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POUR : Il est un artiste au service d'un autre artiste (Tardi) et le résultat parle de lui-même : les talents ne se vampirisent pas, ils s'additionnent, on ne s'ennuie pas et les momies sautent de leur tombe avec une bonne humeur qui enchante.
Adèle Blanc-sec est avant tout une comédie, travaillée de façon assez profonde par l'enfance, ses rêveries (...), son innocente idiotie(...). Et pour une fois chez Besson, cela ne manque ni de fraîcheur, ni de fantaisie.
Louise Bourgoin est inattaquable en tant que mademoiselle Blanc-Sec: drôle et chieuse à la fois (...) La fin de cette aventure extraordinaire (...) est un peu longue mais le spectacle reste agréable jusqu'au bout.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Avec son arsenal d'effets spéciaux (...), son déferlement de costumes et de décors (...) et sa recherche de bons mots qu'on se repasse dans les cours d'école. Tous les ingrédients d'une recette de cinéma populaire.
Mais lorsque - parfois - Besson lorgne un peu trop vers la fantaisie débridée des Indiana Jones signés Steven Spielberg, l'héroïne trinque. Soudain, la magie disparaît au profit des recettes des blockbusters hollywoodiens. L'ensemble est néanmoins suffisamment distrayant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Quant à Louise Bourgoin, son metteur en scène lui a refusé l'air renfrogné qui faisait tout le charme de l'Adèle de papier. L'actrice doit se contenter de houspiller ses partenaires, ce qu'elle fait avec conviction, au risque d'entraîner une certaine lassitude.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Si cette adaptation de la BD de Tardi satisfait sur le plan visuel, on a l'impression d'être dans du sous-jeunet à la sauce "Indiana Jones". Le film déçoit par son rythme et, surtout, par le manque d'empathie que l'on éprouve pour les personnages.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Le cocktail n'est pas dénué d'un certain charme, pour peu qu'on accepte de suivre les méandres d'un scénario qui part dans tous les sens. Dommage que les personnages n'aient pas été plus fouillés : paradoxalement, ils avaient plus de relief sur les planches des albums.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Mais, comme souvent chez Besson, les dialogues sont peu travaillés (...) Heureusement, Louise Bourgoin dynamite tout ce que la chose peut avoir parfois de pataud (...) bref son énergie et son humour font de ces Aventures ce qu'elles devaient être : une BD animée bigarrée et distrayante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
(...) une Indiana Jones en jupons incarnée par une Louise Bourgoin énergique, mais s'époumonant à essayer de tenir la distance de dialogues souvent trop longs pour un jeu d'actrice encore trop court. Une adaptation d'un chef-d'oeuvre de la BD sacrifié sur l'autel du tout public, métamorphosé en une série B sagement distrayante, où ne subsistent ni la noirceur ni l'ironie désespérée de son créateur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Besson tripatouille allègrement la BD dont il s'inspire (...) pour en extraire une ligne narrative peu fidèle au matériau de base. Le pire étant la mise en scène assez sidérante du bouzin, d'une platitude ronronnante vainement dynamisés par deux bullet time anachroniques (...) Reste le naturel de Louise Bourgoin, et l'apparition éclair de Frédérique Bel (...).
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
(...) Il serait peut-être temps que Luc Besson se rende compte que de bonnes idées (ici tout de même passablement dévoyées) ne font pas seules un film, non plus qu'un budget conséquent. Il faudrait également un peu de talent, et d'implication de la part du réalisateur. Et de tout cela, Besson et son film en manquent cruellement.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
(...) un scénario d'une pauvreté affligeante aux quelques rares mécanismes traînant en longueur sans aucune saveur, des dialogues insipides, un humour de beauf déplacé, quelques visions racistes colonialistes déplaisantes et un manque d'imagination flagrant. Un spectacle mauvais de A à Z, antithèse complète et sans talent(s) de ce que l'on est en droit d'attendre d'un cinéma populaire de divertissement.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
CONTRE : Adèle est un fastueux livre d'images mais sans âme. (...) S'il a su restituer la lettre des albums du dessinateur, il n'a pas su en saisir l'esprit. D'où cet aspect appliqué qui ne dégage aucune émotion.
20 Minutes
Les aventures d'Adèle Blanc-Sec, revues et corrigées par Luc Besson, sont aussi rocambolesques et jubilatoires que la bande dessinée de Jacques Tardi.
Excessif
Luc Besson signe là son meilleur film depuis fort longtemps.
Le Journal du Dimanche
POUR : Il est un artiste au service d'un autre artiste (Tardi) et le résultat parle de lui-même : les talents ne se vampirisent pas, ils s'additionnent, on ne s'ennuie pas et les momies sautent de leur tombe avec une bonne humeur qui enchante.
Le Parisien
Luc Besson s'est amusé comme un petit fou (...), l'humour est l'un des principaux ingrédients de ces Aventures extraordinaires.
Les Inrockuptibles
Adèle Blanc-sec est avant tout une comédie, travaillée de façon assez profonde par l'enfance, ses rêveries (...), son innocente idiotie(...). Et pour une fois chez Besson, cela ne manque ni de fraîcheur, ni de fantaisie.
Libération
Louise Bourgoin est inattaquable en tant que mademoiselle Blanc-Sec: drôle et chieuse à la fois (...) La fin de cette aventure extraordinaire (...) est un peu longue mais le spectacle reste agréable jusqu'au bout.
Ouest France
Avec son arsenal d'effets spéciaux (...), son déferlement de costumes et de décors (...) et sa recherche de bons mots qu'on se repasse dans les cours d'école. Tous les ingrédients d'une recette de cinéma populaire.
Positif
Un beau et bon travail.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
L'Express
Voir sur le site de www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Mais lorsque - parfois - Besson lorgne un peu trop vers la fantaisie débridée des Indiana Jones signés Steven Spielberg, l'héroïne trinque. Soudain, la magie disparaît au profit des recettes des blockbusters hollywoodiens. L'ensemble est néanmoins suffisamment distrayant.
Le Monde
Quant à Louise Bourgoin, son metteur en scène lui a refusé l'air renfrogné qui faisait tout le charme de l'Adèle de papier. L'actrice doit se contenter de houspiller ses partenaires, ce qu'elle fait avec conviction, au risque d'entraîner une certaine lassitude.
Paris Match
Si cette adaptation de la BD de Tardi satisfait sur le plan visuel, on a l'impression d'être dans du sous-jeunet à la sauce "Indiana Jones". Le film déçoit par son rythme et, surtout, par le manque d'empathie que l'on éprouve pour les personnages.
TéléCinéObs
Le cocktail n'est pas dénué d'un certain charme, pour peu qu'on accepte de suivre les méandres d'un scénario qui part dans tous les sens. Dommage que les personnages n'aient pas été plus fouillés : paradoxalement, ils avaient plus de relief sur les planches des albums.
Télérama
Mais, comme souvent chez Besson, les dialogues sont peu travaillés (...) Heureusement, Louise Bourgoin dynamite tout ce que la chose peut avoir parfois de pataud (...) bref son énergie et son humour font de ces Aventures ce qu'elles devaient être : une BD animée bigarrée et distrayante.
L'Ecran Fantastique
(...)En fin de compte, les seules vraies réussites de ce métrage paresseux tiennent à ses deux créatures fantastiques.
L'Obs
(...) une Indiana Jones en jupons incarnée par une Louise Bourgoin énergique, mais s'époumonant à essayer de tenir la distance de dialogues souvent trop longs pour un jeu d'actrice encore trop court. Une adaptation d'un chef-d'oeuvre de la BD sacrifié sur l'autel du tout public, métamorphosé en une série B sagement distrayante, où ne subsistent ni la noirceur ni l'ironie désespérée de son créateur.
La Croix
On sort, on rallume son portable, et on n'emporte pas grand-chose avec soi.
Le Point
voir le point.fr
Mad Movies
Besson tripatouille allègrement la BD dont il s'inspire (...) pour en extraire une ligne narrative peu fidèle au matériau de base. Le pire étant la mise en scène assez sidérante du bouzin, d'une platitude ronronnante vainement dynamisés par deux bullet time anachroniques (...) Reste le naturel de Louise Bourgoin, et l'apparition éclair de Frédérique Bel (...).
Cahiers du Cinéma
Luc Besson avait promis qu'il arrêtait de réaliser des films. Décidément, il ne tient jamais ses promesses.
Chronic'art.com
Misère du gros cinéma français, qui rêve de communion par l'entertainment quand il n'offre que paternalisme industriel.
Critikat.com
(...) Il serait peut-être temps que Luc Besson se rende compte que de bonnes idées (ici tout de même passablement dévoyées) ne font pas seules un film, non plus qu'un budget conséquent. Il faudrait également un peu de talent, et d'implication de la part du réalisateur. Et de tout cela, Besson et son film en manquent cruellement.
Filmsactu
(...) un scénario d'une pauvreté affligeante aux quelques rares mécanismes traînant en longueur sans aucune saveur, des dialogues insipides, un humour de beauf déplacé, quelques visions racistes colonialistes déplaisantes et un manque d'imagination flagrant. Un spectacle mauvais de A à Z, antithèse complète et sans talent(s) de ce que l'on est en droit d'attendre d'un cinéma populaire de divertissement.
Le Journal du Dimanche
CONTRE : Adèle est un fastueux livre d'images mais sans âme. (...) S'il a su restituer la lettre des albums du dessinateur, il n'a pas su en saisir l'esprit. D'où cet aspect appliqué qui ne dégage aucune émotion.