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    12 Rounds
    Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "12 Rounds" et de son tournage !

    Note d'intention

    Pour Renny Harlin, le film était une opportunité de revisiter le genre. Il explique : " J'espère que 12 Rounds sera le premier d'un nouveau genre de films d'action, un cinéma d'action " docu-réaliste " tourné caméra au poing complètement différent des superproductions hollywoodiennes réglées au millimètre. Nous avons donné au film une énergie et un sentiment de réalisme très fort qui reflètent, je pense, beaucoup mieux les goûts et les envies du public d'aujourd'hui. "

    Plus de réalisme dans la mise en scène

    Pour les scènes d'action infernales de 12 Rounds, Renny Harlin voulait rompre avec le style de tournage traditionnel associé à ce genre de film. Il explique : " Je voulais un style visuel qui souligne les prouesses physiques de John. Au lieu de le montrer comme un super-héros, nous en avons fait un homme ordinaire. J'ai mis de côté toutes les techniques et tous les outils habituels, comme les travellings avec la dolly ou des grues et les effets visuels, que les gens s'attendent à voir dans les films d'action contemporains. Nous avons imaginé 12 Rounds comme une histoire vraie qui serait vraiment arrivée, et pour la filmer nous avons en quelque sorte envoyé sur le terrain trois équipes de " documentaristes " pour fixer l'histoire des personnages sur la pellicule. "

    Images de vidéo surveillance et prises de vues aériennes

    Ce style de tournage " commando " a nécessité l'utilisation de plusieurs technologies et de différents types de caméras. Le directeur de la photographie David Boyd raconte : " Nous avons utilisé plusieurs médias, dont des images de vidéo surveillance et des prises de vues aériennes. En se succédant les unes aux autres, elles donnent à 12 Rounds une énergie et un réalisme qui vous saisissent de la première à la dernière image. "

    John Cena cascadeur

    Pendant le tournage, John Cena a tenu à accomplir lui-même la plupart de ses cascades. Le coordinateur des cascades Steve Ritzi raconte : " John s'est entraîné avec la police de la Nouvelle-Orléans pour la fusillade. En fait, l'officier instructeur lui a fait passer toutes les épreuves que subissent les policiers qui veulent entrer au SWAT, et John s'est montré particulièrement doué pour le maniement des armes à feu. Avec son score, il aurait pu intégrer cette division d'élite. "

    John Cena a peur du vide

    Pour accomplir ses cascades, John Cena a dû affronter sa phobie. Il confie : " J'ai peur du vide, dès que je suis en hauteur j'ai les mains moites et je ne peux plus bouger. Quand Renny Harlin m'a demandé de descendre en rappel d'un immeuble de trente mètres, je l'ai fait, mais je lui ai dit : " C'est un moment historique. Ça ne fera pas les gros titres des journaux, mais j'étais vraiment terrifié ! "

    Steve Ritzi se souvient : " A la fin de la journée, j'ai dit à John : " T'as été super, c'est fini pour le harnais, tu n'auras plus à te balancer dans le vide au bout d'une corde ". Il était vraiment soulagé. Le lendemain, la première chose que j'ai faite a été d'aller voir Renny Harlin pour le programme de la journée. Il voulait que John saute à nouveau de l'immeuble pour tourner quelques plans supplémentaires. Je lui ai donc dit : " J'ai dit hier à John que c'était terminé avec le harnais ". On s'est regardés en riant, et j'ai précisé : " Je ne veux pas être celui qui va devoir lui dire qu'il doit recommencer. " Renny a baissé la tête, et il m'a répondu : " OK, j'y vais. "

    Tournage à la Nouvelle-Orléans

    La première version du scénario de Daniel Kunka se déroulait à Chicago, mais le producteur Michael Lake avait une autre ville en tête pour cette histoire, à la fois pour des raisons artistiques et économiques : la Nouvelle-Orléans. Michael Lake raconte : " On voit dans ce film bien plus d'endroits de la Nouvelle-Orléans que dans n'importe quel autre film tourné là-bas. La ville participe vraiment à l'histoire. On y voit Ninth Ward, le Quartier Français, le quartier des affaires et Algiers. "

    Renny Harlin ajoute : " On trouve à la Nouvelle-Orléans une ambiance exotique qui n'existe dans aucune autre ville américaine. "

    Les cicatrices infligées à la ville par le terrible ouragan Katrina étaient encore bien visibles. Ashley Scott se souvient : " On sentait qu'une catastrophe d'ampleur biblique s'était déroulée, et pourtant, partout autour de nous, les gens reconstruisaient leurs maisons et leur vie. C'était bouleversant. Pendant le tournage, nous avons rencontré des personnes exceptionnelles et avons entendu des histoires incroyables. "

    Une musique familière

    Les plus mélomanes auront peut-être reconnu la patte musicale de Trevor Rabin, compositeur ayant déjà collaboré avec le réalisateur Renny Harlin sur les bandes originales de Peur bleue en 2000 et de L'Exorciste : au commencement en 2004.

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