Avis : Bunraku - Page 3

Un esthétisme qui va lorgner du côté des livres pop-up et du théâtre japonais, pas mal mais ça manque de rythme parfois.

Excellent film, un mélange de Sin City et de Kill Bill !

Du grand casting pour un film ennuyeux à souhait. Le côté BD aurait pu être original s'il n'existait pas déjà dans d'autres films. Retournez à Kill Bill, ça vaut mieux.

Film très, très spécial. Il faut vraiment s'accrocher pour pouvoir rentré dedans. L'univers recréé par le réalisateur se veut assez proche de celui du film "Dick Tracy" ou encore de la série des années 60 sur "Batman", c'est à dire un style très bande dessiné et surtout très kitch. Le soucis avec ce film n'est pas tant la forme, mais plutôt le fond. Car ce fond est assez vide, avec une histoire déjà raconté mille fois, et qui tourne en rond. C'est long, parfois même très long, le réalisateur aurait pu gagner facilement une demi-heure de bla-bla inutile. En plus, les scènes d'actions ne sont pas super attractive. Bref, une fois passé l'originalité de la mise en scène, il ne reste pas grand chose. Dommage, on aurait pu avoir un chef d'oeuvre, ce ne sera qu'un coup d'essai.

Une bien étrange pellicule que ce "Bunraku" sorti tout droit de l'esprit de Guy Moshe. Mieux vaut d'ailleurs se renseigner un minimum sur cette sorte de théâtre japonais avant de se lancer dans le visionnage au risque d'être rapidement largué et passablement dérouté. L'idée est en tout cas excellente mais il faut bien avouer qu'il reste assez difficile d'accrocher à 100% à l'univers graphique dans lequel l'original fait souvent face au très kitsch, il reste un goût amer d'inachevé dû sans doute au manque de budget, ce dernier est par ailleurs certainement passé dans les cachets du casting parce qu'il faut reconnaitre que de ce côté on est gâté. Second soucis pour ma part, c'est un tantinet longuet et on tourne souvent en rond malgré les fulgurances de mise en scène. Dans l'ensemble la découverte est agréable et rappelle par moment l'univers de "Sin City" mais il manque le petit supplément d'âme pour en faire un bon film, très belle intention en tous les cas.

Malgré tous les films indépendants et les blockbusters ultra chers qui se ressemblent tous, le cinéma américain offre assez souvent quelques petites surprises comme Bunraku.

Quand un film est aussi ouvertement original et novateur, il faut le diffuser et aller le voir en masse. Evidemment, en France, on le retrouve en DTV pas trop mal vendu (même affiche qu’aux USA heureusement) mais bien anecdotique. De toute manière, Bunraku n’est pas un grand film, loin de là, c’est même un film loupé. Mais la prise de risques est maximale, avec un casting assez impressionnant pour un film aussi modeste. Josh Harnett et le chanteur japonais Gackt Camui ont une alchimie vraiment étonnante, complétée par le toujours excellent Woody Harrelson. Malheureusement, le film met trop longtemps à démarrer (près d’une heure et quart…) et souffre de quelques artifices de mise en scène un peu artificiels. Les décors sont assez épurés, jusqu’à l’abus tant le tout ressemble à du simili-carton pâte. Cependant, les combats remontent le niveau, le double combat, surtout, avec un montage alterné de toute beauté.

Bunraku est clairement trop long, pas maîtrisé, avec des personnages en trop, des idées à revendre et un sentiment de trop plein portant plein d’espoir pour la suite du cinéma original aux USA. Il faudrait plus de projets comme ça, la marge de progrès est intéressante, tant certaines scènes sont magistrales. Médiocre mais encourageant.

Pensé comme un véritable pop-up pélliculé, un OFNI bariolé, kitsch et délirant, pas toujours simple à suivre, bordélique et beaucoup trop long mais bizarrement attachant et souvent fun, soutenu par un casting sympathique et par des combats efficaces et souvent inventifs.

Et bien je l'ai pour ma part trouvé très sympa ce ptit film, un bon divertissement, de bons acteurs, une histoire simple mais efficace, ambiance BD, parfois drôle, non franchement j'ai bien aimé. Il y a mieux certes mais parfois il faut juste se laisser porter et selon ses propres humeurs ça fait tellement du bien de regarder un film simple, juste un divertissement.

Séduit par l'originalité de la mise en scène sous forme combinée de bd, théâtre de papier, scènes de musical à la Brodway, recherche esthétique et visuelle dans la veine de Sin City mais malgré un casting haut de gamme, l'ennui gagne vite par un rythme hyper lent et un scénario assez indigeste. Une expérience visuelle et esthétique mais pas un bon film malgré des combats d'arts martiaux plutôt réussis.

"Bunraku" est un film de castagne plutôt conventionnel dans son ensemble. Mais ce qui le distingue des autres c'est son style graphique très "BD" se rapprochant de "Sin City", de "Kill Bill" ou bien encore de "300". Un univers "Néo-Rétro" unique entre le Japon féodal et les années 50 du plus bel effet. Ajoutez à cela 4 grands acteurs : "Josh Hartnett" dans la peau d'un voyageur mystérieux amateur de "Street Fight" en quête de vengeance, "Woody Harrelson" campant un "Barman" à la sagesse digne d'un maître des arts martiaux, "Ron Perlman" dans le rôle du méchant de service bien plus subtile qu'au premier abord sans oublier la radieuse "Demi Moore" dans un second rôle assez réjouissant. "Banraku" est finalement un bon divertissement pour les amateurs de films de baston dont le seul défaut reste sans conteste sa trame principale sans surprises mais qui se rattrape par son rythme trépidant et ses multiples effets "Comics" délirants !

Difficile à juger, il y a un gros casting et une mise en scène très originale, mais à la fin on a juste vu un extra-terrestre cinematographique.

Imaginez des combattants qui se seraient coupés les cheveux qui auraient troqué leur tenue de combat pour des costumes de Dick Tracy qui seraient devenu une bande de mauviettes et que le film aurait été tourné en France et vous auriez ce film. Imaginez que vous regardez West Side Story et que les requins et les jets s'efforcent de faire en sorte qu'ils dansent sans aucun talent puis qu'un monteur fou s'efforce d'utiliser des coupes et des intermèdes pour compenser la sécheresse de l'intrigue absurde et vous aurez une petite idée du gâchis qu'est le Bunraku. Si un autre avait réalisé ce film il aurait été retrouvé mort dans sa chambre d'hôtel après avoir vu la première de son film. Aucune des histoires n'ajoute quoi que ce soit au cœur du film car il n'a pas de cœur ou d'émotion. Si vous décidez a tenter votre chance ne vous attendez à rien d'extraordinaire et peut-être que serez-vous moins déçu mais j'en doute car tout est faux dans ce film. Allez-y si vous voulez vous ne pourrez vous en prendre qu'à vous-même...

Dommage. Film raté. Pour plein de raisons. Déjà la prochaine fois qu'ils embauchent un vrai chorégraphe avec des vrais bonhommes qui savent se battre parce que là les bagarres ont dirait celle que je fais dans mon salon avec mon gosse de 7 ans, et les bonhommes sont aussi souples que la canne de ma grand-mère... Ca m'a saoulé. Je vais regarder 30 minute de Conan et me coucher.

Ca fait plaisir de voir Josh Hartnett qui se fait de plus en plus rare ! Ici entouré d'un beau casting, le film raconte la vengeance d'un vagabond et d'un compère roi du kung fu qu'il rencontre sur son passage. Bien aidé par un barman au passé mystérieux, joli coup d'un trio intéressent. Décors et ambiance mystérieuse qui laisse à désirer mais l'anxiété qui nous anime prend le dessus, on espère pour les reneggas et on apprécie les scènes d'action qui nous rappelle les carnages du Kill Bill du maitre Tarantino. A voir !

Vu les genres annoncés pour ce film j'avoue que je ne misais pas grand chose sur celui-ci; Western, art martiaux... tout ce que j'aime pas. Pourtant j'y suis allé à reculons car le casting m'intriguait, je voyais mal Josh Hartnett, Woody Harrelson, Kevin McKidd et Demi Moore jouer dans le film que je m'imaginais ( et dont je suis certain que vous n'aimeriez pas voir non plus lol ), il devait y avoir autre chose...
Et effectivement, dès les premières minutes, on est transporté dans un univers bien personnel où western, arts martiaux, drame... sont bien présents mais passés par le filtre Bunraku. Dans une certaine mesure, ce film me rappel l'excellent "Sin citY" dans l'approche, le rapport à l'esthétique ( entre B.D, jeux vidéo... ). Je trouve qu'il a un bon rythme, je ne me suis pas ennuyé; mais c'est pas pour autant que ce film est ultra bourrin, il y a des séquences de combats certes mais l'histoire ( bien que simple dans le fond ) n'en est pas pour autant délaissée; je trouve que c'est surtout dans la forme qu'elle dévoile de façon très fluide.
Tout ça pour dire que ce film mérite le coup d'oeil avant d' être jugé car il fait parti de ses rares films qui ont un caractère fort et qui leur est propre et dont les critiques ne pourront pas être assez objectives pour le catégoriser.