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WinslowLeach666
26 abonnés
359 critiques
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5,0
Publiée le 26 septembre 2010
Cultissime.......Les frangins Farrelly commettent une comédie totalement foutraque et complétement réussie. La scène de la boule de neige me fait pisser de rire, c'est vrai que c'est de l'humour gras, mais j'adore ça.
Il y a 50 ans, j'avais deja du mal a rire a ce genre de debilite.. A l'epoque Jerry Lewis faisait ses grands succes...> Je trouve Jim Carrey pire que Lewis dans ses plus mauvais films.. Ne parlons pas de son partenaire...C'est a peine de la classe du coussin peteur
Nous sommes face à un film très drôle, chargé non seulement d'humour, mais aussi d'émotion. Qui aurait pu croire que deux amis se décideraient à parcourir plusieurs kilomètres afin de retrouver la propriétaire d'une mallette dont ils ignorent le contenu ?
Cela montre à quel point l'inattendu est surprenant.
Film débile et hilarant où on se lasse pas d' admirer les fantaisies idiotes du duo Carrey-Daniels, qui sont splendides dans leur rôle de looseurs pas très futés. Ne vous attendez pas à du Audiard dans la prose, le film est simple et bête tout le long, et c' est ce qui au final, en fait son charme. Une comédie familiale qui devrait plaire aux plus petits comme aux plus grands de part sa facilité de compréhension.
Ce n’est qu’avec du recul sur la suite de la filmographie des frères Farrelly que l’on peut pardonner à leur premier long-métrage sa crétinerie assumée. La vulgarité des gags et la stupidité des situations, mais aussi, semble-t-il, le manque d’inspiration dans l’écriture de ce road-trip, ne sont en effet que des soi-disant arguments comiques dissimulant l’aspect pathétique des deux héros. Raconter des histoires d’amour impossibles potentiellement émouvantes en appuyant à l’extrême la lourdeur de leur humour est effectivement ce que les deux frangins savent faire de mieux, au risque de passer pour des auteurs limités à une loufoquerie bien grasse alors que le fond de leur scénario contient toujours un minimum de subtilité. Dumb and Dumber est encore très maladroit dans cette façon de mêler émotions et débilité poussive. Heureusement les mimiques de Jim Carrey (qui venait d’être révélé, au-delà des Etats-Unis où il multipliait déjà les sketchs dans les émissions américaines, grâce à The mask) rendent certains passages réellement amusants et non pas uniquement lourdingues.
Un film débile et outrancier, furieusement drôle et sans chichi. Les frères Farelly tapent dans le mille pour leur premier film : sans arrière-pensée, dans le pur délire et sans aucune gêne, les cinéastes s'amusent comme des fous. C'est souvent pipi caca, il ne faut y voir aucun second degré ni aucune dénonciation ou sens caché, on est dans le divertissement pur. Le rire pour le rire, la déconne et la bêtise à tout crin, et il faut dire que cela fat du bien. Les deux acteurs s'en donnent à cœur joie et donnent une énergie folle au film. La folie de Jim Carrey fait souvent penser à Jerry Lewis, avec la même candeur et la même inventivité.
C'est quasi impossible de noter ce film. La première fois que je l'ai vu, j'étais jeune, et je l'ai trouvé excellent et monstrueusement drôle. L'ayant revu récemment, il m'a pas mal déçu. Cependant, deux scènes que j'avais oublié m'ont à nouveau fait rire gorge déployée : spoiler: la scène avec la pisse dans les canettes, et la scène avec le piaf qui se fait buter.
Dumb et Dumber est une savoureuse comédie où les gags désopilants se succèdent à un rythme d'enfer. Peter Farelly a fait montre d'inspiration comme bien souvent. à ne pas manquer!
J'ai trouvé ce film brillant de nullité. Je n'apprécie pas du tout ce genre d'humour scatoogique et vulgaire. En revanche, Jim Carrey est parfait comme à son habitude.
Certaines scènes sont à mourir de rire (cf la scène du restaurant), Jim Carrey est hilarant, dommage que la première heure passée, le reste soit un peu plus redondant.
Dumb & Dumber, film catastrophique pour certains, film culte pour beaucoup d'autres, le premier long métrage des frères Farrelly ne laisse pas indifférent.
C'est le 16 décembre 1994 que sort sur les écrans américains le tout premier film des frères Farrely, avant de réaliser ce qui sera plus tard une oeuvre majeur de la comédie américaine, les frères Farrely travaillaient en tant que scénaristes pour la série télévisée Seinfeld.
Avant de devenir une oeuvre culte, Dumb & Dumber devait d'abord convaincre les studios, Bobby et Peter Farrelly ont essuyé de nombreux refus, il faut dire que Dumb & Dumber avait de quoi faire fuir n'importe quel studio devant la débilité de son scénario.
A force d'acharnement les frères Farrely ont réussi à convaincre la New Line, après avoir trouvé le studio les deux hommes devaient se mettre en quête des deux rôles principaux.
Devant un tel scénario aucun comédien ne se bousculait, jusqu'au jour ou un certain Jim Carrey qui venait de terminer le tournage de The Mask accepta de tourner pour les frères Farrely.
Le salaire de Jim Carrey était au départ de 700 000 $ mais devant le succès de Ace Ventura et de The Mask les agents de Jim Carrey ont renégocié son cachet à 7 000 000 $.
1994 est l'année de la consécration pour Jim Carrey, l'acteur canadien qui était cantonné le plus souvent à des seconds rôles dans notamment Peggy Sue s'est mariée, de Francis Ford Coppola, puis aux côtés de Clint Eastwood dans L'Inspecteur Harry : La Dernière Cible, puis dans Pink Cadillac, C'est en 1994 que sa carrière prend un tournant décisif quant le 4 février 1994 sort aux États-Unis Ace Ventura, détective pour chiens et chats puis le 29 juillet The Mask.