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Avec "Kaidan", Hideo Nakata signe la plus belle réussite de la série ["Jap'Horror"] (...) Rarement aura-t-on vu spectres plus charmants que ces kimonos hantés.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Rare, la terreur n'en est que plus foudroyante : une latence imprévue, un effet de trompe l'oeil (...) suffisent à rompre, avant qu'il ne reprenne sa marche, le charme engourdissant du drame classique.
Rythmé par les cordes mélancoliques du shamisen, ce récit prend son temps pour bâtir la légende. S'il s'accorde quelques pauses sensuelles, le cinéaste n'a pas perdu la main quand il s'agit de nous faire sursauter.
(...) [la] mise en scène frise parfois l'académisme (...) Mais l'exercice de style est souvent racheté par la justesse et la sensibilité de l'interprétation (...), et par la rigueur et la méticulosité du découpage.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
(...) le spectateur gagne en densité shakespearienne ce qu'il perd en frissons. Le duel final à l'épée est digne des meilleurs "chambara" (films de sabre).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
En de brefs instants, Nakata retrouve (...) son aisance à parer le réel d'ambiguîté (...) Hormis ces quelques moments de trouble, rarement l'inquiétude perce de cet univers pastel où évoluent des poupées de porcelaine.
Si le matériau de départ est d'une séduisante complexité, le hic, c'est la réalisation (...) ce film manque cruellement d'atmosphère, de clairs-obscurs, de contrastes.
(...) l'ennui n'est rien comparé à l'indignation ressentie devant un tel foirage artistique, puisque ici la laideur des plans côtoie une photographie immonde, un scénario cata et des personnages au charisme d'une palette de sushi. Une véritable déchéance (...)
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Positif
Avec "Kaidan", Hideo Nakata signe la plus belle réussite de la série ["Jap'Horror"] (...) Rarement aura-t-on vu spectres plus charmants que ces kimonos hantés.
Cahiers du Cinéma
Rare, la terreur n'en est que plus foudroyante : une latence imprévue, un effet de trompe l'oeil (...) suffisent à rompre, avant qu'il ne reprenne sa marche, le charme engourdissant du drame classique.
Chronic'art.com
(...) kaidan-movie sans surprise, mais au charme puissant et durable.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Journal du Dimanche
Rythmé par les cordes mélancoliques du shamisen, ce récit prend son temps pour bâtir la légende. S'il s'accorde quelques pauses sensuelles, le cinéaste n'a pas perdu la main quand il s'agit de nous faire sursauter.
Mad Movies
(...) [la] mise en scène frise parfois l'académisme (...) Mais l'exercice de style est souvent racheté par la justesse et la sensibilité de l'interprétation (...), et par la rigueur et la méticulosité du découpage.
Télérama
(...) le spectateur gagne en densité shakespearienne ce qu'il perd en frissons. Le duel final à l'épée est digne des meilleurs "chambara" (films de sabre).
L'Ecran Fantastique
En de brefs instants, Nakata retrouve (...) son aisance à parer le réel d'ambiguîté (...) Hormis ces quelques moments de trouble, rarement l'inquiétude perce de cet univers pastel où évoluent des poupées de porcelaine.
L'Humanité
Du travail bien fait, bien dessiné, mais sans relief, sans âme.
Les Inrockuptibles
Si le matériau de départ est d'une séduisante complexité, le hic, c'est la réalisation (...) ce film manque cruellement d'atmosphère, de clairs-obscurs, de contrastes.
MCinéma.com
Kaidan, sans être foncièrement mauvais, sent le vieux et manque terriblement d'âme et de coeur, mais aussi de raison d'avoir peur.
Première
La belle esthétique classique et les légendes ancestrales japonaises ne suffisent pas à servir une narration sans relief.
TéléCinéObs
Cédant au piège de la théâtralité, cet hommage érudit aux classiques du genre est décevant.
Libération
(...) La longuette histoire du spectre d'une femme qui tourmente son ancien amant jusqu'à le rendre fou. Et nous aussi.
aVoir-aLire.com
(...) l'ennui n'est rien comparé à l'indignation ressentie devant un tel foirage artistique, puisque ici la laideur des plans côtoie une photographie immonde, un scénario cata et des personnages au charisme d'une palette de sushi. Une véritable déchéance (...)