Avis : Mange, prie, aime - Page 3

Un film pour épicuriens offrant de belles images de l'Italie, de Bali ou encore de l'Inde qui se retrouve plombé par une longueur suffocante rendant interminable cette histoire pleurnicharde bas de gamme.

Ce film qui nous engage à tout plaquer pour partir au bout du monde est quelquefois dégoulinant de bons sentiments. Tu manges, tu pries puis lorsque tout cela t'aura rendu le sens de la vie et des bonnes choses, tu te seras suffisamment retrouvé pour aimer à nouveau. C'est assez basique. Mais ça fonctionne de temps en temps, et puis le spectacle nous entraine aux 4 coins du (beau) monde en compagnie de Julia Roberts. Il ne faut pas non plus faire son difficile, et on fini par passer du bon temps, finalement!

Mange Prie Aime... 3 chapitres du film, 3 pays qui donnent envie, des vues et des paysages sublimes, on regarde un très beau reportage de "Voyage" accompagné de sons très apaisants ! Pour la beauté de ces scènes et pour le plaisir de nos yeux, le film est bon. Mais il est loooong... et leeent... Certes on profite bien du paysage, mais l'histoire est molle, l'introduction est survolée, du coup le scénario est trop léger et avance trop lentement... On est à deux doigts de décrocher... Mais comme on risque de manquer des paysages, on s'efforce de suivre ! Mitigé.

Le sujet est apprécié parce qu'il part sur une base de guérison de l'amour et une fois toute les plaies refermées, on retombe les deux pieds dans un autre sceau d'amour. Il manque de la cohérence dans le propos de Mange Prie Aime et à l'image de cette confusion le film s'entremêle les pinceaux.

J'avoue qu'objectivement, je ne comprend pas du tout les critiques... Les acteurs sont super bons, le sujet est beau et léger, la bande son n'est pas mal et certaines situations sont très droles. Ce film donne envie de s'envoler vers une nouvelles vie dans des endroits qui nous paraissent exotiques et de profiter de la vie sans contraintes ni stress.

Le film est plat, long, sans réel intérêt et peut paraitre interminable. C'est juste la vie banale d'une femme banale.

bien aimé

manque de rythme, de crédibilité, et un peu neuneu
grosse deception

très joli film qui nous donne envie à réfléchir sur nous même

Juste 2 mots pour définir ce genre de film..."GROSSE MERDE". Ne gâcher pas votre argent...

Malheureusement, Julia Roberts ne joue que dans des film sans interêts... C'est surement pour ça que je ne l'aime pas trop! Ce film est trop long pour son sénario. Et puis quand elle va a bali, on s'attendait a ce qu'elle tombe amoureuse d'un bel asiatique, mais non. Il y a une certaine psycologie dans ce film mais on a dus mal a la trouver. Je n'ai plus voulus voir la fin car je me suis endormis... Bref, un film pour ceux qui aime les films sans grand déroulement.

Il faut voir Mange, Prie, Aime au moins deux fois. La première fois pour en saisir le premier degré, se laisser guider par le personnage de la délicieuse Julia Roberts, qui se relève à sa manière d'un divorce difficile. La deuxième fois, bien des années plus tard, après s'être initié à la méditation, aux chakras, à la circulation de l'énergie, au pouvoir du moment présent, aux lois de l'univers dans lequel le hasard n'existe pas, à la pensée positive, ou encore au yoga, pour en saisir le sens subtil et comprendre la richesse des savoirs mobilisés dans cette histoire. J'ai adoré les deux fois ce qui me donne une furieuse envie de lire le livre d'Elizabeth Gilbert dont est tiré le film. A voir !

Avis aux amateurs de films à l'eau de rose, d'histoires d'amour, de séparations, de conquêtes, de découvertes, de voyages, bref, de quête de spiritualité, ce film est fait pour vous ! Ryan Murphy réalise ici l'adaptation du best-seller "Eat, Pray, Love : One Woman's Search for Everything Across Italy, India and Indonesia", le récit autobiographique de Elizabeth Gilbert et en retranscrit une version insoutenable de 140 minutes, dans lequel une femme qui a tout pour elle (un mari, une superbe maison et un job enviable) plaque tout du jour au lendemain afin d'entreprendre un voyage initiatique qui la conduira d'Italie en Inde et enfin Bali. Sa pleure, sa chouine, sa rie, sa se goinfre de bons petits plats, le tout, submergé (le mot est faible) de clichés sur l'Italie et les italiens. Notre patience est mise à rude épreuve, Julia Roberts quant à elle est égale à elle-même (pleure, rire, pleure, rire, etc) et quant à Javier Bardem, 120 minutes après le début du film, il arrive enfin, mais ne nous sauve pas de l'ennui, dommage.

Leçon de vie pour les nuls par des nuls cela aurait du être le véritable titre du film. Il n'y a rien à sauver pour le retour de Julia Roberts à part ce dire que cette leçon de vie est affligeante de naïveté et de simplisme. A se demander ce que sont venu faire les nombreux guests ???

Une bourge quitte son mari, son confort et tout le reste pour partir voyager au pays des clichés folkloriques.
Madame Bovary part en vacances. La crise existentielle de ce personnage détestable est incompréhensible. Oh, pauvre petite fille riche mal dan sa peau... Et c'est parti pour des voyages en Europe, et en Inde qui respirent les stéréotypes (les Italiens tapent sur les fesses des dames dans la rue; les Indiens sont édentés mais ont un cœur gros comme ça...).
Un enfer sentimental où le spiritualisme de pacotille trouve un écho dans le jeu paresseux de son interprète principale. Et Javier Bardem, on n'en parle même pas. Le salaire devait être sympa, et puis se payer des vacances à Bali tant qu'à faire...
Un bon gros navet.