Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Critikat.com
par Marianne Fernandez
Offrant de la "rom com" un versant moins graveleux que celui de leurs divers acolytes, Stoller et Segel développent un humour fin et efficace.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Mélissa Bianco
Jason Segel nous prouve qu'il est sans doute ce qui peut arriver de mieux à la comédie américaine contemporaine.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Clémentine Goldszal
Une mignardise d'été savoureuse et tendre fortement recommandée.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Monde
par Thomas Sotinel
On y retrouve la combinaison d'humour transgressif et de sentimentalisme ultra-conformiste qui distinguent [les films de Judd Apatow]. Ici, l'alchimie du cocktail laisse se déployer l'arôme sentimental teinté d'une légère amertume par la sensation du temps qui passe et se perd.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Plus qu'une comédie sentimentale bien rodée, "5 ans de réflexion" est une belle variation, drôle, agaçante et poignante, sur ce qui fait un couple.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Le style Judd Apatow, qu'on connaît désormais très bien (...) atteint ici un raffinement absolu, pas si loin de certains Blake Edwards des années 80 (...), et laisse une fois de plus la concurrence à des kilomètres derrière.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Julien Gester
La séquence [d'ouverture] est magistrale, mais c'est aussi un programme, et le film le tiendra près de deux heures avec un brio et une drôlerie jamais entamés.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Antoine Prioul
Outre le fabuleux Jason Segel (...), on retrouve intacte cette manière de fixer la comédie sur des enjeux essentiellement domestiques, dans un va-et-vient entre leçon de vie et pure trivialité. Le film est un poil long, mais tellement généreux qu'il s'en remet divinement.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Guillaume Loison
"5 Ans de réflexion" se montre d'une précision redoutable, et trouve dans ce tiraillement existentiel au long cours un ressort comique d'une remarquable efficacité.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Jérémie Couston
Le triumvirat de la comédie régressive américaine à son apogée ? Après "Sans Sarah rien ne va !" et "American Trip", Judd Apatow, Nicholas Stoller et Jason Segel — respectivement producteur, réalisateur et acteur, les deux derniers étant aussi scénaristes — ont réussi la comédie romantique quasi parfaite.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ouest France
par La rédaction
Cette chronique de l'apprentissage de la vie à deux est longue, bien longue. Et guère originale (...). Juste un peu d'humour dans une succession de banalités et de lieux communs. Bien loin des joyeuses provocations dont la comédie romantique américaine sait parfois faire ses délices.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Voir le site de Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
Alors que la situation est cruelle, le film est gnangnan. Tout est gentiment policé, sympa, mollasson, à l'image de l'acteur Jason Siegel, un grand dadais. La galaxie Apatow est en train de s'auto-asphyxier.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Filmsactu
par Christelle Michel
Le scénario manquant de rythme n'autorise pas toute la mesure du talent du duo Blunt/Segel, qu'on aurait souhaité plus punchy.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Malgré quelques scènes loufoques et l'énergie communicative de la pétillante Emily Blunt, on se lasse vite de ces énièmes atermoiements sur les compromis de la vie à deux et le renoncement aux joies du célibat.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
Autour des rapports homme-femme, cette comédie estivale, un brin longuette et trop sage, doit beaucoup à l'abattage de son charmant duo.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
"5 ans de réflexion" manque trop de rythme et de mordant pour éviter notre ennui.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Positif
par Grégory Valens
Comme nombre de films de l'écurie Judd Apatow, celui-ci se traîne en longueur et finit par épuiser le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Critikat.com
Offrant de la "rom com" un versant moins graveleux que celui de leurs divers acolytes, Stoller et Segel développent un humour fin et efficace.
Ecran Large
Jason Segel nous prouve qu'il est sans doute ce qui peut arriver de mieux à la comédie américaine contemporaine.
Elle
Une mignardise d'été savoureuse et tendre fortement recommandée.
Le Monde
On y retrouve la combinaison d'humour transgressif et de sentimentalisme ultra-conformiste qui distinguent [les films de Judd Apatow]. Ici, l'alchimie du cocktail laisse se déployer l'arôme sentimental teinté d'une légère amertume par la sensation du temps qui passe et se perd.
Les Fiches du Cinéma
Plus qu'une comédie sentimentale bien rodée, "5 ans de réflexion" est une belle variation, drôle, agaçante et poignante, sur ce qui fait un couple.
Les Inrockuptibles
Le style Judd Apatow, qu'on connaît désormais très bien (...) atteint ici un raffinement absolu, pas si loin de certains Blake Edwards des années 80 (...), et laisse une fois de plus la concurrence à des kilomètres derrière.
Libération
La séquence [d'ouverture] est magistrale, mais c'est aussi un programme, et le film le tiendra près de deux heures avec un brio et une drôlerie jamais entamés.
Première
Outre le fabuleux Jason Segel (...), on retrouve intacte cette manière de fixer la comédie sur des enjeux essentiellement domestiques, dans un va-et-vient entre leçon de vie et pure trivialité. Le film est un poil long, mais tellement généreux qu'il s'en remet divinement.
TéléCinéObs
"5 Ans de réflexion" se montre d'une précision redoutable, et trouve dans ce tiraillement existentiel au long cours un ressort comique d'une remarquable efficacité.
Télérama
Le triumvirat de la comédie régressive américaine à son apogée ? Après "Sans Sarah rien ne va !" et "American Trip", Judd Apatow, Nicholas Stoller et Jason Segel — respectivement producteur, réalisateur et acteur, les deux derniers étant aussi scénaristes — ont réussi la comédie romantique quasi parfaite.
Ouest France
Cette chronique de l'apprentissage de la vie à deux est longue, bien longue. Et guère originale (...). Juste un peu d'humour dans une succession de banalités et de lieux communs. Bien loin des joyeuses provocations dont la comédie romantique américaine sait parfois faire ses délices.
Studio Ciné Live
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Cahiers du Cinéma
Alors que la situation est cruelle, le film est gnangnan. Tout est gentiment policé, sympa, mollasson, à l'image de l'acteur Jason Siegel, un grand dadais. La galaxie Apatow est en train de s'auto-asphyxier.
Filmsactu
Le scénario manquant de rythme n'autorise pas toute la mesure du talent du duo Blunt/Segel, qu'on aurait souhaité plus punchy.
Le Journal du Dimanche
Malgré quelques scènes loufoques et l'énergie communicative de la pétillante Emily Blunt, on se lasse vite de ces énièmes atermoiements sur les compromis de la vie à deux et le renoncement aux joies du célibat.
Télé 7 Jours
Autour des rapports homme-femme, cette comédie estivale, un brin longuette et trop sage, doit beaucoup à l'abattage de son charmant duo.
CinemaTeaser
"5 ans de réflexion" manque trop de rythme et de mordant pour éviter notre ennui.
Positif
Comme nombre de films de l'écurie Judd Apatow, celui-ci se traîne en longueur et finit par épuiser le spectateur.