Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Le Monde
par Isabelle Regnier
Comme on l'imagine aisément, le couple formé par ces deux icônes hyper-sexuelles que sont Béart et Dalle est un plaisir à regarder, d'autant plus qu'elles sont servies par le génie corrosif des dialogues de Despentes. (...) On en redemande.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Le film [est] une vraie surprise venant de son auteur (...) : une pure comédie romantique, drôle, hypersentimentale, parfois même un peu fleur bleue.(...) Avec une candeur réjouissante, dans un style économe débarrassé des excès de "Baise-moi", Virginie Despentes filme les retrouvailles électriques et pulsionnelles de ces femmes résistantes, pour qui le (no) futur s'envisage désormais à deux.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Le film [est] une vraie surprise venant de son auteur (...) : une pure comédie romantique, drôle, hypersentimentale, parfois même un peu fleur bleue.(...) Avec une candeur réjouissante, dans un style économe débarrassé des excès de "Baise-moi", Virginie Despentes filme les retrouvailles électriques et pulsionnelles de ces femmes résistantes, pour qui le (no) futur s'envisage désormais à deux.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Elle
par Anne Diatkine
Le film tient d'abord dans cette rencontre explosive entre deux tempéraments toujours au bord de la révolte. Par ailleurs, c'est sans doute la première fois en France qu'un film grand public, de facture classique, et avec des stars, montre une histoire homosexuelle non comme une étrangeté, mais comme allant de soi.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Les Fiches du Cinéma
par Chloé Rolland
Étonnamment classique et moins énervé que "Baise-moi", "Bye Bye Blondie" témoigne néanmoins d'un esprit toujours libre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
TéléCinéObs
par Florence Raillard
Le couple Béart-Dalle est remarquable, mais la jeune Stéphanie Sokolinski, dite Soko, chanteuse et actrice déjà repérée chez Xavier Giannoli, embarque tout en indécrottable révoltée.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Louis Guichard
La réalisatrice de "Baise-moi" - et d'abord écrivaine - s'est assagie (aucune scène crue), gentiment embourgeoisée : elle raconte et filme cette fois de façon classique, sinon plan-plan. (...) Mais c'est bien la veine sentimentale, la plus risquée, la plus réussie, qui donne son épaisseur au film.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
La puissance du gros trait ne fonctionne ici que sous un aspect, qui tient au casting : "Bye Bye Blondie" abouche les paires de lèvres les plus proéminentes du cinéma français.
CinemaTeaser
par Julien Munoz
Le film ne peut compter que sur le caractère bien trempé de Béatrice Dalle pour insuffler ce petit trait d'insubordination qui lui fait tant défaut.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Benoît Smith
On aimerait y croire un peu, à cette histoire d'amour contrarié et subversif. Difficile quand Despentes ne fait guère mine d'y croire elle-même.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Excessif
par Romain Le Vern
(...) en littérature, Despentes a les mots pour traduire ce qu'elle ressent et ne les mâche pas. Au cinéma, elle semble beaucoup moins sûre d'elle, ne maîtrise absolument pas la mise en scène - c'était déjà le défaut criant de "Baise-moi" -, n'a plus aucune mainmise, même si elle veille à la bande-son (...).
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le Point
par Florence Colombani
Voir le site du Point
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Olivier Séguret
La fureur punk de "Baise-moi" a laissé place à un cinéma d'auteur pépère et malhabile, où l'assemblage de flash-back ressemble à un croisement de lacets mal attachés.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Olivier de Bruyn
Dans "Bye Bye Blondie", Virginie Despentes reste fidèle à sa manière trash et mêle sentiments exacerbés, haine de l'ordre bourgeois et colère punk, en accord avec une bande son qui renvoie à la jeunesse électrique des héroïnes. Le résultat [est] aussi sincère qu'incertain.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Ecran Large
par Simon Riaux
Deux précieuses ridicules qui feraient passer "La Cage aux folles" pour un brûlot libertaire et subversif.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Julien Welter
"Bye Bye Blondie", c'est "bye bye" la mise en scène, le jeu d'acteurs et le 7e art.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaroscope
par Emmanuèle Frois
Rien à sauver dans cette bluette dont les dialogues sonnent faux où les actrices jouent mal. Et où l'image est d'une laideur à pleurer. Que Virginie Despentes reprenne sa machine à écrire!
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Marianne
par Isabelle Curtet-Poulner
Dalle sert son jeu habituel. Béart, elle, est ailleurs. Quant au film, il a au moins le mérite de la constance : il sonne faux du début à la fin.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par La rédaction
(...) une mise en scène à l'emporte-pièce, une évocation bâclée des années 80 et surtout un amoncellement de clichés et de poncifs sur les milieux de l'art, du show-biz , de l'intelligentsia et du parisianisme en général. Un vrai plantage.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Première
par Frédéric Foubert
"Bye Bye Blondie" est un naufrage absolu : seconds rôles jamais en place, faux raccords à tous les étages, reconstitution toc des 80's, Pascal Greggory en roue libre... On connaissait le nanar de l'écrivain friqué (...), voici le nanar de l'écrivain fauché.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
Comme on l'imagine aisément, le couple formé par ces deux icônes hyper-sexuelles que sont Béart et Dalle est un plaisir à regarder, d'autant plus qu'elles sont servies par le génie corrosif des dialogues de Despentes. (...) On en redemande.
Les Inrockuptibles
Le film [est] une vraie surprise venant de son auteur (...) : une pure comédie romantique, drôle, hypersentimentale, parfois même un peu fleur bleue.(...) Avec une candeur réjouissante, dans un style économe débarrassé des excès de "Baise-moi", Virginie Despentes filme les retrouvailles électriques et pulsionnelles de ces femmes résistantes, pour qui le (no) futur s'envisage désormais à deux.
Les Inrockuptibles
Le film [est] une vraie surprise venant de son auteur (...) : une pure comédie romantique, drôle, hypersentimentale, parfois même un peu fleur bleue.(...) Avec une candeur réjouissante, dans un style économe débarrassé des excès de "Baise-moi", Virginie Despentes filme les retrouvailles électriques et pulsionnelles de ces femmes résistantes, pour qui le (no) futur s'envisage désormais à deux.
Elle
Le film tient d'abord dans cette rencontre explosive entre deux tempéraments toujours au bord de la révolte. Par ailleurs, c'est sans doute la première fois en France qu'un film grand public, de facture classique, et avec des stars, montre une histoire homosexuelle non comme une étrangeté, mais comme allant de soi.
Les Fiches du Cinéma
Étonnamment classique et moins énervé que "Baise-moi", "Bye Bye Blondie" témoigne néanmoins d'un esprit toujours libre.
TéléCinéObs
Le couple Béart-Dalle est remarquable, mais la jeune Stéphanie Sokolinski, dite Soko, chanteuse et actrice déjà repérée chez Xavier Giannoli, embarque tout en indécrottable révoltée.
Télérama
La réalisatrice de "Baise-moi" - et d'abord écrivaine - s'est assagie (aucune scène crue), gentiment embourgeoisée : elle raconte et filme cette fois de façon classique, sinon plan-plan. (...) Mais c'est bien la veine sentimentale, la plus risquée, la plus réussie, qui donne son épaisseur au film.
Cahiers du Cinéma
La puissance du gros trait ne fonctionne ici que sous un aspect, qui tient au casting : "Bye Bye Blondie" abouche les paires de lèvres les plus proéminentes du cinéma français.
CinemaTeaser
Le film ne peut compter que sur le caractère bien trempé de Béatrice Dalle pour insuffler ce petit trait d'insubordination qui lui fait tant défaut.
Critikat.com
On aimerait y croire un peu, à cette histoire d'amour contrarié et subversif. Difficile quand Despentes ne fait guère mine d'y croire elle-même.
Excessif
(...) en littérature, Despentes a les mots pour traduire ce qu'elle ressent et ne les mâche pas. Au cinéma, elle semble beaucoup moins sûre d'elle, ne maîtrise absolument pas la mise en scène - c'était déjà le défaut criant de "Baise-moi" -, n'a plus aucune mainmise, même si elle veille à la bande-son (...).
Le Point
Voir le site du Point
Libération
La fureur punk de "Baise-moi" a laissé place à un cinéma d'auteur pépère et malhabile, où l'assemblage de flash-back ressemble à un croisement de lacets mal attachés.
Positif
Dans "Bye Bye Blondie", Virginie Despentes reste fidèle à sa manière trash et mêle sentiments exacerbés, haine de l'ordre bourgeois et colère punk, en accord avec une bande son qui renvoie à la jeunesse électrique des héroïnes. Le résultat [est] aussi sincère qu'incertain.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Ecran Large
Deux précieuses ridicules qui feraient passer "La Cage aux folles" pour un brûlot libertaire et subversif.
L'Express
"Bye Bye Blondie", c'est "bye bye" la mise en scène, le jeu d'acteurs et le 7e art.
Le Figaroscope
Rien à sauver dans cette bluette dont les dialogues sonnent faux où les actrices jouent mal. Et où l'image est d'une laideur à pleurer. Que Virginie Despentes reprenne sa machine à écrire!
Marianne
Dalle sert son jeu habituel. Béart, elle, est ailleurs. Quant au film, il a au moins le mérite de la constance : il sonne faux du début à la fin.
Ouest France
(...) une mise en scène à l'emporte-pièce, une évocation bâclée des années 80 et surtout un amoncellement de clichés et de poncifs sur les milieux de l'art, du show-biz , de l'intelligentsia et du parisianisme en général. Un vrai plantage.
Première
"Bye Bye Blondie" est un naufrage absolu : seconds rôles jamais en place, faux raccords à tous les étages, reconstitution toc des 80's, Pascal Greggory en roue libre... On connaissait le nanar de l'écrivain friqué (...), voici le nanar de l'écrivain fauché.