Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Le film s'impose comme un vrai spectacle populaire, épique et profondément honnête, filmé par un des derniers vrais amoureux du cinéma et rythmé par la flamboyante partition d'un Philippe Sarde complètement habité.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
La beauté des images, des costumes, le plaisir d'un romanesque dépoussiéré, d'une troupe d'acteurs inspirée, de seconds rôles épatants ah, Magnan et Vuillermoz ! , tout cela concourt à faire de " la Princesse de Montpensier " un film ambitieux et poignant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
(...) Bertrand Tavernier nous sert un plaisir royal. Le cinéaste retrouve la fougue de "Que la fête commence" et la violence de "Capitaine Conan" pour un récit haut en couleur où les dialogues sont aussi aiguisés que des dagues.
Tavernier se fait fin portraitiste - son pinceau n'appuie pas. (...) Servi par des dialogues vifs et épurés (...), il redonne toutes ses lettres de noblesse au classicisme, littéraire comme cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Mélanie Thierry, surprenante de sensibilité à fleur de peau, apporte un relief bouleversant à cette héroïne étonnamment moderne que créa Madame de la Fayette en 1662.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
D'une force romanesque certes un peu lente au démarrage, le scénario tisse le fil d'une intrigue qui, une fois, débarrassée de ses oripeaux historiques confus, embraye sur une impressionnante corrida de rivalités masculines.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le réalisateur enrôle une pléiade de jeunes acteurs – la bonne idée du film –, traite l'histoire sans gourme, c'est-à-dire en y injectant ce qu'il faut de modernité, filme au corps à corps les champs de bataille ou les appétits nus et tient le pari de conjuguer l'épique et le lyrisme.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Il manque à cette "Princesse de Montpensier" soit la rigueur formelle qui la transformerait en une véritable tragédie, soit la fougue et la fantaisie qui en feraient une oeuvre pleinement romanesque et populaire.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Princesse de Montpensier ressemble à une représentation théâtrale qu'interprèterait une mauvaise troupe de saltimbanques sur les tréteaux d'une place publique au 17e siècle.
Malédiction du label " Maurice Druon présente " : pas facile de s'intéresser à une scène de repas quand tout le casting autour de la table est occupé à rappeler qu'au XVIème on mangeait avec les doigts, pas facile d'écouter ce qui se dit quand la moindre paire de rideaux concourt au César du meilleur acteur
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Brazil
Le film s'impose comme un vrai spectacle populaire, épique et profondément honnête, filmé par un des derniers vrais amoureux du cinéma et rythmé par la flamboyante partition d'un Philippe Sarde complètement habité.
Elle
Une vision étonnamment moderne des tourments de l'amour, servie par un casting ultra-alléchant (...).
Impact
(...) le film de genre le plus moderne et le plus exaltant qui soit. En quittant la brume électrique, Bertrand Tavernier a retrouvé la lumière.
Le Figaroscope
Dans le tourbillon de ces amours sublimées ou contrariées, Tavernier nous frappe en plein coeur.
Le Parisien
La beauté des images, des costumes, le plaisir d'un romanesque dépoussiéré, d'une troupe d'acteurs inspirée, de seconds rôles épatants ah, Magnan et Vuillermoz ! , tout cela concourt à faire de " la Princesse de Montpensier " un film ambitieux et poignant.
La Croix
(...) un film haletant sur la violence des tourments intimes.
Le Journal du Dimanche
(...) Bertrand Tavernier nous sert un plaisir royal. Le cinéaste retrouve la fougue de "Que la fête commence" et la violence de "Capitaine Conan" pour un récit haut en couleur où les dialogues sont aussi aiguisés que des dagues.
Le Point
Voir le site du Point.
Marianne
(...) le retour au grand cinéma classique, bien dialogué (...), bien photographié (...).
Ouest France
(...) une mise en scène solidement charpentée qui s'ouvre à la prestation d'une toute jeune distribution.
Positif
(...) le cinéaste s'approprie le sujet avec fougue.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télé 7 Jours
(...) une oeuvre intemporelle, romanesque et instructive sur les moeurs du XVIe siècle.
Télérama
Tavernier se fait fin portraitiste - son pinceau n'appuie pas. (...) Servi par des dialogues vifs et épurés (...), il redonne toutes ses lettres de noblesse au classicisme, littéraire comme cinématographique.
20 Minutes
Mélanie Thierry, surprenante de sensibilité à fleur de peau, apporte un relief bouleversant à cette héroïne étonnamment moderne que créa Madame de la Fayette en 1662.
Le Monde
L'assemblage est baroque, souvent instable, mais porté par ce qui fit justement le malheur de la princesse : le désir.
Metro
La reconstitution est crédible, le dialogue très beau. Dommage que la mise en scène manque de punch.
Première
D'une force romanesque certes un peu lente au démarrage, le scénario tisse le fil d'une intrigue qui, une fois, débarrassée de ses oripeaux historiques confus, embraye sur une impressionnante corrida de rivalités masculines.
TéléCinéObs
Le réalisateur enrôle une pléiade de jeunes acteurs – la bonne idée du film –, traite l'histoire sans gourme, c'est-à-dire en y injectant ce qu'il faut de modernité, filme au corps à corps les champs de bataille ou les appétits nus et tient le pari de conjuguer l'épique et le lyrisme.
Critikat.com
Il manque à cette "Princesse de Montpensier" soit la rigueur formelle qui la transformerait en une véritable tragédie, soit la fougue et la fantaisie qui en feraient une oeuvre pleinement romanesque et populaire.
Excessif
Une grande déception.
Les Inrockuptibles
L'air frais visé laisse place à une miniature sous cloche et sous vide où le mélo, les sentiments flamboyants et les batailles sont lyophilisés.
Cahiers du Cinéma
La Princesse de Montpensier ressemble à une représentation théâtrale qu'interprèterait une mauvaise troupe de saltimbanques sur les tréteaux d'une place publique au 17e siècle.
Chronic'art.com
Malédiction du label " Maurice Druon présente " : pas facile de s'intéresser à une scène de repas quand tout le casting autour de la table est occupé à rappeler qu'au XVIème on mangeait avec les doigts, pas facile d'écouter ce qui se dit quand la moindre paire de rideaux concourt au César du meilleur acteur
Libération
Dans le texte originel, on se souciait moins de sentiments et plus de dignité, c'était mieux.