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Un visiteur
5,0
Publiée le 1 octobre 2013
Tous les amoureux des animaux pourront comprendre que ce film est une merveille. J'espère que le public sera plus large que ça, et qu'il aura pourtant le même avis.
Qu'en dire au final ? On pleure ... Le fait de savoir qu'il est tiré d'une histoire vraie n'aide pas à garder les yeux secs. Pourtant ne vous dites pas qu'il se résume a la tristesse, parce que oui bien sur qu'il l'est mais il reste surtout magnifique. On en ressort grandi. Serein.
Je ne saurais en faire une éloge plus exceptionnelle que le film lui-même. Ce film ne peut pas laisser indifférent. Il émeut, il bouleverse.
Lasse Hallström ne changera jamais, on a encore et encore l'impression de voir le même film quand bien même il traite des sujets différents mais toujours de la même manière lassante à la longue. L'histoire vraie de laquelle le film est tiré est certes touchante mais que de longueurs et de répétitions dans ce film où il se passe presque rien d'intéressant.
On use et abuse un peu de l'empathie du spectateur et de musique tristo grisonnante mais la grande force du film est dans l'adaptation d'une histoire vraie qui méritait bien un remake contemporrain. Simplement mais efficacement adapté, le film en soit n'a rien d'extraordinaire mais l'histoire si, à voir.
Beaucoup de poésie, de tendresse. On en oublie presque qu'il y a la guerre et la famine dans ce monde de brute. Sérieusement, j'ai chialé du début à la fin. Ça vaut tous les blockbusters. Cette relation qui lie l'animal à son maître je ne savais pas qu'elle pouvait être aussi fusionnelle ; c'est juste incomparable avec celle d'un homme, les chiens restent fidèle à vie. En plus le film s'inspire d'une histoire vraie, ça me paraissait pourtant invraisemblable cette histoire. Richard Gere est touchant. Le chien également (une race rare).
Comme nombre de ses collègues européens après un succès critique et public (Ma vie de chien), Lasse Hallström n'a jamais vraiment confirmé après être passé à l'ouest. C'est de mal en pis depuis Ce cher intrus en 91. Juste un petit sursaut avec Terre neuve en 2002 mais qui était sans doute du à une distribution exceptionnelle (Moore, Spacey, Dench, Blanchett, Glenn, Ifans, Postlethwaite). Pour son deuxième film en trois mois, il ne fait pas mieux avec ce remake d'un film japonais des années quatre-vingt tiré d'une histoire vraie. Plat et sans saveur, violons et mouchoirs, moralité américaine dégoulinante et insupportable. Un pur produit hollywoodien calibré pour là-bas et pour le DVD. Format dans lequel il aurait mérité de sortir directement ici. Un jeu d'acteurs, Richard Gere (aussi producteur) et Joan Allen, sans aucun intérêt, un vrai gâchis. Il faut dire que sans scénario ni metteur en scène on ne peut pas vraiment les blâmer. Seul le chien est convaincant ! Bref à éviter sauf si vous avez des enfants de moins de dix ans et encore...Une fois de plus une comédie animalière qui manque de chien...désolé...
(...) Au final, que ne doit-on pas jeté d’Hatchi ? Même en fouillant dans les moindres recoins, pas grand chose hormis un bon dressage du chien, seul véritable « acteur » valant le coup d’œil ici et une belle affiche mensongère. Hormis ces deux malheureux grains de sable, Hatchi est à réserver aux insomniaques : seulement quinze minutes et c’est le gros dodo assuré ! Lire la suite: http://www.leblogducinema.com/2010/06/16/critique-hatchi/
Du très mauvais mielleux . Avec Richard Gere il fallait s'y attendre , on sait que c'est un acteur qui ne prend aucun risque au niveau des scénaris . Et quand on n'en prend pas celà donne ce genre de niaiserie sans saveur que ce comédien nous livre depuis une quinzaine d'années , c'est à dire du cucu la praline de mauvaise qualité . Au secours !
Oh, le piège! On le sent venir il est là. Le film de filles attendries par un chiot, sous le charme de Richard Gere. Mièvre à souhait, sans intérêt aucun.
Après l'amusante saga des Bethoveen et les histoires émouvantes de Togo, Benji, Clifford ou Enzo, "Hatchi" nous propose un nouveau film d'aventure dramatique, à regarder en famille. Un joli film réalisé par Lasse Hallström avec un chiot de race Akita véritablement craquant. Basé sur des faits réels, le scénario très mélodramatique nous offre des scènes émouvantes et une belle prestation d'acteur de Richard Gere.
Une belle histoire (vraie quoique adaptée). Un beau chien sympa d'une race noble. On aurait d'ailleurs bien aimé en savoir plus. Une explication sur cette race est livrée aux spectateurs mais elle est vraiment lapidaire. Mais peut-être le scénariste n'a t'il pas voulu tomber dans le film purement animalier ? (si c'est ça, il a réussi, laissant davantage de place à la relation entre ce chien et son maître). Au final une impression de téléfilm. Plaisant, sans plus.
Émouvante histoire que celle de Hatchi. Le film raconte la rencontre fortuite entre un homme et un chien qui vont alors vivre une véritable histoire d'amour et de fidélité. Hatchi, fidèle à son maître, va tous les jours l'attendre à la gare jusqu'au jour où ce dernier ne revient pas. Il continuera à l'attendre jusqu'à la fin de ses jours. Une histoire tragique, basée sur des faits réels, extrêmement touchante et qui montre bien à quel point un chien peut être fidèle à son maître. Les acteurs sont bons et la réalisation de Lasse Hallström est soignée. Hatchi est un film magnifique qui émouvra autant ceux qui ont un chien que ceux qui n'en n'ont pas et qui fera sans aucun doute pleurer dans les chaumières. Un film à voir avec un bon paquet de mouchoirs.
Le réalisateur n'hésite pas à en fait des tonnes avec ses envolées musicales appuyant les mignonnes séquences de complicité entre le chien et Richard Gere, visiblement à l'aise avec, car il s’agit bel et bien d’un film au ton assez mièvre reprenant la véritable histoire d’un Akita qui, après la mort de son maître, a passé les dix dernières années de sa vie à l’attendre sortir d’une gare.
Mais alors pourquoi le film fonctionne-t-il malgré sa réalisation plutôt plate et sans génie et son ton "susucre", le film possède au moins la qualité de se placer au niveau du chien et non des humains et ce, pendant tout le long métrage. De plus, le film explore le deuil, mais du point de vue de l’animal de compagnie, ce qui porte à des scènes assez fortes, grâce à cette inconditionnelle loyauté canine, certes, toujours appuyée par une musique omniprésente mais belle et plutôt efficace pour le spectateur qui se laissera tout de même emporter par cette fable...