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    La Rafle
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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 1 novembre 2011
    Non mais attendez, c'est une blague?
    C'est quoi cette mise en scène? Ces acteurs qui surjouent?
    Je trouve que cette horreur INSULTE la mémoire des morts, ça ne vaut pas un centième de La liste de Schindler, Amen ou encore du Pianiste. C'est tout aussi honteux et pitoyable que "l'armée du crime".
    On devrait interdire aux français de faire des films historiques quand on voit ce qu'ils font del 'histoire...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 25 février 2012
    Pour reprendre Idith Zertal, une historienne Juive et Israélienne, elle décrit le devoir de mémoire que l'on pratique, dans son ouvrage "Death and the Nation" de "pornographie mémorielle", je pense que ce film en est un parfait exemple.
    La recette est simple, on prend de gentils acteurs qui constituent un bon casting, on prend un sujet bien choquant, on y met quelques clichés que les spectateurs peu ou moyennement avertis ne remarquent pas, et on obtient un joli morceau de propagande pro-sioniste. Voilà comment on fait gober de la bêtise aux spectateurs. Pour moi il s'agît aussi d'une insulte envers les victimes de cette terrible époque. Degoûtant.
    shmifmuf
    shmifmuf

    159 abonnés 1 761 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 septembre 2012
    Ce fait historique méritait sans nul doute un film, mais surement pas avec cette réalisatrice et pas non plus avec certains de ces acteurs.
    tixou0
    tixou0

    642 abonnés 1 973 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 mars 2010
    Sans doute victime quelque part du matraquage télévisuel je viens de voir "La rafle". Conforme à mes appréhensions, hélas ! Rose Bosch s'essaye sans génie au drame historique, et même sans talent : réalisation convenue et plate, style téléfilm, avec surdose de sirop et scènes tire-larmes en abondance (les gentils pompiers au Vél d'Hiv, le départ des enfants de la gare de Beaune-La-Rolande ou encore les retrouvailles Annette/Joseph et Nono au Lutetia - les enfants n'ayant d'ailleurs pas grandi d'un pouce en 3 ans ! - sont parmi les plus réussies). Les tentatives pour apprécier la part relative de l'Etat Français et de l'idéologie national-socialiste dans l'application aux Juifs résidant en France de la "Solution finale" donnent lieu à des intermèdes réguliers dans le cours du récit, côté Vichy (Laval, Pétain) et côté Berchtesgaden (Hitler, Goebbels, famille & Co, dans la thébaïde bavaroise du Führer) : maladroit, voire ridicule.
    Rien à sauver, sauf les bonnes intentions, et Mélanie Laurent, la seule à donner de l'émotion à ce laborieux "travail de mémoire". Dommage que Rose Bosch n'ait pas au moins l'amorce d'une réflexion d'auteur sur la question de l'Holocauste - pour le talent (et une vision cependant "grand public") voir plutôt Polanski et "Le pianiste"....
    Truman.
    Truman.

    207 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 novembre 2013
    La Rafle ou comment cracher sur la réalité et faire du fric sur la Shoah, car la Rafle a le mérite de proposer des moyens conséquents ( Budgets, figurants et j'en passe ) et des acteurs connu mais surtout un sujet très intéressant . On parle souvent du ghetto de Varsovie et de ses rafles ( Le Pianiste de Polanski ) mais rarement on met en avant les déportations suite a des rafles en France .
    Ici on parle donc de la Rafle du Vélodrome d'Hiver ou Vel d'Hiv qui est la plus grosse Rafle de juifs en France .

    Voilà un sujet intéressant mais le soucis dans ce film c'est de mettre de coté le réalisme pour jouer la carte "Fric et larmes" car oui j'ai juste l'impression d’être devant un film a fric qui joue du malheur et des déportations de la Shoah pour faire un fiction larmoyante a deux ronds .

    Tout est fait pour faire pleurer le spectateur quitte a faire survivre un protagoniste qui dans la réalité n'aurait eu aucune chance, quitte a user de clichés abject comme les policiers français sont les nazis et j'en passe .
    Il est vrai que "La liste de Schindler" use beaucoup d'un coté larmoyant, mais la différence est que tonton Spielberg lui a les yeux en face des trous et a su montrer la dur réalité ( Exécutions, les fosses commune, les infanticides etc ..

    Au final j'ai eu l'impression que ce film ne jouait que sur la renommée des acteurs ( qui en devenait risible tellement leur jeux ne collent pas ) et ceci fait que La Rafle est plus une fiction larmoyante digne d'un téléfilm TF1 qu'un film relatant un vrai fait historique de façon réaliste .
    Cluny
    Cluny

    66 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 octobre 2012
    Il est des formulations dans les critiques de la presse qui sont comme des aveux : "Un film aussi puissant que nécessaire" (Métro), "Le genre de film qu'il est difficile de critiquer, tant il est nécessaire" (Excessif), "La Rafle fait oeuvre utile" (La Croix), "La retenue et la sincérité d'un film nécessaire" (Ouest-France) : tous insistent sur la nécessité et l'utilité du projet, avec une gêne sous-jacente de parler de "La Rafle" pour ce qu'il est aussi, un film, comme si oser critiquer un tel film relèverait du révisionisme faurissonnien. Pourtant, Rose Bosch a choisi le film de fiction et non le documentaire, et "La Rafle" doit pouvoir être critiqué comme n'importe quelle autre oeuvre.

    Le cinéma a déjà évoqué la Rafle du Vel' d'Hiv', essentiellement dans "Les Guichets du Louvre" de Paul Mitrani en 1974 et dans "Monsieur Klein" de Joseph Losey en 1976. Dans ces deux films, la rafle servait de toile de fond et les réalisateurs s'attachaient à des destins individuels pour évoquer le sort collectif. Ce n'est clairement pas la voie choisie par Rose Bosch, qui a décidé de tout montrer : la vie avant la rafle, Hitler dans son nid d'aigle, les conciliabules entre Pétain et Laval, les négociations entre Bousquet, Leguay, Knochen et Danneker, l'internement au Vel' d'Hiv puis au camp de Beaune-la-Rolande...

    Cet aspect didactique ne fonctionne pas, et la volonté de faire comprendre les responsabilités de chacun amène à plomber l'ensemble d'un aspect téléfilm de France 3, frisant parfois le ridicule, comme dans cette scène où les ministres applaudissent Pétain, ou celles singeant les films en Agfacolor d'Eva Braun filmant Hitler dans son nid d'aigle. Quant au gros plan du führer éructant dans son micro, elle m'a fait penser au "Dictateur", et la comparaison était cruelle...

    Dans son intention pédagogique, la réalisatrice a multiplié les choix, finissant par perdre sa ligne directrice : outre les reconstitutions-images d'Epinal, elle a à la fois choisi de suivre une famille, celle d'un ouvrier trotskiste joué par Gad Elmaleh, mal à l'aise devant la responsabilité historique d'un tel rôle, et notamment le destin de son fils Joseph, et en même temps, afin de permettre une identification (de qui ? de ceux qui pense comme Raymon Barre qu'il y a des victimes moins innocentes que d'autres ?) elle centre le récit sur le personnage d'Annette Monod, incarnée avec retenue et justesse par Mélanie Laurent.

    Enfin, elle ponctue le film de personnages secondaires à visée là encore pédagogique, censés représenter l'état du peuple français en 1942 : la boulangère antisémite (forcément grosse et moche), l'instit au grand coeur, le curé qui porte une étoile "Ami des Juifs", le capitaine des pompiers incarnation du service public. Dans l'ensemble, les héros quotidiens se situent parmi les petites gens, les salauds dans les institutions de l'Etat Français, reprenant ainsi la vision gaulliste du peuple résistant et de Vichy, accident de l'histoire.

    Afin de jouer du contraste avec ce qui va suivre, la première partie nous montre un Montmartre idyllique, entre Robert Doisneau et Amélie Poulain, où les gamins portant l'étoile jaune chantent aux terrasses des cafés pour recevoir des pièces des officiers allemands, avant de leur piquer leur casquette. La réalisatrice explique que c'est pour mieux s'attacher aux personnages et notamment les enfants, mais cette façon de présenter la vie des juifs jusqu'en juillet 1942 me paraît bien naïve.

    Rose Bosch explique aussi la génèse de son projet par cette observation : "le fait qu'il n'y ait aucune image - juste une photo des bus vides devant le Vel' d'Hiv' - me bouleversait." C'est vrai que la reconstitution (essentiellement en 3D) du Vel d'Hiv' est assez impressionnante, et permet de se rendre compte de l'entassement de ces milliers de personnes dans des conditions insupportables. Mais la précision de cette reconstitution ne suffit pas, et scénaristiquement parlant, c'est surtout l'occasion de multiplier les scènes édifiantes : la générosité des pompiers, l'héroïsme quotidien du Français de base incarné par le plombier, et les dialogues insistants : "Dis, tu crois qu'on sera grand un jour ?".

    Alors qu'une des intentions annoncées parvient à fonctionner, à savoir l'attachement aux personnages des enfants, Joseph et Nono particulièrement, la scène de la séparation des familles concentre tout ce que la mise en scène peut avoir d'excesssif : ralentis, gros plans sur les visages tordus de douleurs, champ-contre champs systématiques, musique lacrymale ; tout ce fatras appelé au secours, comme si les faits rapportés n'étaient pas suffisants en soit.

    Devant cette grosse artillerie, lentement m'est revenu en mémoire le contre-exemple parfait, le film français permettant d'appréhender toute la dimension humaine de cette tragédie en plaçant la caméra à hauteur de personnage enfantin et en laissant à ces personnages le temps de créer de la véracité absolue : "Au Revoir les Enfants". Il y a entre le film de Rose Bosch et celui de Louis Malle tout ce qui sépare une grosse machine de producteur formaté pour arracher les larmes et assurer les entrées et un véritable film de cinéma : le talent d'un auteur.
    http://www.critiquesclunysiennes.com
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 mars 2017
    Et bim, la claque dans la face.
    Apres dautres mutilples films de ce genre, je ne m'attendais plus a etre surprise, ni forcement emue.
    Et bah j'ai tout faux ! Je n'ai pas reussi a quitter mon ecran des yeux, absorbée par cette histoire de France si bien racontee et ses personnages si poignants.
    Le docteur a un jeu d'acteur de folie, l'infirmiere aussi, et je ne m'attendais juste pas a trouver l'actrice de la vie d'Adele dedans.
    Je pose mon chapeau, et j'admire le travail. Je suis fan de ce film et le conseille a tous.
    Raphaël O
    Raphaël O

    124 abonnés 1 567 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 avril 2015
    Basé sur de véritables événements, ce drame historique de Rose Bosch interprété par un casting de grande qualité et pourvu d'une remarquable reconstitution des décors et costumes de l'époque, ose faire ressurgir un passé fort, prenant et bouleversant.
    Une œuvre puissante et nécessaire.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 16 octobre 2012
    Vraiment, ce film est mauvais. Dommage, les personnages sont caricaturaux, et leur vie avant le drame est representee de façon grotesque. L'emotion est quand meme presente et sauve le film. Le sujet est pourtant tres grave et aurait pu etre traité moins legerement.
    fandecaoch
    fandecaoch

    965 abonnés 2 232 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 octobre 2012
    La Rafle : Très bon film dans son ensemble, on a le droit à une bonne reconstitution de cette période. Et ce que j’ai « bien aimée », c’est que dans le film, on voit bien a quel point, cette période était difficile, dur, horrible même, vraiment le film retranscrit bien ça : avec de l’émotion et de la justesse dans ce qui montre (moments de souffrance, moment d’espoir) avec des moments assez dur mais pas trop, j’aurais cru que le film soit encore plus dur mais bon. On voit assez d’horreur dans ce film pour ce mettre dans l’ambiance et avoir un soupçon de la dureté de l’époque car on peut jamais ce mettre a leur place de ce qui on vraiment vécu, mais sa nous donne un aperçu des conditions de vie, avec la dureté des policier et tout… De ce coté la, il y a pas a dire, c’est bien fait. Par contre, ce que je n’ai pas trop aimée dans le film, c’est que on dirait que il faut passer Hitler pour un mec sympathique, enfin on ne voit pas tellement qui est un vrai salo de premier, enfin je ne sais pas, il ne montre un Hitler souriant et tout, de se point la, c’est un peut mal foutu et je trouver ces intervention raté et surtout inutile, mais bon, ça n’enlève en rien les qualités du film. Ensuite, ce qui fait vivre le film et qui fait ressortir l’émotion, c’est les acteurs enfants qui sont tous vraiment énorme et très juste dans leur interprétation : vraiment bravo à eux, ils sont saisissant de justesse, les meilleurs acteurs du film. Du coté des adultes, c’est un peu en dessous. Enfin, Mélanie Laurent joue à merveille son rôle ainsi que Jean Reno qui est lui aussi très bien. Par contre, Gad Elmaleh, je l’aime bien mais alors la, dans le film, il n’est pas franchement super. Aucune émotion qui dégage de lui et son personnage, je le trouve absence du film, limite il est la l’histoire d’avoir un bon casting donc un peu déçu, dommage, on aurait pu avoir mieux de lui car moi, je le trouve bien d’habitude, mais pas dans ce film : dommage. Voila, un très bon film qui nous montre bien l’ambiance et la durette de cette période (surtout certains policier et tout qui était des ordures). Bonne retranscription, je m’attendais a mieux mais je suis bien mis dans l’ambiance du film (ce qui est pour moi le gros point fort du film) et j’ai était captivé du début jusqu'à la fin, donc un film à voir.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 14 octobre 2012
    Ce film est tellement nul que tous les participants doivent être antisémites...Gad ELMALEH en dessous de tout, Udo SCHENK est un Hitler à mille lieu de R.CARLYLE, Mélanie LAURENT arrive à être moins crédible que dans INGLORIOUS et même Thierry FREMONT est caricatural
    L'histoire de ces pauvres gens ne méritaient pas une telle DAUBE
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 14 octobre 2012
    Pourquoi le choix de Gad Elmaleh dans ce film ??? déjà un mauvais point ! et pour ceux qui on l'oeil vif, on peu remarquer que certaines scènes ont été copiées sur La liste de Schindler et autres films de ce genre. C'est dommage car c'est une histoire vrai, une sombre époque de la vie de nos grands-parents. Ca aurait pu être un bon film si certains acteurs n'étaient pas au casting et si le scénario avait été mieux peaufiné. Dans ce film on ne voit pas la résistance, qui était pourtant bien présente à ce moment là.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 26 avril 2010
    A regarder à la TV, à la rigueur ! Quelle déception ! Le jeu des acteurs est tellement surfait qu'on a pas l'impression d'être au cinéma, mais à une répétition pour vérifier que tous le monde connait bien son texte ! ça manque vraiment de naturel et du coup l'émotion est loin d'être au RDV ! Je doute que ce film traduise 1/10eme des horreurs qui se sont produites à cette époque. Et puis, le coté, les vilains policiers contre les gentils pompiers et les gentilles infirmières, c'est un peu léger pour construire un grand film.
    Philippe Och
    Philippe Och

    6 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 avril 2023
    Le film qui a permis a gad elmaleh de faire voyager plus d'enfant que ses spectacle , a defaut de mettre des etoiles dans les yeux la manche du blouson en a fait les frais, la denonciation et la nourriture kasher sont aussi proche que jennifer lopez et ben affleck.
    Je fus moins combative que simone veil pour aller a cette seance.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 3 décembre 2012
    La rafle du Vélodrome d'Hiver adaptée au cinéma.
    On craint le pire. (on craint le film en costume français, prêt à toute les facilités de mise en scène sur l'autoroute d'un sujet aussi consensuel)
    On a raison.
    On prefera regarder un documentaire, ou lire un livre d'histoire que de regarder ce film.
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