Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
Elle
par Florence Ben Sadoun
Ron Woodroof, c’est Matthew McConaughey, qui aborde ce biopic avec une souplesse de jeu stupéfiante. Bien au-delà de la perte de poids, il est ce mourant qui veut vivre. Impressionnant et justement récompensé du golden globe du meilleur acteur, le 12 janvier.
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Le Figaroscope
par Nathalie Simon
Vallée, qui a tourné caméra à l'épaule, rappelle que la réalité est plus forte que la fiction.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Deux époustouflantes prouesses d'acteurs, une fine mise en perspective sociale, et le subtil parcours d'un bouseux du Texas, qui apprend la compassion, la tolérance et l'altruisme.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Danièle Heymann
Elle [l'histoire] est à peine croyable, tragiquement instructive, tonique et déchirante, zébrée d'humour désespéré.
Positif
par Pierre Eisenreich
On y admire un goût particulier pour la sophistication d'une image colorée et numérique qui procure une aura intime et lyrique au réel. (...) Matthew McConaughey livre à nouveau une prestation hors norme (...). Jared Leto livre un transsexuel sidérant de vérité.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
Une belle et puissante histoire de rédemption, portée par les performances de ses deux stars...
20 Minutes
par Caroline Vié
Le sentimentalisme est totalement absent d'une histoire où l'humour pointe parfois son nez. Ce biopic passionnant doit aussi une bonne dose de son impact à deux comédiens éblouissants.
Critikat.com
par Ferhat Abbas
Le corps devient ici un moyen d’affirmation ; un ancrage de la dégénérescence, de la maladie dans le temps, et permet au cinéaste d’en faire un outil dramaturgique à part entière.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Filmsactu
par Romain Duvic
"Dallas Buyers Club" se moque des contraintes hollywoodiennes et raconte crument une existence hors du commun.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
L'Express
par Sandra Benedetti
Voir le site de L'Express.
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Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Dans une mise en scène aussi sèche que son héros, Matthew McConaughey, décharné et enragé, livre une performance saisissante, qui finit d'emporter le film.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Hubert Lizé
L’histoire du film « Dallas Buyers Club » est celle d’une double métamorphose : d’un homme, Ron Woodroof, mort du sida à 42 ans en septembre 1992, et d’un acteur, Matthew McConaughey.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Thomas Mahler
Le film est une réussite tant par son refus du sentimentalisme que par sa façon de saisir, avec humour, le pragmatisme du self-made-man américain.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
(...) un récit édifiant, inspired by a true story, une conscience politique en étendard et des acteurs au sommet.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Metro
par Marilyne Letertre
Malgré la gravité de son sujet, "Dallas Buyers Club" s’autorise aussi légèreté et humour. Les extravagances de Rayon, le franc-parler de Ron, leurs prises de becs piquantes désamorcent ainsi les risques de sentimentalisme et évitent au film de sombrer dans le mélo pataud et pathos.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Paris Match
par Alain Spira
Apre, sans sentimentalisme superflu, "Dallas Buyers Club" met en scène un héros tragique comme l’Amérique les aime, un mauvais garçon que le destin métamorphosera en Don Quichotte porte-parole d’une cause juste.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Mathieu Carratier
Là où de nombreux cinéastes seraient tombés dans le panneau du drame solennel "inspiré de faits réels", le réalisateur a choisi l'option la plus courageuse : autoriser son film, malgré le poids du sujet, à fonctionner comme un divertissement décomplexé...
Studio Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Transfuge
par Frédéric Mercier
Vallée a deux bonnes idées pour éviter à son script hagiographique de trop faire voir son côté christique, prêchi-prêcha en diable. D'abord de mêler son esthétique glam (...) à la ruralité texane dans un montage morcelé (...). Ensuite de camper des personnages rebelles comme Ron, incarné ici par McConaughey.
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
A la réalisation, le Québécois Jean-Marc Vallée, découvert en 2005 avec "C.R.A.Z.Y.", a le bon goût de s’effacer derrière son histoire, et la performance de ses deux monstres de comédiens.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
par Hadrien Martin
Dallas Buyers Club nous fait ressentir le vertige d’une situation insensée. Un parti pris dont l’intensité dramatique est décuplée par la transformation tant physique qu’idéologique subie par le personnage de Ron.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
"Dallas Buyers Club" souffre d'un scénario parfois bancal, troué d'ellipses étranges et d'un traitement en silhouette de tous les personnages secondaires. Reste la performance phénoménale du couple McConaughey/Leto.
CinemaTeaser
par Renan Cros
Un film littéralement dévoré par les prestations presque poétiques de ses acteurs principaux, Matthew McConaughey et Jared Leto.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Difficile de ne pas couler sous l’édifice un peu vain du mélodrame hollywoodien, qui ne semble exister que pour et par ses performances d’acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Monde
par Jean-François Rauger
Classique récit d'une rédemption et de la lutte d'un individu contre le système, Dallas Buyers Club vaut surtout pour la performance de Matthew McConaughey.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Bruno Icher
A part ces facilités, le film a le mérite de s’en tenir à une certaine sobriété de mise en scène, laissant toute la place au numéro de duettistes auquel se livrent les deux interprètes principaux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
TF1 News
par Romain Le Vern
La mise en scène pêche par maniérisme, cherche l'épate alors que le sujet réclame l'inverse. Néanmoins, on saluera l'implication totale de Matthew McConaughey qui a décidé de se racheter une conduite au cinéma [...].
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Frédéric Strauss
Le film célèbre cette énergie plus forte que tout, aussi fascinante que la performance de McConaughey, déjà récompensée par un Golden Globe.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Clémentine Gallot
Ce fade plaidoyer didactique agit surtout comme une piqûre de rappel : longtemps discriminés, les malades du « cancer gay » ont aussi servi de cobayes à l’industrie pharmaceutique.
Elle
Ron Woodroof, c’est Matthew McConaughey, qui aborde ce biopic avec une souplesse de jeu stupéfiante. Bien au-delà de la perte de poids, il est ce mourant qui veut vivre. Impressionnant et justement récompensé du golden globe du meilleur acteur, le 12 janvier.
Le Figaroscope
Vallée, qui a tourné caméra à l'épaule, rappelle que la réalité est plus forte que la fiction.
Les Fiches du Cinéma
Deux époustouflantes prouesses d'acteurs, une fine mise en perspective sociale, et le subtil parcours d'un bouseux du Texas, qui apprend la compassion, la tolérance et l'altruisme.
Marianne
Elle [l'histoire] est à peine croyable, tragiquement instructive, tonique et déchirante, zébrée d'humour désespéré.
Positif
On y admire un goût particulier pour la sophistication d'une image colorée et numérique qui procure une aura intime et lyrique au réel. (...) Matthew McConaughey livre à nouveau une prestation hors norme (...). Jared Leto livre un transsexuel sidérant de vérité.
Télé 7 Jours
Une belle et puissante histoire de rédemption, portée par les performances de ses deux stars...
20 Minutes
Le sentimentalisme est totalement absent d'une histoire où l'humour pointe parfois son nez. Ce biopic passionnant doit aussi une bonne dose de son impact à deux comédiens éblouissants.
Critikat.com
Le corps devient ici un moyen d’affirmation ; un ancrage de la dégénérescence, de la maladie dans le temps, et permet au cinéaste d’en faire un outil dramaturgique à part entière.
Filmsactu
"Dallas Buyers Club" se moque des contraintes hollywoodiennes et raconte crument une existence hors du commun.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Le Journal du Dimanche
Dans une mise en scène aussi sèche que son héros, Matthew McConaughey, décharné et enragé, livre une performance saisissante, qui finit d'emporter le film.
Le Parisien
L’histoire du film « Dallas Buyers Club » est celle d’une double métamorphose : d’un homme, Ron Woodroof, mort du sida à 42 ans en septembre 1992, et d’un acteur, Matthew McConaughey.
Le Point
Le film est une réussite tant par son refus du sentimentalisme que par sa façon de saisir, avec humour, le pragmatisme du self-made-man américain.
Les Inrockuptibles
(...) un récit édifiant, inspired by a true story, une conscience politique en étendard et des acteurs au sommet.
Metro
Malgré la gravité de son sujet, "Dallas Buyers Club" s’autorise aussi légèreté et humour. Les extravagances de Rayon, le franc-parler de Ron, leurs prises de becs piquantes désamorcent ainsi les risques de sentimentalisme et évitent au film de sombrer dans le mélo pataud et pathos.
Paris Match
Apre, sans sentimentalisme superflu, "Dallas Buyers Club" met en scène un héros tragique comme l’Amérique les aime, un mauvais garçon que le destin métamorphosera en Don Quichotte porte-parole d’une cause juste.
Première
Là où de nombreux cinéastes seraient tombés dans le panneau du drame solennel "inspiré de faits réels", le réalisateur a choisi l'option la plus courageuse : autoriser son film, malgré le poids du sujet, à fonctionner comme un divertissement décomplexé...
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Transfuge
Vallée a deux bonnes idées pour éviter à son script hagiographique de trop faire voir son côté christique, prêchi-prêcha en diable. D'abord de mêler son esthétique glam (...) à la ruralité texane dans un montage morcelé (...). Ensuite de camper des personnages rebelles comme Ron, incarné ici par McConaughey.
TéléCinéObs
A la réalisation, le Québécois Jean-Marc Vallée, découvert en 2005 avec "C.R.A.Z.Y.", a le bon goût de s’effacer derrière son histoire, et la performance de ses deux monstres de comédiens.
aVoir-aLire.com
Dallas Buyers Club nous fait ressentir le vertige d’une situation insensée. Un parti pris dont l’intensité dramatique est décuplée par la transformation tant physique qu’idéologique subie par le personnage de Ron.
Charlie Hebdo
"Dallas Buyers Club" souffre d'un scénario parfois bancal, troué d'ellipses étranges et d'un traitement en silhouette de tous les personnages secondaires. Reste la performance phénoménale du couple McConaughey/Leto.
CinemaTeaser
Un film littéralement dévoré par les prestations presque poétiques de ses acteurs principaux, Matthew McConaughey et Jared Leto.
Ecran Large
Difficile de ne pas couler sous l’édifice un peu vain du mélodrame hollywoodien, qui ne semble exister que pour et par ses performances d’acteurs.
Le Monde
Classique récit d'une rédemption et de la lutte d'un individu contre le système, Dallas Buyers Club vaut surtout pour la performance de Matthew McConaughey.
Libération
A part ces facilités, le film a le mérite de s’en tenir à une certaine sobriété de mise en scène, laissant toute la place au numéro de duettistes auquel se livrent les deux interprètes principaux.
TF1 News
La mise en scène pêche par maniérisme, cherche l'épate alors que le sujet réclame l'inverse. Néanmoins, on saluera l'implication totale de Matthew McConaughey qui a décidé de se racheter une conduite au cinéma [...].
Télérama
Le film célèbre cette énergie plus forte que tout, aussi fascinante que la performance de McConaughey, déjà récompensée par un Golden Globe.
Cahiers du Cinéma
Ce fade plaidoyer didactique agit surtout comme une piqûre de rappel : longtemps discriminés, les malades du « cancer gay » ont aussi servi de cobayes à l’industrie pharmaceutique.