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    L'Antre de la folie
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    3,6
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    265 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 juin 2008
    Nulissime.
    Passer votre chemin il n'y a rien a voir. Mon sentiment du film : ....zzzzZZZZZZZZzzzzzzzZZZZzzzz.........
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 février 2009
    Dans le trio de mes Carpenter préférés (aux côtés d’HALLOWEEN et de THE THING), certainement le plus drôle de tous et le plus dément côté mise en scène, là où les deux autres font davantage preuve d’un incroyable sens de l’épure et de composition du plan dans de sublimes scopes, celui-ci joue la surenchère dans les effets au fur et à mesure que son héro plonge dans la démence à la recherche de Sutter Cane. Chaque seconde est un bonheur visuel et d’écriture, Sam Neil est absolument génial autant face à Charlton Heston que coursé par des monstres aux tentacules en plastiques. Indispensable et dans le style, bien plus drôle que LOST HIGHWAY (Ceci, en plus d’être gratuit n’est destiné qu’à réveiller des forces qui me manquent beaucoup en ce moment, hein Dick ?)
    SEBASTIEN AUGER POUR JM VIDEO
    !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 octobre 2009
    Un film exceptionnel, probablement le meilleur de Carpenter !
    carbone144
    carbone144

    70 abonnés 748 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 août 2019
    Mauvaise caricature des films d'horreurs. Une base scénaristique sans subtilité pour justifier une suite de péripéties cumulant tous les genres de l'horreur/épouvante. A partir de l'idée qu'un objet livre dans lequel on a pu écrire n'importe quoi devient réel, toutes les facilités sont permises. Et il n'y a pas pour but de faire rêver un enfant comme dans Alice au pays des merveilles. C'est simplement ridicule. John Carpenter a été capable de beaucoup mieux, de beaucoup plus de subtilité dans l'émotion de ses films. The Thing ou New York 1997 vieillissent bien mieux en ce sens.
    pierrre s.
    pierrre s.

    363 abonnés 3 243 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 mai 2018
    D'avantage dérangeant et paranoïaque que vraiment horrifique le film de Carpenter s'avère être sympathique sans être inoubliable.
    Sergio-Leone
    Sergio-Leone

    163 abonnés 1 096 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 juin 2010
    Euh oui mais non, c'est pas trop mal dans l'esprit car on reconnait le travail de Carpenter mais ça part vraiment en vrille et ressemble malheureusement plus à un épisode de chair de poule qu'à un bon fantastique. Très déçu sur l'histoire, sur la lourdeur des effets de montage et par le manque de surprise.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 juin 2015
    L’Antre de la folie et la seule et unique critique où je ne parlerai d’absolument rien, ni de l’histoire, ni des acteurs ; rien. Pourquoi me direz-vous ? Car L’Antre de la folie tout simplement. C’est un des rares films qui doit être vu sans rien connaître afin de profiter de l’expérience unique que Carpenter vous a réservée.

    Vous ne me croyez toujours pas ? Donnez une chance à ce film qui n’a l’air de rien comme ça, allez-y avec vos a priori et votre scepticisme ; et revenez illuminé par le génie de Carpenter. Après, si ça n’a pas marché, et bien c’est qu’il vous manque un peu d’imagination, ou que vous avez dormi pendant la séance.
    Bon film.
    Lotorski
    Lotorski

    12 abonnés 588 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 mars 2014
    Un film d'horreur raté. Carpenter en fait trop, ça ne fait pas vraiment peur, et je me suis ennuyé. Pour un scénario qui aie un peu de sens, là aussi il faut aller voir ailleurs. Seul bon point : la musique présente au début et à la fin du film, elle se laisse entendre.
    Roub E.
    Roub E.

    756 abonnés 4 840 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 novembre 2023
    Pour moi le dernier grand film de Carpenter. J ai aimé cette incursion dans le fantastique avec cette histoire d œuvres culturelles influençant tellement ceux qui les reçoivent qu elles prennent une forme de réalité. L ambiance très étrange fait merveille, les effets spéciaux et maquillages sont d une grande qualité. Et qui de mieux que Sam Neil pour interpréter un personnage qui perd pied et sombre dans la folie? C était un des derniers film de Carpenter qu il me restait à découvrir et quel plaisir.
    Yetcha
    Yetcha

    758 abonnés 4 292 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 novembre 2017
    Pff pff pfff... Bien barré le film quand même. Explorant la psyché d'un auteur à succès, la mise en image de la démence psychologique, du moi, du sur-moi et des syndromes psychiatriques divers sont comme empilés sans lien et rende le visionnage difficile à suivre par moment. J'aime Carpenter, mais ici je ne suis jamais rentré dans le trip.
    dougray
    dougray

    213 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 juin 2016
    Troisième et dernier volet de la "Trilogie de l’Apocalypse" de John Carpenter (après le fantastique "The Thing" et le décevant "Prince des Ténèbres"), "L’Antre de la folie" est un film gentiment atypique qui, sans être un chef d’œuvre, rappelle que la réalisateur fait partie des grands noms de cette époque. Il propose, ici, un univers vraiment intéressant (on pense à Stephen King et à Lovecraft, les deux références assumées de Carpenter ici) et, comme toujours, un pitch des plus alléchants spoiler: (un enquêteur est engagé pour retrouver un auteurs à succès, disparu mystérieusement, et découvre que le monde apocalyptique décrit dans ses livres est bien réel)
    . "L’Antre de la folie" est, dès lors, très référencé et parlera forcément aux amateurs de ce genre de littérature, qui n’ont pas tant de films que ça à se mettre sous la dent. Il n’y a guère que "Shinning" qui peut venir à l’esprit (toute proportion gardé, bien évidemment) avec sa folie ambiante, son écrivain possédé et ses phénomènes inexpliquées. Le concept du livre dans le film est, également, très plaisant... surtout de la façon dont il est exploité, c'est-à-dire en refusant de forcément tout expliquer. Car, comme son titre l’indique, "L’Antre de la folie" est un film sur la folie… et sur ce point, il propose une approche vraiment intéressante du sujet, pas forcément rationnelle, pas toujours parfaitement structurée mais qui créé incontestablement une perte de repère payante. Le maître aime, d’ailleurs, à nous titiller dès la déroutante scène d’introduction, qui voit le héros John Trent (excellent Sam Neill qui éclabousse le film de sa présence) se faire interner dans un asile sans qu’on sache vraiment pourquoi, le tout sur fond de menace extérieure latente et d’apparition spectrale. Beaucoup de questions se posent alors sur ce que va raconter le film… qui opère, alors, un flash-back nous ramenant aux origines de l’histoire. Le procédé a beau être connu, il est utilisé ici avec une certaine pertinence puisqu’il permet de ramener le récit dans une certaine réalité, ce qui tranche avec l’introduction et qui permet d’apprécier, à sa juste valeur, l’évolution… et, par la même, le parcours du héros, qui va devoir remettre en cause ses certitudes pour accepter ce qu’il voit et ne comprend pas. Quelle grande idée, d’ailleurs, d’avoir fait de du héros un enquêteur en assurance censé débusquer les escrocs ! Le personnage n’est, dès lors, pas seulement, septique (ce qui est le minimum pour un héros dans ce genre de production) mais, également, cynique et sûr de lui (ce qui est déjà plus original). Son obstination à chercher une explication rationnelle à ce qu’il voit apporte une véritable plus-value au film... et crédibilise son propos. Il aurait été difficile d’adhérer à une histoire où le héros accepte, sans problème, que spoiler: tout ce qu’il vit résulte de l’imagination d’un écrivain qui peut plier les événements à sa volonté
    . Il valait, d’ailleurs, mieux que le personnage soit réussi, puisqu’il est de presque tous les plans, au point d’étouffer un peu les seconds rôles. Heureusement, Carpenter aime le jeu d’acteur, ce qu’il prouve encore en confiant des rôles, pourtant peu écrits, à de vraies gueules de cinéma comme Jürgen Prochnow, Donald Glover, David Warner, Wilhelm Von Himburg, Frances Bay ou encore Charlton Heston. Seule Julie Carmen ne m’a pas totalement convaincue en partenaire imposée dont la prestation ne marquera pas les esprits. Autre petit bémol, la BO de Carpenter, qui est normalement un des ses très gros points forts, est, ici, moins marquée… et ce alors que le sujet était vraiment propice aux envolées habituelles du maître. Il est vrai que "L’Antre de la folie" est sorti en 1995 et que Carpenter est, avant tout, un réalisateur typique des années 80, avec tout ce que cela suppose sur le plan formel et musical. Le film est, d’ailleurs, vraisemblablement le dernier opus vraiment réussi du réalisateur et il porte déjà les marques de la fin de son règne en rognant sur ses points forts, plus forcément au goût du jour. "L’antre de la folie" n’est, donc, pas le film qui caractérise le mieux le talent de Carpenter mais il reste un bonne petite surprise, gentiment déroutante qui mérite le coup d’œil, aujourd’hui encore.
    Charlotte28
    Charlotte28

    95 abonnés 1 759 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 décembre 2023
    Une plongée dans un univers entre Lovecraft et Stephen King regorgeant de créatures répugnantes, de peurs primaires et de visions cauchemardesques qui referment leurs griffes sur un (faux?) quidam interprété par un halluciné Sam Neill. Jouant de la mise en abyme ce thriller fantastique questionne avec malice notre rapport à l'imaginaire, la force de la création littéraire et les attentes du lectorat. Instillant une tension nerveuse grandissante le film présente aussi un monde en perdition, voué à l'extinction par sa propre violence qui s'épanouit dans une épidémie anti-culturelle. Un voyage (symbolique) horrifique entre visions, songes et réalité.
    FeetLover
    FeetLover

    25 abonnés 289 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 septembre 2013
    Une valeur sur, l'histoire est vraiment bien fout, et l'ambiance flippante à souhait !
    Ti Nou
    Ti Nou

    419 abonnés 3 383 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 janvier 2015
    John Carpenter conclut sa trilogie de l'apocalypse avec ce passionnant récit lovecraftien qui bouscule très efficacement la perception du réel et de l'imaginaire. Le scénario, nous faisant suivre le basculement d'un personnage rationnel vers la folie, s'avère très bien construit.
    Cinememories
    Cinememories

    444 abonnés 1 434 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 novembre 2020
    Lorsque Stephen King et Howard Phillips Lovecraft se croisent dans l’esprit de John Carpenter, c’est simplement de la folie. Ce que le metteur en scène nous offre, c’est surtout de l’horreur sur toutes ses déclinaisons. Le spectateur est client de l’effroi, le voilà servi dans une inspiration à la fois soudaine et démesurée. Le fossé entre la croyance et la réalité, que traite l’œuvre, se dote d’une portée parfois plus sinistre que précédemment. On pénètre dans les boyaux de l’indescriptible, un sujet justement lovecraftien, qui explore la verticalité des atrocités de l’humanité à travers diverses créatures. Ceux-ci sont palpables physiquement, mais sont surtout perceptibles moralement. Les détails viennent appuyer le sentiment d’insécurité pour celles et ceux qui s’abandonnent à l’imaginaire. Et de cette façon, le spectateur est catalysé dans une réflexion abstraite, régie par ses propres frissons et ses propres croyances.

    Le malin, ce n’est donc pas nous, ni même le détective John Trent (Sam Neill), que l’on peut admirer pour son réalisme, mais dont les principes seront sévèrement remis en question. Si l’entrée en matière nous laisse inévitablement croire au pire, à savoir l’apocalypse. Il semble qu’il puisse rester un soupçon d’espoir dans l’arrogance de ce personnage bienveillant, mais loin d’être tout-puissant. Face au succès mondial du dernier ouvrage de Sutter Cane (Jürgen Prochnow) et de sa discrétion, la croisade le mène à changer de point de vue et de redouter le surnaturel qui l’interpelle. Le résultat est tranchant et la mise en abime soulève bien des interprétations. Et il faudra évidemment en avoir connaissance afin de bien saisir leur portée et leur conséquence. Cela démarre avec des visions chaotiques, sondant l’esprit du détective et des spectateurs qui ne peuvent lier ces fragments que par la curiosité. Il ne s’agit donc plus de renverser la tendance, qui prend peu à peu forme dans une fatalité qui n’omet pas de faille, si ce n’est notre crédulité mal placée.

    Il est donc nécessaire d’épouser ce regard craintif et cette atmosphère de l’étrange qui envahit l’écran. La gestion du cadre nous étouffe contre la détresse que l’on partage avec les protagonistes, qu’il s’agisse de Linda Styles (Julie Carmen), revendiquant les bienfaits de la surconsommation de l’épouvante ou du docteur Wrenn (David Warner), impuissant face à la réalité qu’on lui décrit et qu’il finit par accepter. En remontant vers les origines du mal, son omniprésence ne fait plus aucun doute et le fil assume simplement son statut d’existence, comme un objet soumis à des forces qui le dépassent. Ironiquement, mais symboliquement, nous pouvons un voir le reflet de l’industrie cinématographique qui ignore ce qu’il propage dans son business, en contaminant ses clients, en les habituant à une recette dont chacun cherchera à acquérir la vérité. Ce prestige a également un coût, qui n’est maîtrisé, à l’exception de celui qui tient son univers au bout de sa plume.

    Il est rare de constater une transposition d’une grande justesse et aussi nette du manuscrit à l’écran. Ce que Lovecraft ou King savent sublimer à l’écrit, nous finissons par en lire les lignes et à en découvrir les vertus cinématographiques. Un film peut en cacher un autre, tout comme la réalité derrière les croyances. La prise de conscience éveille le caractère du monde et le rapproche un peu plus de « l'Antre de la Folie » (In the Mouth of Madness). En nageant constamment dans un entre-deux, il y a matière à féconder le fantasmagorique et à cueillir les contours du mal absolu. Mais que faire pour cela ? Les personnages abandonnent ainsi leur humanité ou bien s’abandonne à la folie, le prix à payer afin de tutoyer l’horreur qui se dresse devant eux et qui ne renonce pas. N’oublions pas que nous avons tous notre place dans ce récit et cet ultime volet apocalyptique.
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