Avis : Vinyan - Page 4

Un très mauvais film où l'on s'ennuie tout du long... et ou il ne se passe pas grand chose. Je m'attendais à beaucoup mieux apres avoir vu l'excellent Calvaire, et j'ai été super décu ! L'histoire était bonne mais la réalisation pas assez travaillé...Attendons le prochain film de Welz, l'ile aux 30 cercueils, qui j'espère sera meilleur. Passer vous ne manquerez rien... (0*)

Je comprends pas les mauvaises critiques qu'à reçu ce film. J'apprécie beaucoup le style de ce cinéaste qu'est Fabrice Du Welz, particulier avec une atmosphère humide et flippante. Une idée de départ très intéressante, des séquences étranges et une réalisation hallucinée (même si parfois il est un peu excessif dans certaines scènes). La dernière demi heure est vraiment folle, et le jeu de Béart en mère déboussolée est parfait.

Malgré sa narration faiblarde et son expérimental embarrassant et trop présent pour être entièrement sincère, Vinyan reste une sacrée expérience et une plongée vertigineuse dans la moiteur de la jungle thaïlandaise, lorgnant judicieusement sur Les Révoltés de l'An 2000 sur la fin. Comme toujours, Rufus Sewell est remarquable. Après Calvaire, Fabrice du Welz continue son exploration forte du thème du deuil qui arrive au summum dans le très beau plan final.

Je savais à quoi m’attendre quand je rentrais dans la salle. Une allégorie sur la perte. Une démystification sur la réalité de la douleur. Une parabole quoi…Le cinéma qui m’endort en fait ! Je déteste le trois quart de la filmographie de David Lynch (pour vous donner un exemple) et je suis allé voir ce film pour soutenir Fabrice du Welz (l’homme qui a fait Calvaire ! Quand même) mais si il continue sur cette voie…
Bon après de très bons acteurs (Rufus Sewel j’adore, Emmanuelle Béart, j’adores pour d’autres raisons et je pense que les enfants aussi vu la fin hihihi !), des scènes dérangeantes voir déguelasses (un bon étripage évidemment ça m’a fait du bien après presque une heure et demi de « planage » !) et une photographie vraiment très belle et appropriée, une réussite au niveau de l’ambiance visuelle.

Emmanuelle Béart est convaincante dans son rôle et la réalisation est pas mal mais la fin du film me déplaît et par moments l'histoire semble se perdre elle-même dans cette jungle.

Vinyan 2e film réalisé par Fabrice du Welz (calvaire) réalisateur belge. Son premier film Calvaire ne n'avait pas plu malgré de bonnes idées et une histoire réaliste et malsaine ainsi que deux acteurs vraiment excellent, mais le film, malgré ses qualités n'avaient pas réussi à me séduire...

Ce second film, bien qu'il ne m'ait pas non plus totalement emballé est à mon gout déjà bien mieux ! En effet cette histoire plus proche d'un drame a tendance fantastique que de l'horreur, est vraiment intéressante à suivre ! Une histoire qui nous plonge dans la période de l'après tsunami qui dévasta une grande partie de l'Asie ou l'on suit un couple à la recherche de leur fils qu'ils croient avoir été enlevé...

Films très dépaysant avec une multitude de paysages magnifiques, certains plans sont splendide au niveau des effets d'ombres et lumières. Bon pour ma part, je pense que le film manque de quelques éléments tel des scènes d'actions, des moments de flippes par ex histoire de rendre tout cela encore plus intéressant, car au premier vision-nage c'est très plaisant à voir, mais je ne pense pas que cela sera le cas pour les prochains...

Par contre, l'uns des points forts du film c'est cette émotion qui se dégage de ce couple en proie à l'immense tristesse d'avoir perdu ce qu'ils avaient de plus cher ! Et je dis cela alors que je n'ai pas trouvé l'interprétation des deux acteurs particulièrement convainquante... qu'est-ce que cela aurait été dans le cas contraire...

Quand a la scène finale... mais d'une connerie ! L'actrice principale en train de se faire palper les nibards par des dizaines de gamins... le message de cette scène c'est quoi au juste ? Bref, mis à part cette petite scène bonne pour les ordures c'est franchement pas mal pour le reste ! A voir

Pour son deuxième film (après le très mauvais Calvaire) Fabrice Du Welz joue encore sur l'étrange et l'incimpréhensible, et sa marche. On y comprends tellement rien qu'on s'endore profondément dans l'espoire de ne se reveiller qu'a la fin. Quel Film.

Ce film n'est pas terrible et largement dispensable.
La trame est lente et il ne se passe pas grand chose.
De plus,la fin est étrange.
Une étoile pour la bonne interprétation d'emmanuelle beart.

C'est vraiment une drôle d'histoire que nous livre Fabrice du Welz. A partir du tsunami de 2005, le réalisateur prend comme base de travail un couple ayant perdu leur fils lors de la catastrophe. Là-dessus, il rajoute un côté mystique à l'histoire avec cette jungle, ces enfants... qui donne un nouveau genre. Emmanuelle Béart se donne à fond, l'image et la photographie sont magnifiques. Mais tout ça cache un scénario un peu brouillon et qui n'est pas pour plaire à tout le monde.

Moche, long, incompréhensible, abruti par milles références à la seconde, Vynian échoue à tout ; à émouvoir, à fasciner, à faire peur, à faire réfléchir. Seul le titre avait de la gueule, ainsi qu'un beau sujet... qui devient le prétexte à un bordel incomestible et aussi agaçant que grotesque, en plus du saccage d'un bon acteur, Rufus Sewell. Poubelle.

Spécial QuiZz dispo sur http://moncinemamesfilmsmonart.blogs.allocine.fr/

Mais qu'est-ce que le réalisateur a voulu transmettre comme message avec un film pareil? Lent et soporifique, des acteurs aux visages impassibles, une histoire dont on ne voit pas l'aboutissant.... Bref, à part une descente dans la folie de Béart pour une mére ayant perdu son fils, on se retrouve devant une imagerie d'enfants aux visages blancs qui sont sensés représenter.... ben justement on ne le sait pas. En plus le réalisateur finit sur un plan assez gore (complétement inutile et gratuit je trouve). J'ai fait l'effort d'aller au bout mais je le regrette. A éviter.

Pour nous plonger dans les égarements psychologiques de son héroïne, le choix le plus évident en matière de scénario aurait été d’approfondir les déboires des personnages, principalement à travers les dialogues, mais, à défaut de travail d’écriture de la part de son scénariste, Fabrice du Welz choisi de placer au centre de son film une surenchère d’effets visuels et sonores. Cette mise en scène que l’on devine aisément inspiré du Enter the Voïd de Gaspard Noé, mais à laquelle le réalisateur a fait perdre son charme mystique et son rythme, fait perdre autant son charme aux décors tropicaux que l’intensité dramatique de ce scénario noyé dans un flot d’images nauséeuses. Le peu de volonté que met Emmanuelle Béart à interpréter cette femme endeuillée est le frein ultime qui empêche à ce capharnaüm visuel de dégager un autre sentiment que le regret de lui accorder du temps.

Le chemin pris et entrepris pour traiter du sujet est peut-être original mais nous laisse de glace. Même la bande son et les quelques images nous éloigne de la compassion pour ce film. Très délicat de traiter du deuil et d'en revenir aux sources primitives, le raccourcis est bien trop rapide pour en disséquer les messages ici. 0/5 !!!

Vinyan ne m'a pas particulierement plu mais ce n'est pas un mauvais film. Je n'ai pas accroché car des sequences sont vraiment trop longues, l'action est peu presente et le suspens decroit au fur et a mesure que le film avance. Toutefois vinyan fait preuve de veracité, en effet c'est un film plein de culot qui n'a pas besoin d'effet speciaux ou de suspens surealiste pour s'élever. C'est une histoire filmée tel que l'on pourrait la vivre,sans artifices ni superflu. Les acteurs jouent merveilleusement bien. l'histoire est crédible et les images sont merveilleuses digne d'un roman photos. J'attendais un film plus coup de poing d'ou ma note ce type de cinema est interressant mais ne me convient pas en tout point. Un peu plus d'action aurait été la bienvenue. Les points d'interrogation que porte ce film ne sont pas derangeants mais dans la derniere scene de fin quelques explications m'auraient arrangées

Une expérience quasi tribale sensitive gorgée d'émotion extrême qui nous plonge sans retenu la tête en avant - et sans humour - au cœur d'une nature imposante et suffocante qui amène les individus au point de rupture et dans leurs ultimes retranchements. Bref l'incarnation d'un cinéma transgressif et viscéral.

Bon Emmanuelle Béart nous offre une interprétation disons "hallucinée" pas la plus convaincante... Heureusement Rufus Sewell est impressionnant de violence refoulée et de menace latente.

Ceux de presse dite "professionnelle" qui osent détruire sans retenu une oeuvre aussi mature et courageuse ne se posent vraiment pas beaucoup de question avant d'écrire leurs papiers...