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    Wall Street : l'argent ne dort jamais
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    496 critiques spectateurs

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    ferdinand75
    ferdinand75

    469 abonnés 3 667 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 mars 2016
    Une suite du célébre film culte , qui manque un peu de tonus.On a l'impression que Oliver Stone tourne un peu en rond, il n'apporte rien de bien nouveau. Michael Douglas est bien sûr impeccable et on a plaisir à le retrouver, Shia Leboeuf est bien aussi, mais le scénario manque d'imagination.
    dougray
    dougray

    215 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 octobre 2010
    Mais qu’est-il arrivé à Oliver Stone, réalisateur de films majeurs comme "JFK", "Né un 4 juillet " ou encore "Platoon" ? Depuis l’ampoulé "Alexandre", le réalisateur accumule les films ambitieux qui retombent comme des soufflets, laissant penser que le talent du bonhomme n’est finalement pas à la hauteur de ses ambitions. Après les attentats du 11 septembre ("World Trade Center"), et le Président Bush ("W."), c’est à la suite de "Wall Street", soit un des ses meilleurs films, que Stone s’attaque, suscitant une fois de plus les espoirs les plus fous. Et le retour de Michael Douglas, en perte de vitesse depuis "Traffic", dans le rôle culte (et oscarisé) de Gordon Gekko, gourou des traders du monde entier, ne faisait qu’accentuer la pression. Et au final, la déception est une fois encore au rendez-vous... Comme pour ses derniers films, Oliver Stone a eu la main particulièrement lourde avec un refus incompréhensible d’apporter un semblant de structure à son récit (les scènes se succèdent sans réel fil conducteur, les sous-intrigues se télescopent...), des effets de style au mieux inutiles au pire ridicules et des longueurs épouvantables. Et dire que Stone était reconnu pour son talent de metteur en scène (voir les montages hallucinants de "JFK" ou "Tueurs Nés"). Niveau intrigue, le spectateur néophyte devra s’accrocher, Stone se livrant à de savantes explications sur les marchés boursiers aussi lourdes qu’obscures (un défaut que n’avait pas le 1er film) et qui prennent le pas sur une intrigue qui oscille entre le basique (la vengeance de Jacob, les relations entre Gekko et sa fille...) et le prévisible (qui peut imaginer que James ne sera pas puni ou que Gekko est finalement devenu honnête ?). Et ce ne sont pas les gimmicks gonflants sur les bulles ou le fameux aléa moral qui viennent alléger le film. Enfin, les personnages sont d’une pauvreté surprenante (pour ne pas dire indigne) quand il ne sombre pas carrément dans la contradiction totale. On a ainsi droit au jeune trader idéaliste Jacob (Shia LaBeouf qui peine à passer du statut d’espoir à celui d’acteur confirmé) qui fait preuve d’une belle hypocrisie en essayant de se la jouer vertueux malgré son loft luxueux et ses bonus à 7 chiffres (il est difficile de s’attacher au personnage), à sa petite amie Winnie (la mimi Carrey Mulligan) qui, alors qu’elle est en guerre avec son père ex-légende de la finance, s’amourache d’un trader tout en écrivant pour une revue à tendance gauchiste, au grand méchant banquier de l’histoire (Josh Brolin charismatique malgré le peu de substance de son personnage) qui n’a aucune excuse et qui fait, au final, pâle figure à côté du Gordon Gekko et du Sir Wildman du 1er opus, au vieux mentor (Frank Langella qui assure le minimum syndical) symbole de la vertu d’un autre temps, sans oublier l’agent immobilier (Susan Sarandon qui collectionne les 2nds rôles sans consistance) qui s’affole suite à la crise des subprimes. Plus grave, même Gordon Gekko, malgré le retour du vieux briscard Michael Douglas, ne retrouve pas son charisme d’antan (même lorsqu’il redevient le trader redouté qu’il était avec ses cigares, ses costumes de marques et ses cheveux gominés), amputés, il est vrai, des répliques assassines qui ont fait le succès de son personnage. Il faut dire que, côté dialogues, Stone a préféré opté pour des longues pages de drame familial éculé et de morale à deux balles plutôt que de s’adonner au cynisme jouissif du précédent opus. Reste le plaisir de retrouver un personnage qu’ont a adoré ainsi que quelques moments amusants (le cameo de Charlie Sheen qui reprend le rôle de Bud Fox... flinguant au passage tout le capital sympathie du personnage). Espérons néanmoins qu’Oliver Stone nous prouve très vite qu’il n’a pas tout perdu de son talent, dont on n’a plus eu trace depuis "L’enfer du dimanche".
    defleppard
    defleppard

    317 abonnés 3 254 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 décembre 2010
    Une suite qui se suit avec plaisir . Du bon boulot !
    Requiemovies
    Requiemovies

    188 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 octobre 2010
    On le sait depuis quelque temps Oliver Stone n’est, hélas, plus un cinéaste politique. Les traits grossiers de sa réalisation l’ont plus desservis ces dernières années que soulignés le discours qu’il tente à chaque fois de nous communiquer. En ça, ses documentaires sont bien plus forts que ses fictions. Cependant Wall Street : l’argent ne dort jamais, lui permettait de revenir en force (en forme ? ). On doit confirmer que nous avons à faire au meilleur Stone depuis une petite dizaine d’années, cela n’en fait pas un film d’une grande mesure mais les axes sont là, le building tient mais n’empêche aucunement l’effondrement du cours de la bourse. Stone vieillit, il n’a plus la main mise sur son montage final comme avant, les studios poussent derrière, on sent alors la force de ces derniers pour donner au film un cachet « vendable », et oui les bons sentiments ont leur place et doivent même être là. Alors on se délecte de ce qui reste, les dialogues, le plaisir de revoir Michael Douglas (très très en forme), une pseudo explication de la crise pour les nuls (ou moins nuls d’ailleurs de soyons pas trop « Gekkoesque » sur ce coup ) et une réalisation dynamique au moins dans sa forme. Alors oui on adore retrouver ces personnages d’un film devenu culte et une histoire, hélas aussi, adaptée à l’air du temps.
    bobmorane63
    bobmorane63

    158 abonnés 1 902 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 février 2011
    Gordon Gekko réssucité pendant la crise économique par son créateur Oliver Stone, je dois reconnaitre que le cinéaste a fait un bon cru quand on compare à deux films précédent qu'il a réalisé, "Alexandre" et "World trade center" qui m'ont laissé un gout amer, le réalisateur a retrouvé son niveau et cela fait grandement plaisir. 2008, crise économique mondiale, les banquiers et les traders sont en panique, ça on connait malheureusement. Gordon Gekko, financier crapuleux et sans scrupule, est sortit de prison 8 ans auparavant et voit le monde tel qu'il est. Son gendre est trader et voit son mentor se suicidait aprés une faillite et décide de le venger. Il rencontre Gekko en cachette dont la fille ne veut plus en entendre parler pour filer des tuyaux financières mais quand on a vu le premier volet, on se pose la question si Gekko a trouvé du bon avec le temps ou s'il est en proie avec ses vieux démons, c'est l'attraction principal et le personnage est construit avec fascination. L'histoire est interressante malgré qu'on s'y perd un peu dans les techniques de la bourse pour les nuls comme moi (rire). Michael Douglas, dans un role phare de sa carrière qui lui valut l'Oscar du meilleur acteur livre la une grande prestation aux cotés du trés bon Shia Labeouf, Carey Mulligan, Josh Brolin, Susan Sarrandon, Eli Wallach et la participation de Charlie Sheen. Une bonne surprise.
    CH1218
    CH1218

    161 abonnés 2 773 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 avril 2023
    Au contraire de Gordon Gekko, Oliver Stone a laissé son mordant au vestiaire dans cette suite bien trop superficiel qui se perd dans des relations familiales plutôt que d’épingler une nouvelle fois le monde financier. C’est d’autant plus inexcusable que le scandale Madoff et la crise des subprimes de 2008 ont devancé le tournage du film. A noter la dernière apparition à l’écran d’Eli Wallach.
    Nicolas S.
    Nicolas S.

    79 abonnés 1 524 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 août 2021
    Cette suite n'est pas au niveau du premier film. Qu'est-ce que je me suis ennuyé devant ! Non pas qu'il soit mauvais en soi mais il est fortement dénué d'enjeux. Je ne me suis pas senti proche d'un seul personnage du long-métrage alors de là à ressentir une quelconque émotion pour ce qui leur arrivait ...

    Il faut dire qu'ils sont passés à côté de ce qui faisait le sel du premier : les jeux de pouvoir au sein du monde de la finance.
    Il y a bien quelques scènes avec des financiers et quelques dialogues échangés en mode bras de fer mais elles apparaissent plus comme une justification du titre "Wall Street" que comme une histoire centrale dans le scénario.

    Ici, c'est plus une banale histoire de conflit familial qu'un roman d'initiation ou qu'un pamphlet sur l'avidité. Tout est trop sage, trop fade.

    Evidemment, on a des bons acteurs pour porter le tout et nous inciter à rester jusqu'au bout. Mention spéciale d'ailleurs à Michael Douglas qui incarne un Gordon Gekko aux failles apparentes. Mais c'est bien maigre.

    En revanche, ce que j'ai aimé, c'est que le film ne cherche pas spoiler: un happy end
    . Et ça correspond totalement au personnage de Gekko. L'inverse m'aurait déçu.

    Bref, cette suite était largement dispensable, presque assimilable à un téléfilm.
    bug bunny
    bug bunny

    40 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 février 2021
    un film vraiment pas terrible fade je dirais , sans grand intérêt malgré des grands acteurs dedans, franchement un peu passè son chemin
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 4 janvier 2012
    On pensait Oliver Stone vacciné contre la remakite aigue qui touche nombre de ses confrères réalisateurs. Mais l’actualité de ces dernières années l’a incité à réactualiser son « Wall Street » pour rappeler combien le monde de la finance est dur et cruel.
    Le problème, c’est que le scénario n’est pas assez solide pour nous permettre d’apprécier ce film comme le premier. L’intrigue ne permet pas d’utiliser le retour de Gordon Gekko à sa juste valeur, d’autant que Michael Douglas parait davantage fatigué.
    Mais surtout, Stone ses histoires de trahisons financières avec du blabla romantico-familial bien inutile. En fait, j’aime bien Carey Mulligan mais son rôle (qui n’avait pas d’équivalent dans le premier) est inutile.
    Oliver Stone voulait certainement fait de ce Wall Street 2 un nouveau film saignant sur le monde de la finance mais il dilue trop pour que ça ait le moindre impact : un coup d’épée dans l’eau.
    bobbyfun
    bobbyfun

    30 abonnés 1 216 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 février 2020
    Remis au goût du jour, ce Wall Street demeure en deçà de son prédécesseur mais reste tout de même de facture intéressante.
    Redzing
    Redzing

    954 abonnés 4 314 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 juin 2011
    Faire une suite à "Wall Street" était peu utile au sens où le film n'a pas pris une ride en décrivant l'avidité des traders. Ce "Wall Street : Money Never Sleeps" se vend néanmoins en se centrant sur la crise financière de 2008, et on retrouve Stone à la réalisation et Douglas dans l'un de ses plus célèbres rôles. Malheureusement, le sujet n'est qu'effleuré et le final trop idyllique. Le film demeure tout de même divertissant, et il est agréable de revoir Gordon Gekko dans l'univers actuel.
    this is my movies
    this is my movies

    634 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 juillet 2016
    Il semble loin le temps où O. Stone provoquait le monde du cinéma, expérimentant des tas de choses, bousculant les codes et posant de vraies questions. Depuis le début du IIIème millénaire, cet ancien grand est devenu un faiseur, enchaînant les projets excitants mais inaboutis ("Alexandre") ou bien indigne de lui ("World trade center"). Là, en donnant une suite à son "Wall street", on pouvait attendre un sursaut. Hélas, si le 1er détonnait puisqu'il allait à contre-courant de l'idéologie alors en vigueur (l'époque des yuppies), il est ici d'un conformisme bête et méchant, allant systématiquement là où on l'attend et en demeurant politiquement très correct. Si le talent de Stone est toujours là, lui permettant de signer des plans magnifiques dont ne sont pas capables les 3/4 des réals hollywoodiens, sa hargne et son sens de la provoc' sont aux abonnés absents. Si S. LaBeouf est plus sobre qu'à l'accoutumée, c'est parce que M. Douglas en fait des caisses et aussi parce qu'il est écrasé par le rôle sans relief qu'on lui a confié. Pas vraiment palpitant, avec juste quelques répliques détonantes et quelques scènes réussies, un divertissement fade et plat, qui fait parfois peine à voir. D'autres critiques sur
    dahbou
    dahbou

    181 abonnés 2 186 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 novembre 2011
    Brillamment dialogué et interprété, cette suite de Wall Street n'arrive cependant pas à la hauteur du premier. Là ou celui-ci était le fruit de son époque ou Stone tirait à boulé rouge sur les yuppies, il tire désormais sur une ambulance et oublie par moment de développer son suspense pour se perdre dans son militantisme. Heureusement, Douglas est toujours là et n'a rien perdu de son talent pour retrouver son meilleur rôle, LaBeouf ne s'en sort pas si mal tandis que Josh Brolin souffre dans un rôle peu développé.
    Hastur64
    Hastur64

    197 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 septembre 2012
    Oliver Stone reprend dans ce Wall street 2010 son personnage de 1987 : Gordon Gekko, mais ce dernier n’est plus le personnage principal il laisse la place à Jake Moore, passage de relais qui signifie la fin de l’époque des yuppies que représente Gekko par celle de traders d’une nouvelle génération. Mais au final le film nous fait nous interroger sur ces nouveaux rois de Wall Street, sont ils au final si différents de leurs aînés qu’ils semblent le croire où la soif d’argent (la cupidité si bonne pour Gekko) est-elle toujours le moteur de leurs actions. Sur fond de crise des subprimes en gestation Stone battit un drame où le système Wall Street est disséqué dans une intrigue à plusieurs étages où Gekko reste toujours un manipulateur de grande classe. Cette dissection des mœurs de la haute finance ne se fait pas sans l’utilisation de son jargon et l’exposition de ces rouages, et là malheureusement je pense que beaucoup de spectateur ont dû être, comme moi du reste, passablement égaré tant les concepts économique tiennent plus de mathématiques de pointes que de la gestion bancaire à papa. Du coup si l’intrigue reste passionnante, les subtilités qui soutiennent les discussions ente Gekko et Moore restent souvent absconses. Le film est porté par une série impressionnante de bons comédiens dont Josh Brolin qui, il faut le signaler, se bonifie dans son jeu avec l’âge. Un très bon film qui ne sacrifie pas à la critique de Wall Street ni ces personnages ni son intrigue et qui fait passer un très bon moment, à ne pas rater
    dai72
    dai72

    126 abonnés 2 131 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 novembre 2011
    Un film qui surfe sur l'actualité mais dont les qualités se font rares. Beaucoup de blablas, pas toujours compréhensibles il faut l'avouer, un rythme trop souvent lent et manquant d'intensité, des variations dans le scénario et Shia LaBeouf qui manque cruellement de crédibilité. Seule Carey Mulligan surnage et montre une fois encore qu'elle est une grande actrice!!
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