Note moyenne
3,8
40 titres de presse
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20 Minutes
Le réalisateur d'"Inception" jongle avec les codes de la science-fiction et les émotions pour ce conte philosophique qui évoque Kubrick autant que les fables métaphysiques de Tarkovski.
Closer
Le nouveau chef-d'oeuvre de Christopher Nolan.
Gala
(...) on ne s’ennuie pas un seul instant et on ressort avec l’impression de s’être pris une énorme gifle en découvrant ce qui s’apparente à un chef-d’œuvre.
Le Parisien
Visuellement, "Interstellar" est aussi spectaculaire et inventif que les précédents dilms de Nolan. (...) C'est avant tout la course contre la montre de Cooper (...) qui nous tient en haleine pendant 2h50.
Libération
Après Sandra Bullock égarée dans la stratosphère, c’est au tour de Matthew McConaughey d’explorer le silence intergalactique dans le nouveau film de Christopher Nolan. Deux épopées spatiales majeures (...).
Marianne
Spectaculaire et sentimental, parfois sidérant et luxueusement sidéral (...).
Paris Match
Christopher Nolan (...) explore l’espace et le temps avec "Interstellar", fascinante odyssée de «hard» science-fiction, genre que peu de films ont aussi bien illustrés au cinéma.
Positif
Plus que les visions de l'au-delà, c'est la taille du spectacle qui se retrouve promue, toutes les parties visant au monumental. (...) Impossible pour nous de ne pas adhérer à la fois à l'ambition du projet et à son sérieux.
TF1 News
Tout ce qu'on pouvait espérer de Interstellar se confirme. Christopher Nolan s'inspire de ceux qui l'ont fait rêver (Ford, Kubrick, Tarkovski) pour construire avec l'esprit d'un bâtisseur de cathédrale une odyssée métaphysique et intemporelle, unique dans la production actuelle.
Voici
Christopher Nolan inscrit son nouvel opus au panthéon des grands films métaphysiques, à la croisée de l'homme et de son destin.
CNews
Porté par un casting époustouflant (...) le film est un peu bavard mais le grand spectacle a tôt fait de le rattraper au vol et de lui en mettre plein la vue.
Chronic'art.com
C’est la petite leçon d’humilité qui libère ce film tiraillé de bout en bout par une quête impossible de grandeur et de métaphysique : en dépit d’allers-retours aux confins de l’univers et d’un monde au bord de l’agonie, la vie y demeure une simple tragédie du temps qui passe, scandée par les promesses non tenues et les rendez-vous manqués.
CinemaTeaser
De brillantes idées de mise en scène côtoient de remarquables prestations d’acteur.
Critikat.com
Si "Interstellar", derrière ses oripeaux d’odyssée de l’espace, ne se révèle pas si exaltant que prévu, c’est parce qu’il s’intéresse sans mollesse à ce que cette odyssée coûte à ses acteurs.
Femme Actuelle
Super surprise : sous l'influence de son frère Jonathan, co-scénariste, Christopher Nolan s'humanise.
L'Express
Voir la critique sur le site de L'Express
L'Humanité
Certes, "Interstellar" ne manque ni de splendeurs ni d’émotions. Il reste, faute de combattants, le plus bel essai de science-fiction de l’année.
La Croix
Malheuresement alourdi par la métaphysique new age qu'affectionnent les récents films hollywoodiens du même genre, le film est une émouvante réflexion sur la transmission et l'amour filial, qui savent transcender l'espace et le temps.
Le Dauphiné Libéré
Une nouvelle “Odyssée de l’espace”, avec la maîtrise formelle d’un réalisateur constamment inventif.
Le Journal du Dimanche
Une odyssée philosophique dont on ne ressort pas indemne.
Les Inrockuptibles
Christopher Nolan a toujours eu la volonté d’offrir le plus grand spectacle possible, de clouer le spectateur sur son siège, de ne lui offrir aucun répit.
Mad Movies
Nolan vise le ciel et atteint le coeur. Pour la première fois de sa carrière.
Metro
Christopher Nolan, le magicien qui ose.
Première
"Interstellar" a beau se présenter comme un trip cosmique ample et vertigineux, il ne s’apprécie en réalité que comme un étonnant mélo chuchoté.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Télé 2 semaines
Plein de suspense, émaillé de coups de théâtre et de rebondissements, ce spectacle offre des scènes d’action grandioses. Pendant près de trois heures, qui filent à la vitesse de la lumière, Nolan accomplit de nouvelles prouesses techniques.
Télé 7 Jours
Visuellement, le spectacle est somptueux. (...) C'est pourquoi (...) on enrage d'être largués en route par le scénario, à moins d'être diplômé en physique quantique.
Télérama
POUR : Christopher Nolan ose être lyrique et nous offre une expérience de cinéma nouvelle : pour raconter un voyage dans l'inconnu, il ne puise pas dans un vieux stock de sensations fortes.
aVoir-aLire.com
Sûrement conscient de sa magnificence et brûlé par ses propres vanités, "Interstellar" est un objet cinématographique grandiose.
Franceinfo Culture
Un beau film, un peu long, certes, mais d’une grande esthétique visuelle dans la continuité de la création de Christopher Nolan.
La Voix du Nord
Un mélo écolo de bonne facture aux thèmes archirebattus.
Les Fiches du Cinéma
Christopher Nolan se confronte au fantôme de Stanley Kubrick, et montre ses limites : il signe un bon petit film de SF, juste un peu trop long et exagérément grimé en œuvre majeure.
Sud Ouest
Après "Memento", "Inception", "Batman", Christopher Nolan déploie une oeuvre de deux heures cinquante sur l’instinct de survie et la relativité du temps, dont il explore jusqu’au vertige les perceptions humaines.
Cahiers du Cinéma
Ce cinéma immature d’un point de vue affectif ne peut pas prétendre nous émouvoir. Néanmoins reconnaissons que quelques idées un peu malades restent en mémoire (…). Mais il manque à Nolan une vision.
Charlie Hebdo
Après une première partie honorable, (...) la dernière demi-heure décroche la palme du fourre-tout, puisqu'il s'agit de combler toutes les lacunes ouvertes, de boucler toutes les issues.
Ecran Large
Une version solennelle du "Cinquième Élément".
GQ
(...) l’épopée SF de Christopher Nolan est baroque, lyrique, interminable et bavarde.
L'Obs
Face à "Interstellar", on se sent un peu comme la passager d'un vol en difficulté : pressé de retrouver les champs de maïs, ceux du Texas ou d'ailleurs, peu importe.
Le Monde
(...) une héroïsation du personnage principal qui confine au ridicule, des personnages secondaires sacrifiés, des dialogues trop souvent pris dans la gélatine scientifique, une partition musicale assomante (...).
Télérama
CONTRE : Tout est nul dans "Interstellar" qui rejoint, au musée de la prétention, la bouillie philosophique de Matrix et l'insignifiance existentielle de Gravity...