des mois, des années sur la maladie, portée par ses traitement mais aussi, et surtout, par un rage de vivre indéniable. Il est heureux que le scénario insiste sur la mise à l’écart des malades à l’époque. On l’a peu être un peu oublié aujourd’hui, mais à l’époque, quand on était séropo, on était un pestiféré, on perdait tout de jour au lendemain, son travail, ses amis, ses repères, son logement. L’homophobe Ron Woodroof va se retrouver d’un seul coup dans le camp des exclus, de l’autre côté du manche. Il en tirera une force de vie qui l’amènera à plus de tolérance peut-être, plus d’humanité surement. Le scénario suggère et tente de dénoncer (sans que cela soit fait clairement) l’attitude cynique et mercantile des géants du médicament américain, et surtout du fabriquant de l’AZT qui semble faire assez peu de cas de la vie et surtout de la mort des victimes de l’époque. Les liaisons dangereuses entre cette entreprise et la puissante FDA auraient peut-être méritées d’être traitées avec plus de clarté. Mais il est vrai que le vrai sujet de « Dallas Buyers Club », c’est d’abord et avant tout l’histoire (vraie, je le précise) de Ron Woodroof, son combat contre les absurdités de l’administration de la santé et contre le désespoir et la maladie, même si on ne se fait aucune illusion sur l’issue de ce combat. J’ajoute que sur un sujet comme cela, on aurait pu avoir des scènes lourdes et larmoyantes (voir le pourtant excellent « Philadelphia ») et ce n’est jamais le cas, merci au réalisateur Jean-Marc Vallée de ne pas avoir cédé à cette facilité.
    matt240490
    matt240490

    74 abonnés 1 059 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 février 2015
    Au même titre que Philadelphia, avec Tom Hanks et Denzel Washington, Dallas Buyers Club aborde le difficile thème du SIDA et s'offre pour l'occasion Matthew McConaughey (Oscar du meilleur acteur dans ce film) et Jared Leto (Oscar du meilleur acteur de second rôle pour ce film), dont le rendu n'en sera que meilleur. Immersif, réaliste et empathique, ce biopic dramatique est avant tout positiviste : les pleurs se changent en rires, la peur en espoir tandis que la paranoïa se troque contre le partage. Scénario constructif et jeu d'acteur bluffant sont les maîtres-mots de cette réalisation sortie de nulle part, dont l'action communicative se révèle plus forte qu'il n'y parait. Car derrière le maquillage également Oscarisé, les facettes de chacun des personnages révèlent un message d'unité, et d'hédonisme.
    Misoramengasuki
    Misoramengasuki

    54 abonnés 399 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 février 2014
    Servi par la performance étonnante de Matthew McConaughey, et à un degré moindre par celle de Jared Leto, "Dallas Buyers Club" vaut essentiellement pour le tableau qu'il brosse des "années sida" - cette période épouvantable où aucun remède à la maladie n'était connu et où le virus véhiculait les peurs les plus irrationnelles. Plus proche du terrain que "Philadelphia", film jusque là sans doute le plus connu sur ce sujet, le film de Jean-Marc Vallée jette une lumière crue sur les souffrances des malades, l'ostracisme dont ils font l'objet (surtout dans l'atmosphère macho et anti-homo du Texas), mais aussi les solidarités suscitées par la maladie. Il montre l'incapacité de la médecine traditionnelle à sortir de ses modes de pensée habituels pour faire face à une maladie exceptionnelle, dont la gravité et l'ampleur de l'épidémie la dépassent. Le film est moins convaincant dans le procès qu'il intente à la FDA, l'organisme en charge de l'homologation des médicaments, accusée de bloquer la mise sur le marché de traitements alternatifs à l'AZT - probablement pour des questions de gros sous, mais le sujet n'est qu'effleuré. Reste la belle histoire d'un homme qui lutte, non seulement contre une terrible maladie, mais surtout pour sa liberté à se soigner comme il l'entend, et non comme la médecine lui dit qu'il devrait le faire. Une histoire qui reflète un aspect fondamental de la mentalité américaine ("l'Etat n'a pas à me dire ce que je dois faire, je suis responsable de ma vie, etc."), mais qui pour cette raison même, rencontrera sans doute moins d'écho en France, pays davantage porté à faire confiance aux institutions.
    Seemleo
    Seemleo

    53 abonnés 888 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 mars 2014
    Franchement, c'est ce genre de fiction/biopic qui donne espoir au cinéma en 2014. Un sujet en or, un scénario puissant, une mise en scène coup de points, efficace et soignée, un message universel à plusieurs dimensions, une reconstitution talentueuse couronnée par des interprétations exceptionnelles et un final allégorique fabuleux. Deux heures de bonheur.
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