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Troupe d'élite est du grand cinéma (...) Voilà un film choc (...) parfaitement maîtrisé de bout en bout (...) L'intensité du film est magistrale et ne vous quitte qu'au coup de feu final.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Le réalisateur dénonce violence et corruption dans un film nerveux (...) Le scénario, écrit par un ancien flic, est servi par une mise en scène anxiogène.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Troupe d'élite est peut-être plus complexe qu'un simple éloge de l'autorité, mais il exige du spectateur d'avoir la tête solide, pour ne pas sortir assommé par autant de violence.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Un film rentre-dedans, où la profondeur de la réflexion politico-sociale est évacuée au profit d'effets pavloviens générateurs de tension et d'adrénaline. Cela dit, le travail de Padilha n'est pas toujours aussi caricatural qu'on le dit.
Troupes d'Elite voudrait atteindre l'ambiguïté des films de William Friedkin (...) mais ne réactive que l'arrière fond d'un mauvais Charles Bronson made in Basil.
Soit on adhère et on applaudit l'efficacité formelle de cette carte postale ultraviolente (...) soit on se rend à l'évidence que ce film de guerre (...) est conçu comme un jeux vidéo où il n'est plus temps de penser.
Le film finit par faire l'apologie de méthodes entièrement résumées dans un adage discutable, pour ne pas dire fascisant, qui veut qu'un bon ennemi soit un ennemi mort.
(...) cette apologie de la virilité policière aux relents nauséeux (...), est faux-derchement planquée sous des justifications presque rigolotes tant elles sont grossières (la contorsion grotesque pour aller chercher Foucault).
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le motif, récurrent dans le cinéma hollywoodien, n'est certes pas nouveau, mais il atteint dans ce film un niveau de crétinerie décomplexée rarement atteint.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Brazil
Troupe d'élite est du grand cinéma (...) Voilà un film choc (...) parfaitement maîtrisé de bout en bout (...) L'intensité du film est magistrale et ne vous quitte qu'au coup de feu final.
Studio Magazine
Pour: voir le site www.studiomag.com
20 Minutes
Le réalisateur dénonce violence et corruption dans un film nerveux (...) Le scénario, écrit par un ancien flic, est servi par une mise en scène anxiogène.
Elle
Troupe d'élite est peut-être plus complexe qu'un simple éloge de l'autorité, mais il exige du spectateur d'avoir la tête solide, pour ne pas sortir assommé par autant de violence.
Le Figaroscope
Afin de dénoncer une police brésilienne(...)corrompue jusque dans sa hiérarchie, le cinéaste brésilien José Padilha utilise les grands moyens.
Première
La découverte d'un cinéaste certes balourd mais incroyablement doué pour décrire le chaos d'une ville prise entre cynisme et désespoir.
aVoir-aLire.com
Un film-choc très impressionnant entre documentaire social et néo-polar dont l'ambiguïté peut être mal comprise.
Ciné Live
Voir sur le site www.cinelive.com
L'Express
Voir le site lexpress.fr
L'Humanité
Un film rentre-dedans, où la profondeur de la réflexion politico-sociale est évacuée au profit d'effets pavloviens générateurs de tension et d'adrénaline. Cela dit, le travail de Padilha n'est pas toujours aussi caricatural qu'on le dit.
Le Point
Voir le site www.lepoint.fr
Ouest France
(...) On peut rester circonspect face au traitement qu'il fait de son sujet (le réalisateur), sur le fond comme sur la forme.
Paris Match
José Padilha signe un film tendu et brutal qui ose regarder la vérité en face mais manque de nuances.
Télé 7 Jours
Ultraviolent et parfois moralement douteux dans sa justification de la violence d'Etat, ce voyage au bout de l'enfer ne vous laissera pas intact.
Cahiers du Cinéma
Fabriqué comme un thriller (...) Tropa de Elite travaille uniquement la pulsion de haine chez le spectateur.
Charlie Hebdo
Troupes d'Elite voudrait atteindre l'ambiguïté des films de William Friedkin (...) mais ne réactive que l'arrière fond d'un mauvais Charles Bronson made in Basil.
Le Journal du Dimanche
Soit on adhère et on applaudit l'efficacité formelle de cette carte postale ultraviolente (...) soit on se rend à l'évidence que ce film de guerre (...) est conçu comme un jeux vidéo où il n'est plus temps de penser.
Libération
(...) Troupe d'élite (...) hachis parementier mental pour tous les nostalgiques des dictatures sud-américaines.
MCinéma.com
Le film finit par faire l'apologie de méthodes entièrement résumées dans un adage discutable, pour ne pas dire fascisant, qui veut qu'un bon ennemi soit un ennemi mort.
Studio Magazine
Contre: voir le site www.studiomag.com
Chronic'art.com
(...) cette apologie de la virilité policière aux relents nauséeux (...), est faux-derchement planquée sous des justifications presque rigolotes tant elles sont grossières (la contorsion grotesque pour aller chercher Foucault).
La Croix
Padilha (le réalisateur) ne concourt-il pas à présenter l'action radicale de la police comme un terrible mais inéluctable recours ?
Le Monde
Le motif, récurrent dans le cinéma hollywoodien, n'est certes pas nouveau, mais il atteint dans ce film un niveau de crétinerie décomplexée rarement atteint.
Les Inrockuptibles
Ce qui choque n'est ni le sujet, ni le point de vue, mais la réalisation: ses effets faciles, sa violence clippée.
Positif
(...)Grosse envie de vomir en sortant de Troupe d'Elite et de son final répugnant (...).