Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Les univers des deux réalisateurs s'entremêlent en un mélange homogène de burlesque, de tendresse et de nostalgie sur fond d'avènement du rock‘n‘roll. Cette fable aux teintes chaleureuses et aux mélodies entraînantes joue sa douce musique loin du bruit et de la fureur de la production actuelle.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Sitôt sorti du moule, L'Illusionniste s'impose déjà comme une oeuvre majeure de 2010, qui, non contente de rendre hommage à l'une des heures de gloire du 7ème art dans ce qu'il pouvait avoir de plus sensitif au point de jongler avec nos émotions, brille par une performance technique qui mettra tout le monde d'accord.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
L'équilibre entre tendresse et burlesque rappelle Jacques Tati, et c'est normal car L'Illusionniste est tiré d'un scénario inédit de celui-ci. Sa fille, Sophie Tatischeff, a confié à Sylvain Chomet ces pages qu'elle trouvait proches de l'univers des incroyables Triplettes deBelleville. Cinq ans de travail et des milliers de crayons usés plus tard, Chomet signe le film d'animation le plus sensible de l'été.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Sylvain Chomet cisèle un pur joyau d'animation en portant à l'écran un script inédit signé Jacques Tati. Toute la fantaisie, l'humanité, l'humour, la poésie, la délicatesse et l'intelligence du créateur de Monsieur Hulot illuminent chaque plan composé par ce véritable orfèvre du dessin.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Le film est un hommage réussi au grand génie burlesque - Tatischeff de son vrai nom - car non appuyé, juste esquissé, comme la mine sur le papier. Pour tout dire, le dernier Tati se mesure avantageusement aux précédents.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Plus qu'un hommage, L'Illusionniste est une oeuvre drôlement mélancolique. Elle ravit par sa forme épurée et sa richesse de coeur, comme cette jeune héroïne candide qui bouleverse la vie de cet artiste en perdition et l'esprit du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le fantôme du grand Jacques, dont la silhouette dégingandée sert de modèle au personnage de L'Illusionniste, plane sur cette oeuvre aussi incongrue que raffinée, qui distille une mélancolie prenante.
C'est beau et drôle, doux et tragique, palpitant comme la vie et parfois vrillant de tristesse. Après Les Triplettes de Belleville, Sylvain Chomet déploie à nouveau toute la singularité de son talent.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Baigné dans une mélancolie certaine, le film a surtout le mérite de ressusciter la grande et belle silhouette de Jacques Tati. Elle traverse son film avec une élégance quasi poétique et cette légère raideur comique, qui l'a rendue inoubliable.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
C'est en admirateur inspiré que Chomet a animé L'Illusionniste, l'a enrichi de quelques personnages et clins d'oeil, imaginant fort opportunément que son héros n'était pas un nouvel avatar de Monsieur Hulot mais bien Tati lui-même, Jacques Tatischeff.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Avec son refus du gag " efficace ", le film s'adresse davantage aux adultes qu'aux enfants et se révèle un enchantement visuel doublé d'une histoire d'amour filial aussi délicate que mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
L'illusionniste est nettement supérieur aux Triplettes. Le trait est plus épuré, élégant, fluide (...). Il réussit à véhiculer le mélange unique de poésie, d'humour, de burlesque et de mélancolie qui était propre à l'univers de Tati. (...) Dommage que Chomet semble n'avoir retenu que la facette nostalgique de l'auteur.
(...) des pincées d'humour qui scintillent comme des pépites, des grands sentiments distillés avec pudeur, une élégance pleine de modestie, le tout magnifié par un graphisme superbe. Chomet, comme Tati, est un artisan qui avance par touches subtiles, sans se presser.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
L'illusionniste présente aussi l'envers du décor de son héros monsieur Hulot, en particulier la gravité de sa solitude et des doutes de l'artiste face à un public qui change de génération et de goût. Le film le démontre avec beaucoup de subtilité et d'humour.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Cet Illusionniste est aussi tendre et contemplatif que les Triplettes étaient bouffonnes et inquiétantes. (...) Ce monde d'hier flotte entre réalisme et poésie. (...) Sylvain Chomet croit encore à l'ancienne magie, celle des lapins dans les chapeaux et des pinceaux sur les feuilles.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Si on regrette un scénario sommaire, on demeure envoûté par l'économie de dialogues, l'atmosphère teintée de nostalgie et le graphisme qui évoque clairement les classiques de Disney des années 1960 et 1970.
(...) L'illusionniste réussit à la fois du pur Tati et du Chomet garanti: le sens du détail et du cadre de l'un, des seconds rôles borderline et des récits initiatiques de l'autre (...) sauf que la minceur et la désuétude de l'intrigue (rien d'inattendu) finissent par devenir une source de frustration, presque d'ennui.
La critique complète est disponible sur le site Première
Chomet est inattaquable sur sa démarche (refus du spectaculaire, goût de l'animation à l'ancienne...), mais c'est son univers, son inspiration, ses personnages, l'idéal qu'ensemble ils véhiculent qui nous demeurent à cette heure parfaitement hermétiques.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
Les univers des deux réalisateurs s'entremêlent en un mélange homogène de burlesque, de tendresse et de nostalgie sur fond d'avènement du rock‘n‘roll. Cette fable aux teintes chaleureuses et aux mélodies entraînantes joue sa douce musique loin du bruit et de la fureur de la production actuelle.
Filmsactu
Sitôt sorti du moule, L'Illusionniste s'impose déjà comme une oeuvre majeure de 2010, qui, non contente de rendre hommage à l'une des heures de gloire du 7ème art dans ce qu'il pouvait avoir de plus sensitif au point de jongler avec nos émotions, brille par une performance technique qui mettra tout le monde d'accord.
L'Ecran Fantastique
(...) Un film touchant, intelligent et fin, comme l'animation nous en offre rarement.
Marianne
De tout cela émane une grâce constante, une délicatesse sensible, une drôlerie discrète.
Metro
L'équilibre entre tendresse et burlesque rappelle Jacques Tati, et c'est normal car L'Illusionniste est tiré d'un scénario inédit de celui-ci. Sa fille, Sophie Tatischeff, a confié à Sylvain Chomet ces pages qu'elle trouvait proches de l'univers des incroyables Triplettes deBelleville. Cinq ans de travail et des milliers de crayons usés plus tard, Chomet signe le film d'animation le plus sensible de l'été.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Télé 7 Jours
Sylvain Chomet cisèle un pur joyau d'animation en portant à l'écran un script inédit signé Jacques Tati. Toute la fantaisie, l'humanité, l'humour, la poésie, la délicatesse et l'intelligence du créateur de Monsieur Hulot illuminent chaque plan composé par ce véritable orfèvre du dessin.
Cahiers du Cinéma
Histoire d'un amour impossible, L'Illusionniste trace de belles lignes de fuite.
Critikat.com
Le film est un hommage réussi au grand génie burlesque - Tatischeff de son vrai nom - car non appuyé, juste esquissé, comme la mine sur le papier. Pour tout dire, le dernier Tati se mesure avantageusement aux précédents.
Excessif
Plus qu'un hommage, L'Illusionniste est une oeuvre drôlement mélancolique. Elle ravit par sa forme épurée et sa richesse de coeur, comme cette jeune héroïne candide qui bouleverse la vie de cet artiste en perdition et l'esprit du spectateur.
L'Humanité
Le fantôme du grand Jacques, dont la silhouette dégingandée sert de modèle au personnage de L'Illusionniste, plane sur cette oeuvre aussi incongrue que raffinée, qui distille une mélancolie prenante.
La Croix
C'est beau et drôle, doux et tragique, palpitant comme la vie et parfois vrillant de tristesse. Après Les Triplettes de Belleville, Sylvain Chomet déploie à nouveau toute la singularité de son talent.
Le Figaroscope
Baigné dans une mélancolie certaine, le film a surtout le mérite de ressusciter la grande et belle silhouette de Jacques Tati. Elle traverse son film avec une élégance quasi poétique et cette légère raideur comique, qui l'a rendue inoubliable.
Le Monde
C'est en admirateur inspiré que Chomet a animé L'Illusionniste, l'a enrichi de quelques personnages et clins d'oeil, imaginant fort opportunément que son héros n'était pas un nouvel avatar de Monsieur Hulot mais bien Tati lui-même, Jacques Tatischeff.
Le Parisien
Avec son refus du gag " efficace ", le film s'adresse davantage aux adultes qu'aux enfants et se révèle un enchantement visuel doublé d'une histoire d'amour filial aussi délicate que mélancolique.
Le Point
voir Le Point.fr
Les Inrockuptibles
L'illusionniste est nettement supérieur aux Triplettes. Le trait est plus épuré, élégant, fluide (...). Il réussit à véhiculer le mélange unique de poésie, d'humour, de burlesque et de mélancolie qui était propre à l'univers de Tati. (...) Dommage que Chomet semble n'avoir retenu que la facette nostalgique de l'auteur.
Ouest France
L'univers de Tati comme si vous y étiez.
Paris Match
(...) des pincées d'humour qui scintillent comme des pépites, des grands sentiments distillés avec pudeur, une élégance pleine de modestie, le tout magnifié par un graphisme superbe. Chomet, comme Tati, est un artisan qui avance par touches subtiles, sans se presser.
Positif
L'illusionniste présente aussi l'envers du décor de son héros monsieur Hulot, en particulier la gravité de sa solitude et des doutes de l'artiste face à un public qui change de génération et de goût. Le film le démontre avec beaucoup de subtilité et d'humour.
Télérama
Cet Illusionniste est aussi tendre et contemplatif que les Triplettes étaient bouffonnes et inquiétantes. (...) Ce monde d'hier flotte entre réalisme et poésie. (...) Sylvain Chomet croit encore à l'ancienne magie, celle des lapins dans les chapeaux et des pinceaux sur les feuilles.
L'Express
voir le site www.lexpress.fr
Le Journal du Dimanche
Si on regrette un scénario sommaire, on demeure envoûté par l'économie de dialogues, l'atmosphère teintée de nostalgie et le graphisme qui évoque clairement les classiques de Disney des années 1960 et 1970.
Première
(...) L'illusionniste réussit à la fois du pur Tati et du Chomet garanti: le sens du détail et du cadre de l'un, des seconds rôles borderline et des récits initiatiques de l'autre (...) sauf que la minceur et la désuétude de l'intrigue (rien d'inattendu) finissent par devenir une source de frustration, presque d'ennui.
Libération
Chomet est inattaquable sur sa démarche (refus du spectaculaire, goût de l'animation à l'ancienne...), mais c'est son univers, son inspiration, ses personnages, l'idéal qu'ensemble ils véhiculent qui nous demeurent à cette heure parfaitement hermétiques.