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Votre avis sur Les Aventuriers de l'Arche perdue ?
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Que retenir : les prises de vue et les décors, les images parfaites en ultra haute définition- bref, l'apparence... Tout le reste est d'une imbécillité à toute épreuve. Testostérone, clichés, fascination pour le mythe "forces spéciales américaines" et les gros flingues...Indiana est cependant dépourvu de grosse grinta puisqu'il a peur des serpents. Sa maitrise suspecte du fouet laisse à penser. #laisseGamberger
Indiana Jones était prédestiné à devenir un produit commercial. En 1981, les Aventuriers de l'Arche perdue répondait déjà aux attentes du grand public : héros badass, aventure rocambolesque, nazis neutralisés, exotisme narratif et savoir-faire pyrotechnique. Tous les ingrédients du gigantisme, où le cinéma se dévie de l'art pour se rapprocher du divertissement.
Puisque Spielberg conçoit, le plus souvent, son art comme un parc d'attraction immersif, jugeons le divertissement qu'il propose. Ses scènes d'action réunissent cascades et humour. Le bruit du fouet brise le silence des tombeaux antiques. La musique épique nous entraîne dans une série de séquences amusantes.
Mais là où la comparaison entre le cinéma de divertissement et le parc d'attraction prend tout son sens, c'est dans l'ennui qui précède l'attente du moment sensationnel. Comme on poireaute dans la file d'attente, on compte les secondes des scènes d'explication bidons, où le Pr. Jones montre l'étendue de ses connaissances, se fait draguer, subit les conséquences de ses amours passées, parlemente, voyage, bravache.
Étant donné que Spielberg ne peut pas composer un film uniquement de scènes d'action sans éprouver les spectateurs – quoique Miller, des années après, ait tenté l'expérience avec Fury Road, sans grand succès –, il a besoin d'intégrer des respirations, de faire semblant de construire une trame narrative, d'écrire ses personnages.
Voilà pourquoi, dans ce cadre-là, le film soustrait sa richesse narrative au profit d'un succès commercial. D'une certaine manière, le pari est tenu : Indiana Jones s'impose dans l'imaginaire collectif du cinéma d'aventure. Comme tout film dont les suites forment une franchise, la saga Indiana Jones s'étale sur cinq films et ressasse la même formule à l'envi, à destination d'un public familial désireux d'en avoir pour son argent dans les salles obscures.
Puisque Spielberg conçoit, le plus souvent, son art comme un parc d'attraction immersif, jugeons le divertissement qu'il propose. Ses scènes d'action réunissent cascades et humour. Le bruit du fouet brise le silence des tombeaux antiques. La musique épique nous entraîne dans une série de séquences amusantes.
Mais là où la comparaison entre le cinéma de divertissement et le parc d'attraction prend tout son sens, c'est dans l'ennui qui précède l'attente du moment sensationnel. Comme on poireaute dans la file d'attente, on compte les secondes des scènes d'explication bidons, où le Pr. Jones montre l'étendue de ses connaissances, se fait draguer, subit les conséquences de ses amours passées, parlemente, voyage, bravache.
Étant donné que Spielberg ne peut pas composer un film uniquement de scènes d'action sans éprouver les spectateurs – quoique Miller, des années après, ait tenté l'expérience avec Fury Road, sans grand succès –, il a besoin d'intégrer des respirations, de faire semblant de construire une trame narrative, d'écrire ses personnages.
Voilà pourquoi, dans ce cadre-là, le film soustrait sa richesse narrative au profit d'un succès commercial. D'une certaine manière, le pari est tenu : Indiana Jones s'impose dans l'imaginaire collectif du cinéma d'aventure. Comme tout film dont les suites forment une franchise, la saga Indiana Jones s'étale sur cinq films et ressasse la même formule à l'envi, à destination d'un public familial désireux d'en avoir pour son argent dans les salles obscures.
Aventurier contre tous aventuriers, Indiana Jones fait partie de ces personnages fictifs très bien iconisé dans ce premier opus. L’aventure se fait sentir dès la scène d’introduction, mais aussi dans le déroulé de l’histoire mélangeant l’aventure avec le fantastique religieux : une religion bien choisie pour montrer l’opposition entre l’Arche d’Alliance (religion juive) et le culte des N*zis.
Indiana Jones est un personnage célèbre, dont il fallait Harrison Ford pour porter le chapeau. Contre lui se présente Belloch, un personnage à l’opposition aussi d’Indy. Cela dit, il peut compter sur Marion, qui a tout d’une femme en détresse mais qui évolue et n’hésite pas à se défendre et qui fait preuve d’une certaine logique. N’oublions pas Sallah, un des meilleurs personnages secondaires de la saga, dont le talent et le charisme de John Rhys-Davies le caractérisent.
Comme dit plutôt, le personnage est très bien iconisé grâce à la mise en scène de Spielberg qui joue beaucoup avec les ombres, dont la forme des personnages se dessinent avec brio. Pour l’époque, les effets spéciaux sont vraiment saisissants ; je pense même que ce sont ceux qui ont le mieux vieilli dans la saga. Les scènes de combat sont fluides et tiennent en haleine jusqu’au bout ; mais certaines bastons vieillissent mal (comme celles dans les rues du Caire) et ressemblent à des bastons de la vieille époque.
Tout est présenté dans "Les Aventuriers de l’Arche perdue" : le héros archéologue, les genres aventures-comédies-fantastiques très bien jonglés et des endroits dépaysants qui donnent envie de voyager. Si on ajoute à ça le talent d’un grand réalisateur et la meilleure performance d’un grand acteur, on obtient un film qui a parfaitement introduit mon personnage fictif préféré.
Indiana Jones est un personnage célèbre, dont il fallait Harrison Ford pour porter le chapeau. Contre lui se présente Belloch, un personnage à l’opposition aussi d’Indy. Cela dit, il peut compter sur Marion, qui a tout d’une femme en détresse mais qui évolue et n’hésite pas à se défendre et qui fait preuve d’une certaine logique. N’oublions pas Sallah, un des meilleurs personnages secondaires de la saga, dont le talent et le charisme de John Rhys-Davies le caractérisent.
Comme dit plutôt, le personnage est très bien iconisé grâce à la mise en scène de Spielberg qui joue beaucoup avec les ombres, dont la forme des personnages se dessinent avec brio. Pour l’époque, les effets spéciaux sont vraiment saisissants ; je pense même que ce sont ceux qui ont le mieux vieilli dans la saga. Les scènes de combat sont fluides et tiennent en haleine jusqu’au bout ; mais certaines bastons vieillissent mal (comme celles dans les rues du Caire) et ressemblent à des bastons de la vieille époque.
Tout est présenté dans "Les Aventuriers de l’Arche perdue" : le héros archéologue, les genres aventures-comédies-fantastiques très bien jonglés et des endroits dépaysants qui donnent envie de voyager. Si on ajoute à ça le talent d’un grand réalisateur et la meilleure performance d’un grand acteur, on obtient un film qui a parfaitement introduit mon personnage fictif préféré.
Spielberg est un fan de L'homme de Rio et en voyant ce film on pense davantage à De Broca qu'au cinéma d'aventure et au western. Il ne se passe pas grand chose, dans les De Broca non plus, mais De Broca est désopilant, il aime l'absurde, le contresens, l'autodérision, le grotesque et le bricolage. Spielberg ne bricole pas, il prend ce qu'il filme très au sérieux, il ne prend aucun risque et au final ne nous surprend jamais. Son humour est très conventionnel, ses scènes d'action, de poursuite sont interminables, bien conçues mais longues longues longues. On sent que tout est storyboardé au millimètre et c'est bien ce formatage qui nous empêche de nous réjouir. Si le professionnalisme était un remède contre l'ennui, on le saurait depuis longtemps. Alors que retient-on de ce film quand il s'achève ? La scène où Indinana Jones tue d'un coup de révolver un arabe qui veut en découdre à l'arme blanche. C'est la seule idée originale du film et on se demande comment le si conventionnel Spielberg ne l'a pas coupée au montage. Quand aux personnages, ils sont sans âme, leur sort nous indiffère, et on sait de toute façon que les héros vont toujours se tirer des pièges dans lesquels ils sont tombés. Et John Williams, indéfectible alter-égo de Spielberg. Ah la la cette musique toute bien faite sans la moindre rupture de ton est en parfait accord avec l'ensemble, prévisible comme une autoroute bien goudronnée. C'est bien produit, bien usiné, tout est bien fini, pas un boulon ni une vis qui dépasse, c'est prompt à satisfaire le spectateur qui aime ressortir d'un restaurant l'estomac bien garni. Spielberg est sans conteste un des meilleurs restaurateurs du septième art.
Le début d’une grande licence. Le côté donjuan est un peut agacent mais l’univers est riche et spectaculaire. L’originalité d’indi dans sa quête, ses armes le rende incontournable. Super film
Bon film d’action qui change avec un scénario sympa et une bonne histoire.
Pour être tout à fait honnête, j'ai été un peu déçu en découvrant ce film. Dans mon esprit, Indiana Jones était un personnage vraiment mythique. Toutefois, ce film ne m'a pas totalement emballé ni convaincu. Déjà, on sent qu'il date d'une autre époque : il a vieilli et ça se voit... De plus, j'ai trouvé le scénario un peu facile, avec ce héros qui réussit tout ce qu'il entreprend. On dirait presque un super-héros... Il arrive à se tirer de toutes les situations. Ça manque un peu de noirceur. Bon, bien sûr, la musique de John Williams est iconique. Et globalement, la réalisation de Spielberg est bonne, comme à son habitude. C'est un bon film d'aventures, mais un peu trop lisse pour moi.
"Les Aventuriers de l'Arche perdue" est le premier volet de la mythique saga Indiana Jones. Personnellement, je n'ai pas grandi avec cette licence, mais je sais qu'elle a bercé l'enfance de beaucoup de personnes. Ce n'est certes pas un argument à prendre en compte dans mon jugement, mais il est quand même à noter. Je reconnais la portée de ce personnage et de ses films, même si je n'y porte pas un attachement aussi fort que certains. Globalement, je trouve que ce premier volet est un film sympathique, réalisé avec beaucoup de maîtrise dans tous les domaines, et c'est déjà très bien. Je n'ai pas spécialement été attaché à Indiana Jones, ou même aux autres personnages, car je n'aime pas forcément ce type de héros. Et je n'ai pas trouvé que le scénario était particulièrement bien écrit, son déroulé étant assez convenu et n'ayant rien d'exceptionnel. Mais même si ces éléments sont très basiques pour moi, ils sont suffisamment efficaces pour offrir de la matière au film. Steven Spielberg est un réalisateur de génie, et il a encore su le prouver avec ce premier volet. Que ce soit pendant les séquences d'action, celles-ci étant vraiment prenantes et bien rythmées. Ou que ce soit pendant un bon nombre des séquences d'expositions, à travers les décors et les environnements. Le film appelle au voyage et je trouve qu'il réussit très bien à le faire, le cinéaste nous gratifiant parfaitement de beaucoup de plans "carte postale". Et par ailleurs, même si j'ai du mal avec son personnage, je trouve qu'Harrison Ford était parfait pour interpréter ce rôle. Il semble assez naturel et il correspond totalement à l'image que l'on s'en fait. Globalement, le long-métrage est donc une réussite. C'est un film d'aventures très bien rythmé et efficace, qui garde un aspect nostalgique qui n'est pas désagréable. Dans le ton, dans certains détails de scénario ou même dans le jeu des acteurs, on retrouve une identité propre aux années 80. C'est donc un petit plaisir que m'aura procuré le visionnage de ce film culte. Pour conclure, une belle introduction à cet univers.
"Les Aventuriers de l'arche perdue" (Raiders of the Lost Ark), dirigé par Steven Spielberg et produit par George Lucas, est une véritable pierre angulaire du cinéma d'aventure. Sorti en 1981, ce film a non seulement redéfini le genre mais a également créé un modèle inégalé pour les futurs films d'action. C'est un chef-d'œuvre qui mérite d'être revisité, analysé et célébré pour ses mérites indéniables, loin des considérations modernistes et superficielles qui polluent parfois les discussions cinématographiques actuelles.
L'histoire, ancrée en 1936, suit l'archéologue intrépide Indiana Jones (Harrison Ford) dans une quête effrénée pour retrouver l'Arche d'alliance avant les nazis. Ce film
maîtrise l'art de combiner l'action palpitante avec une intrigue historique riche et immersive. Dès les premières scènes, le spectateur est plongé dans une atmosphère de suspense et d'aventure, de la jungle péruvienne aux déserts égyptiens, chaque lieu étant méticuleusement conçu pour captiver et émerveiller.
Réalisation et Scénario
Steven Spielberg, avec son talent incomparable, réussit à créer une tension et une excitation constantes tout au long du film. Chaque scène est soigneusement chorégraphiée, avec des séquences d'action qui restent inégalées même aujourd'hui. Le scénario, coécrit par Lawrence Kasdan, George Lucas et Philip Kaufman, est une parfaite fusion de mythologie et de faits historiques, intégrant des éléments d'occultisme et de mystère qui enrichissent le récit sans jamais le rendre absurde.
Interprétations Mémorables
Harrison Ford incarne Indiana Jones avec une telle aisance qu'il est difficile d'imaginer quelqu'un d'autre dans ce rôle emblématique. Son charisme naturel, sa présence physique et son humour subtilement dosé rendent le personnage à la fois crédible et attachant. Karen Allen, dans le rôle de Marion Ravenwood, apporte une fraîcheur et une détermination qui complètent parfaitement l'énergie de Ford. Les antagonistes, notamment René Belloq (Paul Freeman) et Arnold Toht (Ronald Lacey), offrent des performances qui ajoutent une profondeur supplémentaire au film.
Musique et Effets Spéciaux
La musique de John Williams est tout simplement légendaire. Le thème principal est devenu instantanément reconnaissable et continue de résonner dans l'imaginaire collectif. Les effets spéciaux, supervisés par Richard Edlund, sont impressionnants pour l'époque et contribuent à créer une expérience visuelle immersive. La scène finale, où l'Arche révèle son véritable pouvoir, est à la fois terrifiante et fascinante, un témoignage de l'expertise technique et artistique de l'équipe du film.
Une Épopée Intemporelle
Ce qui distingue "Les Aventuriers de l'arche perdue" des autres films du genre, c'est sa capacité à raconter une histoire épique sans jamais sacrifier la cohérence narrative ou le développement des personnages. Chaque élément, du dialogue à la mise en scène, est conçu pour servir l'histoire de manière efficace et élégante. Le film parvient à être divertissant tout en abordant des thèmes universels tels que le courage, la découverte et le triomphe de l'esprit humain face à l'adversité.
Conclusion
"Les Aventuriers de l'arche perdue" est une œuvre magistrale qui mérite amplement son statut de classique du cinéma. C'est un film qui, plus de quatre décennies après sa sortie, continue d'inspirer et de captiver les audiences du monde entier. Spielberg et Lucas ont créé une aventure intemporelle, une véritable odyssée cinématographique qui résiste à l'épreuve du temps. Que vous soyez un amateur de films d'action, un passionné d'histoire ou simplement à la recherche d'un divertissement de qualité, ce film est une expérience incontournable. Une épopée brillante et inoubliable, loin des considérations futiles et modernistes, "Les Aventuriers de l'arche perdue" est une véritable célébration de ce que le cinéma peut offrir de meilleur.
L'histoire, ancrée en 1936, suit l'archéologue intrépide Indiana Jones (Harrison Ford) dans une quête effrénée pour retrouver l'Arche d'alliance avant les nazis. Ce film
maîtrise l'art de combiner l'action palpitante avec une intrigue historique riche et immersive. Dès les premières scènes, le spectateur est plongé dans une atmosphère de suspense et d'aventure, de la jungle péruvienne aux déserts égyptiens, chaque lieu étant méticuleusement conçu pour captiver et émerveiller.
Réalisation et Scénario
Steven Spielberg, avec son talent incomparable, réussit à créer une tension et une excitation constantes tout au long du film. Chaque scène est soigneusement chorégraphiée, avec des séquences d'action qui restent inégalées même aujourd'hui. Le scénario, coécrit par Lawrence Kasdan, George Lucas et Philip Kaufman, est une parfaite fusion de mythologie et de faits historiques, intégrant des éléments d'occultisme et de mystère qui enrichissent le récit sans jamais le rendre absurde.
Interprétations Mémorables
Harrison Ford incarne Indiana Jones avec une telle aisance qu'il est difficile d'imaginer quelqu'un d'autre dans ce rôle emblématique. Son charisme naturel, sa présence physique et son humour subtilement dosé rendent le personnage à la fois crédible et attachant. Karen Allen, dans le rôle de Marion Ravenwood, apporte une fraîcheur et une détermination qui complètent parfaitement l'énergie de Ford. Les antagonistes, notamment René Belloq (Paul Freeman) et Arnold Toht (Ronald Lacey), offrent des performances qui ajoutent une profondeur supplémentaire au film.
Musique et Effets Spéciaux
La musique de John Williams est tout simplement légendaire. Le thème principal est devenu instantanément reconnaissable et continue de résonner dans l'imaginaire collectif. Les effets spéciaux, supervisés par Richard Edlund, sont impressionnants pour l'époque et contribuent à créer une expérience visuelle immersive. La scène finale, où l'Arche révèle son véritable pouvoir, est à la fois terrifiante et fascinante, un témoignage de l'expertise technique et artistique de l'équipe du film.
Une Épopée Intemporelle
Ce qui distingue "Les Aventuriers de l'arche perdue" des autres films du genre, c'est sa capacité à raconter une histoire épique sans jamais sacrifier la cohérence narrative ou le développement des personnages. Chaque élément, du dialogue à la mise en scène, est conçu pour servir l'histoire de manière efficace et élégante. Le film parvient à être divertissant tout en abordant des thèmes universels tels que le courage, la découverte et le triomphe de l'esprit humain face à l'adversité.
Conclusion
"Les Aventuriers de l'arche perdue" est une œuvre magistrale qui mérite amplement son statut de classique du cinéma. C'est un film qui, plus de quatre décennies après sa sortie, continue d'inspirer et de captiver les audiences du monde entier. Spielberg et Lucas ont créé une aventure intemporelle, une véritable odyssée cinématographique qui résiste à l'épreuve du temps. Que vous soyez un amateur de films d'action, un passionné d'histoire ou simplement à la recherche d'un divertissement de qualité, ce film est une expérience incontournable. Une épopée brillante et inoubliable, loin des considérations futiles et modernistes, "Les Aventuriers de l'arche perdue" est une véritable célébration de ce que le cinéma peut offrir de meilleur.
le meilleur film de la saga, tout et bien , bonne réalisation ,de bons acteurs ,un super senario et surtout ces pas un gentil flims français.
Avec « Les aventuriers de l’arche perdue », je fais mon retour vers le futur car j’ai connu l’âge d’or du cinéma d’action et d’aventure dans les années 80. Je ne parlerai pas chef-d’œuvre à propos de ce film, mais d’un excellent film d’aventure qui renouvelle le genre. « L’homme de Rio » la comédie aventureuse de Philippe de Broca, sorti en 1964, avait ouvert la voie et George Lucas et Stephen Spielberg amplifie le mouvement avec un personnage aux multiples sources d’inspiration. Perso, j’y vois du Tintin et du Blake et Mortimer. « Les aventuriers de l’arche perdue » est un film jubilatoire qui mixe, avec un plaisir gourmand, aventure, humour, émotion, sur un rythme trépidant. Le film est bourré de scènes culte : la scène d’ouverture, le combat sabre vs pistolet, Indiana Jones confronté aux serpents, la course poursuite à cheval et le final avec l’arche. Ajoutez le thème musical de John Williams et vous obtenez un film indémodable un peu comme une BD de Tintin. « Les aventuriers de l'arche perdue » est une œuvre qui incarne parfaitement l'esprit créatif des grands films d'aventure des années 80. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Film formidable : qui démarre une trilogie fabuleuse (plus 2 ensuite)
Aventure, humour, action, charisme des acteurs avec Harrisson Ford en tête
À voir et revoir pour faire découvrir à ses enfants et perpétuer le mythe.
Aventure, humour, action, charisme des acteurs avec Harrisson Ford en tête
À voir et revoir pour faire découvrir à ses enfants et perpétuer le mythe.
Spielberg prouve que proposer un divertissement grand public qui ravira les petits comme les grands, qui mélange brillamment action, aventure, humour, dépaysement... n'est pas chose impossible.
Un film d'action qualitatif, une vraie intrigue intéressante avec plein de rebondissements qui enrichissent le déroulement. Des bons personnages sans plus. Les acteurs sont très bons et malgré les effets un peu vieillot ont reste bien accrochés pendant les deux heures.
Les aventures d’Indiana Jones débutent en 1981 avec ce film réalisé par Steven Spielberg. Le secret de cet énorme succès commercial est pourtant simple : mélanger action et humour autour d’un héros charismatique (Harrison Ford) tout en soupoudrant d’un zeste d’exotisme. A la veille de la Seconde Guerre mondiale, la quête des Tables des Dix Commandements, également convoitées par les nazis, donne lieu à un enchainement de courses poursuites et de bagarres toutes plus ingénieuses les unes que les autres. Ce rythme effréné s’accompagne de la musique de John Williams (le célèbre compositeur d'Hollywood ayant sévi auparavant sur « Star wars » ou « Les dents de la mer »). Bref, le début triomphal d’une saga incontournable.
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