Derniers Avis sur A l'intérieur

"A l'intérieur", le film d'horreur psychologique réalisé par Julien Maury et Alexandre Bustillo, et scénarisé par Bustillo, se distingue par son intensité et son approche brute de la peur. Avec un casting mené par Béatrice Dalle, Alysson Paradis, et Nathalie Roussel, cette œuvre plonge le spectateur dans une nuit de terreur pure, explorant les profondeurs de la solitude, du désespoir, et de l'instinct maternel sous sa forme la plus extrême.

La tragédie initiale qui frappe Sarah, interprétée avec une vulnérabilité palpable par Alysson Paradis, met en place un décor sombre pour le récit. La perte de son mari dans un accident de voiture laisse Sarah seule, enceinte, et vulnérable, établissant une tension psychologique dès les premières scènes. La décision de passer son réveillon de Noël isolée dans sa maison, couplée à l'anticipation de l'accouchement le lendemain, crée une atmosphère d'attente lourde de conséquences.

Le film bascule dans l'horreur pure lorsque la sonnette retentit, introduisant le personnage de Béatrice Dalle, une femme mystérieuse et menaçante dont les intentions deviennent rapidement claires et terrifiantes. Ce qui suit est une lutte désespérée pour la survie, où la maison, autrefois un sanctuaire de vie et d'espoir, se transforme en un théâtre de violence et de peur.

La réalisation de Maury et Bustillo brille par sa capacité à maintenir une tension insoutenable, utilisant à la fois les silences oppressants et les sursauts d'action brutale pour tenir le spectateur en haleine. L'utilisation de l'espace clos de la maison amplifie le sentiment d'isolement et d'urgence, rendant la confrontation entre Sarah et son assaillante d'autant plus intime et terrifiante.

Béatrice Dalle livre une performance glaçante, incarnant une menace implacable avec une présence à l'écran qui est à la fois captivante et horrifiante. Alysson Paradis, quant à elle, représente le désespoir et la résilience d'une mère prête à tout pour protéger son enfant à naître, offrant une prestation remarquable qui sert de pilier émotionnel au film.

"A l'intérieur" se distingue comme un film d'horreur qui ne recule devant aucune limite pour explorer les thèmes de la maternité, de la perte, et de la survie. Son approche sans concession de l'horreur, combinée à des performances puissantes et à une réalisation maîtrisée, en fait une œuvre marquante

Je l'aurais interdit aux moins de 18 ans, ce film....

1) Béatrice Dalle est une puta1n d'actrice, trop peu utilisée par la grande famille du cinéma et QUE ÇA FAIT DU BIEN de la voir habillée correctement et pas maquillée comme une voiture volée.D'ailleurs, elle est ENCORE PLUS BELLE tout de noir vêtue, habit de deuil...

Regardez l'film pour savoir qui elle a perdu...😁

2) Alysson est meilleure que sa grande soeur niveau cinéma et elle ose.👍 Elle a TOUT donné ! Chapeau bas.

3) c'est la fête du gore et des ciseaux mais trop de gore tue le gore...
Bon après, ça m'a pas fait lever 1 cil parce que dès que le perso de Alysson décide de passer le Réveillon de Noël seule, j'ai su que ça puerait un peu pour elle...

Je ne le recommande qu'aux amateurs/trices de gore à tous les étages.

2étoiles pr les 2 actrices principales...

Pour leur premier film, Alexandre Bustillo et Julien Maury ont eu au moins le mérite d’inaugurer un sous-genre, le slasher en mode home invasion ultra-gore.

Bien sûr, il y a eu des précédents et des suites, nettement plus convaincants, surtout si l’on pense à quelques thrillers produits outre-atlantique. Mais en terme d’ultra-violence via des effets spéciaux de maquillage plus ou moins réaliste, finalement peu de films ont cherché à en mettre autant plein la vue. J’en vois pourtant deux consécutifs (2008 et 2009) : Martyrs de Pascal Laugier, beaucoup plus inconfortable, et surtout Macabre de Kimo Stamboel et Timo Tjahjanto, véritable chef d’œuvre du genre (en l’occurence ici, le slasher/horreur).
Le problème de Bustillo et Maury, c’est le scénario, l’écriture (personnages et dialogues) et la mise en scène. Il n’y a pas la moindre intensité narrative ou tension dramatique dans l’enchainement des situations, pourtant assez graves... Bref, un comble pour un thriller. Sans parler des grotesques inserts numériques de foetus.
Pour autant, dans un registre essentiellement physique et figuratif, Béatrice Dalle et Alysson Paradis ne s’en sortent pas si mal.

Mal joué ( à part Dalle même si là elle ne donne pas faim…) mauvais son, sensation de film amateur.
1/5 pour l’affiche.

Un huit-clos anxiogène et extrêmement gore, insoutenable par moment, terni par quelques lourdeurs et imperfections.
Femmes enceintes s'abstenir ! Vraiment.

Bustillo et Maury ont sorti un véritable OFNI à l'époque ! En termes de tension, de violence et de déroulé scénaristique, le duo avait mis une énorme claque au cinéma de genre made in France de l'époque !! Bref tout ça pour dire que c'est un excellent film, Béatrice Dalle et Alyson Paradis y sont incroyables, la tension y est crescendo et atteint un sommet rarement vu pour une réalisation tricolore. Bref, un excellent film, mais à ne pas conseiller à tout le monde, notamment aux dames enceintes !

Vous n'aimez pas le sanglant ? Demi-tour. Julien Maury et Alexandre Bustillo doivent avoir eu un prix de lot sur le litron de faux-sang, tant A l'intérieur y va gaîment sur le body horror. Voici donc l'histoire d'une jeune maman qui a un accident de voiture et se voit, à l'approche de l'accouchement, mystérieusement harcelée par une inconnue qui fait du lèche-vitrine autour de sa maison... La confrontation de Béatrice Dalle (effrayante) et Alysson Paradis (attristante) tourne au carnage, faisant des dommages collatéraux copieux en hectolitres de sang, et on ignore jusqu'au bout l'issue de la chasse humaine. On s'est d'ailleurs laissé avoir par la fin, on avait naïvement opté pour une fin spoiler: positive dans laquelle la voleuse de bébé se faisait remettre à sa place par la maman, mais on aura été surpris par ce scénario audacieux qui préfère une fin pessimiste et amorale, faisant gagner le Mal à la dernière seconde.
En sympathiques second rôles, vous pourrez apercevoir Tahar Rahim et Ludovic Berthillot, et un pauvre petit chat noir qui nous aura fait traiter le personnage de Beatrice Dalle de tous les pires jurons possibles (pas touche à Minouche !). Le film est assez court et intense, on ne s'ennuie jamais, et le principal défaut restera quand même la grande prévisibilité des motivations de la voleuse (on a directement deviné qu'elle avait perdu son enfant dans l'accident de voiture qu'on a vu au début du film, et voulait se venger en piquant celui de la conductrice en face...). Une bonne idée scénaristique, mais assez facile à comprendre. Autrement, A l'intérieur s'éclate ouvertement avec la boucherie et le faux-sang (ils ont eu un prix chez Métro ?), et on ne peut pas dire qu'on n'a pas eu quelques petits rictus écœurés et amusés de ce lâcher-prise.

Un film de genre assez bien foutu à l'ambiance très malsaine. On aimerait en voir d'autres dans notre cher paysage cinématographique.

J'ai rarement vu un film français si gore. Film oppressant à son paroxysme. Musique génial. Scénario superbe. Un des meilleurs films d'horreur de tous les temps.Âme sensible s'abstenir....

Ce moment ou Béatrice dalle s'allume une cigarette et ce rapproche du corp à terre en pensant qu'elle a déjà gagné et ce fait brûler le visage et hurle de souffrance..

Plus gore qu’un abattoir.
Un film hyper sanglant pour pas grand-chose. Le scénario est écrit sur un confetti, des litres et des litres d’hémoglobine déversés, un jeu d’acteur très amateur (à part éventuellement Béatrice Dalle et Alysson Paradis), bourré d’invraisemblances comme par exemple au début du film on voit qu’un accident de voiture a eu lieu, c’est un plan séquence : deux voitures noires se sont percutées sur les angles avant, on constate que l’une d’entre elle est cabossée sur le côté droit qui logiquement n’aurait dû subir aucun dommage, de plus au vu des dégâts minimes, et comme les occupants avaient leur ceinture de sécurité, je ne vois pas là un accident mortel. Ensuite un autre plan vu d’en haut, maintenant il y a une voiture de couleur claire et l’autre noire, entre autres la collision est différente. Autre chose : il est bien indiqué que nous sommes en période de Noël, que c’est le temps du réveillon, pourtant les arbres ont toutes leurs feuilles bien vertes comme au printemps et en été, point de neige ni de froid apparent. Les protagonistes en tout genre se font trucider à coup de ciseaux dans les couilles, dans la tête, un peu partout avec artères sectionnées, le sang gicle comme un tuyau d’arrosage, mais non, y en a quand même un qui revient à lui tranquillos, un flic avec des yeux crevés évolue en mode zombie, Béatrice Dalle se fait cramer la gueule au troisième degré, mais elle va bien.
Bon, et en dernier lieu, je ne vois pas ici ce besoin de vengeance d’une femme sur une autre femme sous prétexte qu’elle a perdu un bébé dans un accident, d’autant plus qu’elle a dû refuser une priorité à droite à en croire la scène d’accident.

Bon, d’accord c’est un premier film, mais je trouve que la méticulosité de mise en scène a été exercée surtout sur le visuel plus qu’autre chose, il n’y a aucun suspens, aucune tension, aucune psychologie, c’est juste de l’abattage et de la boucherie en bonne et due forme.

J'aime le gore mais avec des limites, sur ce film c'est interminable ils y a plus de gore que de dialogues c'est incroyable.. il n'y a pas plus horreur que celui-ci... Pas mauvais pour autant mais j'ai du mal à gardé les yeux ouverts tellement que c'est trash ... il faut aimer...

Vive les films d'horreur français. Y'a pas de censure au pays du prozac alors on peut faire gicler du ketchup partout, hihi qu'est-ce qu'on rigole !
Sauf que pour faire un bon film d'horreur, afin que l'effet fasse mouche on se contente de trois plans ketchup. Le reste du temps on raconte une histoire qui installe une ambiance avec les dialogues et le jeu d'acteur.
Là l'histoire tient en une phrase: c'est l'histoire d'une meuf qui est folle alors elle tue tout le monde. C'est nul, le bide en salles est garanti, mais on s'en fiche on est payés par le CNC avec vos impôts.

Je ne peux que m'en vouloir d'avoir regardé ce film ridicule jusqu'au bout. L'intrigue est tellement invraisemblable qu'elle en devient humoristique. Une femme enceinte qui est sur le point d'accoucher d'une minute à l'autre est autorisée (et choisit) de rester seule à la maison la veille de Noël dans une région éloignée. Sa meilleure amie sa mère et son médecin s'exécutent. Une femme psychopathe réussit à apparaître comme par magie dans la maison terrorise la femme enceinte avec des ciseaux, des seaux de sang et de gore suivent. Une voiture de police passe plus tard pour voir l'héroïne enceinte les deux flics se rendent compte qu'il se passe quelque chose et se font tuer par la psychopathe avant même d'appeler des renforts. Le pire de ce film mis à part l'intrigue stupide et irréaliste sont les personnages superficiels et le gore insensé est sans aucun doute Béatrice Dalle. Pourquoi diable a-t-elle choisi d'accepter un rôle aussi ridicule cela me dépasse. Peut-être est ce parce qu'elle n'a pas eu beaucoup de travail depuis le classique culte 37° 2 le matin de 1985...

Film frustrant de par sa poésie et tension aux vingt premières minutes et aux vingt dernières minutes, mais tout ce qu'il y a entre les deux est juste infâme, je me suis presque endormi. Beaucoup trop de gore inutilement alors que les réalisateurs y auraient gagné à faire d'À L'Intérieur un film davantage psychologique spoiler: ce qui aurait peut-être permis à notre héroïne de sortir de sa salle de bains plus vite...


Ce film enchaîne les scènes intéressantes spoiler: exemple : au début quand Sarah regarde des photos de son mari et s'imagine danser avec lui
et gratuitement gores et nulles spoiler: exemple : quand Sarah cauchemarde que son bébé sort de par sa trachée, cette hallucination n'a aucun sens scénaristiquement puisqu'elle n'a même pas encore rencontré la femme et donc il n'y a aucune raison de nous montrer une scène aussi horrible, et presque drôle compte tenu du contexte ridicule


Pourtant je dois avouer que certains passages de gore sont intéressants spoiler: J'ai apprécié celui où la femme passe son couteau sur le ventre de Sarah ou quand elle lui plante les ciseaux dans la main
, mais ça se limite plus ou moins à ça.

Grosses incohérences tout au long du film spoiler: les flics qui ne font au final pas de patrouille, le flic qui vient dans la maison avec un gamin en intervention, la scène du chaterton...
et surtout trop de personnages secondaires chair à canon, des actrices convaincantes au début et à la fin mais certainement pas au milieu, on se retrouve avec un jeu d'acteur bien français qui est complètement nul spoiler: leur "échange" à travers la porte de la salle de bains est à mourir de rire, Sarah qui tue sa mère dans une scène à s'uriner dessus tant c'en est drôle et sans saveur, et le pire le mec à la fin qui frappe Sarah au ventre pour absolument aucune raison


Malgré ça un twist pas forcément si surprenant mais au moins il y a un mobile derrière tout ça, ce qui est rare dans les home invasion. Une réalisation intéressante par moments spoiler: au début dans le parc, à la fin avec la femme qui tient le bébé dans ses bras
mais tous ces éléments positifs sont trop rares pour attribuer à "Inside" la moyenne. C'est dommage !