Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Ces trois heures épuisantes et profuses signent l’accomplissement de ce qui travaille en profondeur les derniers films de Scorsese depuis "Les Infiltrés" : la fabrique d’images doubles, un pied dans la virtuosité et le brillant des images, les figures du genre et la reconduction des courants de son œuvre, l’autre dans une révélation (presque une convocation) d’un envers chaotique, informe et monstrueux.
Chronic'art.com
par Jérôme Momcilovic
Au début de "Casino", Joe Pesci annonçait avec mélancolie que les gangsters américains ne trouveraient jamais plus une manne comme celle du Las Vegas des années 70. Le démenti apporté par le Wall Street de Jordan Belfort constitue un résumé de l'époque pour le moins grinçant.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
CinemaTeaser
par Renan Cros
Une œuvre étonnamment complète et complexe, tout autant une comédie hilarante et absurde qu’une fresque obsessionnelle et dramatique sur la quête impossible du plaisir.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Louis Blanchot
Un film somme et centrifuge, qui dévale pour la mettre sens dessus dessous une filmographie depuis toujours aimantée par deux horizons : celui, intimiste et christique, du mâle blanc face à l’hubris ; celui, épique et ironique, de l’Amérique face au capitalisme.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Martin Scorsese, au sommet de son art, nous embarque dans un thriller financier dopé à l'argent, à la drogue et au sexe et signe une mise en scène aussi délirante que la vie du héros (...) Un grand film étourdissant.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Alain Grasset
DiCaprio est extraordinaire dans la peau de ce personnage comique et dramatique.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Frédéric Bonnaud
Depuis quand un film de Martin Scorsese n'avait-il donné un tel sentiment de liberté frondeuse, d'absolue maîtrise au service d'une experience encore jamais tentée ?
Libération
par Didier Péron
les grandes scènes du "Loup" (...) sont d’ores et déjà des morceaux d’anthologie. (...) Un nouveau portrait scorsésien entropique de l’ascension et la chute d’une crapule séduisante guidée par le seul aveuglement de ses instincts avides.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Danièle Heymann
Film somptueusement autosatisfait et voluptueusement réalisé (...)
TF1 News
par Romain Le Vern
Martin Scorsese orchestre dans le temple de la spéculation financière une satire terrassante, une parabole sur une société d'apparences, de performances, où tout fonctionne sur des velléités matérielles, des rapports de force, de mauvaises plaisanteries (...) Il fallait bien trois heures d'éclaboussures, de flammes et de cendres pour raconter le parcours vertigineux et grandiose d'une épave.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Transfuge
par Damien Aubel
Un chef d’œuvre en forme de fête des fous.
La critique complète est disponible sur le site Transfuge
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Avec la complicité de son acteur fétiche, Leonardo DiCaprio, une fois de plus habité par son personnage hors-normes, Scorsese signe un grand film sur l'envers du rêve américain, doté d'une multitude de seconds rôles de premier ordre.
Télérama
par Louis Guichard
Peut-on se passionner pendant trois heures pour un bouffon doublé d'une ordure ? Le nouveau film de Martin Scorsese nous apprend que oui.
Ecran Large
par Sandy Gillet
Pour. Scorsese retrouve la magie des "Affranchis" dont il signe tout simplement ici une brillante relecture.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Martin Scorsese se concentre sur la chute d'un self-made-man. Un homme qui se brûle comme au bon vieux temps des Stones et du rock'n'roll. Le septuagénaire Martin Scorsese semble fasciné par cette énergie qu'il met en scène. Une façon pour lui de signifier son refus de baisser la garde ?
La critique complète est disponible sur le site Elle
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
Scorsese se lâche. Son film est outrancier plutôt drôle, souvent jouissif.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
aVoir-aLire.com
par François Blet
Remercions Martin, en cette période, d’être (re)venu à nous les bras chargés de chèques cadeaux, sous une jolie neige colombienne.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Danel
Malgré une mise en scène aux airs de déjà vu et des gesticulations superfétatoires, “Le Loup de Wall Street” pose avec éclat la question : qui a vendu le rêve américain ?
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ecran Large
par Simon Riaux
Contre. À l’image de la reprise poussive de Mrs Robinson qui conclut son film, Scorsese livre une relecture ampoulée et hystérique de son cinéma, qui s’avère le grand absent de ce baroud d’honneur incontinent.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Les comportements d'une bande de crétins intéressés exclusivement par eux-mêmes (...), le temps paraît long. Il permet de mesurer le gouffre qui sépare un cinéaste inventif et passionné du décalque de lui-même qu'il est devenu.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Arnaud Schwartz
Manquant singulièrement de distance par rapport à son sujet, Martin Scorsese semble se complaire sans parvenir à dénoncer. La surenchère à laquelle il s’astreint mène droit à l’ennui et finit même par nuire à une série de scènes dialoguées, à forte tonalité tarantinesque.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Positif
par Jean-Philippe Domecq
Cet échec artistique est à la mesure du sujet et de l'artiste. (...) Point n'était besoin d'en rajouter dans la vulgarité, la chose en soi était et est suffisamment hystérique.
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
Le "Loup de Wall Street", c'est "Casino" passé à la moulinette fadasse de la petite forme télévisuelle (...) 170 minutes d'indigence.
Cahiers du Cinéma
Ces trois heures épuisantes et profuses signent l’accomplissement de ce qui travaille en profondeur les derniers films de Scorsese depuis "Les Infiltrés" : la fabrique d’images doubles, un pied dans la virtuosité et le brillant des images, les figures du genre et la reconduction des courants de son œuvre, l’autre dans une révélation (presque une convocation) d’un envers chaotique, informe et monstrueux.
Chronic'art.com
Au début de "Casino", Joe Pesci annonçait avec mélancolie que les gangsters américains ne trouveraient jamais plus une manne comme celle du Las Vegas des années 70. Le démenti apporté par le Wall Street de Jordan Belfort constitue un résumé de l'époque pour le moins grinçant.
CinemaTeaser
Une œuvre étonnamment complète et complexe, tout autant une comédie hilarante et absurde qu’une fresque obsessionnelle et dramatique sur la quête impossible du plaisir.
Critikat.com
Un film somme et centrifuge, qui dévale pour la mettre sens dessus dessous une filmographie depuis toujours aimantée par deux horizons : celui, intimiste et christique, du mâle blanc face à l’hubris ; celui, épique et ironique, de l’Amérique face au capitalisme.
Le Journal du Dimanche
Martin Scorsese, au sommet de son art, nous embarque dans un thriller financier dopé à l'argent, à la drogue et au sexe et signe une mise en scène aussi délirante que la vie du héros (...) Un grand film étourdissant.
Le Parisien
DiCaprio est extraordinaire dans la peau de ce personnage comique et dramatique.
Les Inrockuptibles
Depuis quand un film de Martin Scorsese n'avait-il donné un tel sentiment de liberté frondeuse, d'absolue maîtrise au service d'une experience encore jamais tentée ?
Libération
les grandes scènes du "Loup" (...) sont d’ores et déjà des morceaux d’anthologie. (...) Un nouveau portrait scorsésien entropique de l’ascension et la chute d’une crapule séduisante guidée par le seul aveuglement de ses instincts avides.
Marianne
Film somptueusement autosatisfait et voluptueusement réalisé (...)
TF1 News
Martin Scorsese orchestre dans le temple de la spéculation financière une satire terrassante, une parabole sur une société d'apparences, de performances, où tout fonctionne sur des velléités matérielles, des rapports de force, de mauvaises plaisanteries (...) Il fallait bien trois heures d'éclaboussures, de flammes et de cendres pour raconter le parcours vertigineux et grandiose d'une épave.
Transfuge
Un chef d’œuvre en forme de fête des fous.
Télé 7 Jours
Avec la complicité de son acteur fétiche, Leonardo DiCaprio, une fois de plus habité par son personnage hors-normes, Scorsese signe un grand film sur l'envers du rêve américain, doté d'une multitude de seconds rôles de premier ordre.
Télérama
Peut-on se passionner pendant trois heures pour un bouffon doublé d'une ordure ? Le nouveau film de Martin Scorsese nous apprend que oui.
Ecran Large
Pour. Scorsese retrouve la magie des "Affranchis" dont il signe tout simplement ici une brillante relecture.
Elle
Martin Scorsese se concentre sur la chute d'un self-made-man. Un homme qui se brûle comme au bon vieux temps des Stones et du rock'n'roll. Le septuagénaire Martin Scorsese semble fasciné par cette énergie qu'il met en scène. Une façon pour lui de signifier son refus de baisser la garde ?
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Scorsese se lâche. Son film est outrancier plutôt drôle, souvent jouissif.
aVoir-aLire.com
Remercions Martin, en cette période, d’être (re)venu à nous les bras chargés de chèques cadeaux, sous une jolie neige colombienne.
Les Fiches du Cinéma
Malgré une mise en scène aux airs de déjà vu et des gesticulations superfétatoires, “Le Loup de Wall Street” pose avec éclat la question : qui a vendu le rêve américain ?
Ecran Large
Contre. À l’image de la reprise poussive de Mrs Robinson qui conclut son film, Scorsese livre une relecture ampoulée et hystérique de son cinéma, qui s’avère le grand absent de ce baroud d’honneur incontinent.
L'Obs
Les comportements d'une bande de crétins intéressés exclusivement par eux-mêmes (...), le temps paraît long. Il permet de mesurer le gouffre qui sépare un cinéaste inventif et passionné du décalque de lui-même qu'il est devenu.
La Croix
Manquant singulièrement de distance par rapport à son sujet, Martin Scorsese semble se complaire sans parvenir à dénoncer. La surenchère à laquelle il s’astreint mène droit à l’ennui et finit même par nuire à une série de scènes dialoguées, à forte tonalité tarantinesque.
Positif
Cet échec artistique est à la mesure du sujet et de l'artiste. (...) Point n'était besoin d'en rajouter dans la vulgarité, la chose en soi était et est suffisamment hystérique.
Charlie Hebdo
Le "Loup de Wall Street", c'est "Casino" passé à la moulinette fadasse de la petite forme télévisuelle (...) 170 minutes d'indigence.