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Simplement Loïc
9 abonnés
77 critiques
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3,5
Publiée le 22 octobre 2024
Loin d'être parfait Vivre et Laisser Mourir se regarde quand même avec plaisir. Le film est plutôt bien rythmé n'a pas trop de longueur et propose même un antagoniste assez redoutable bien écrit et qui propose une confrontation sympa. En revanche toute la poursuite en bateau est beaucoup trop longue, tu enlève 3min et elle est géniale ! Roger Moore succède parfaitement bien, à mes yeux, à Sean Connery. J'ai globalement passé un bon moment devant !
Film pas déplaisant. Au niveau des qualités, je mettrai en évidence la musique de Paul McCartney (nomination à l'Oscar de la meilleur musique originale), quelques beaux plans (notamment lors de la course-poursuite en bus) et de beaux costumes. J'ai apprécié aussi la scène de bateaux dans le bayou. Roger Moore est pas mal. Il a réalisé beaucoup de ses cascades. Les cascades sont d'ailleurs bien réussies. Film tourné à New York (Harlem), en Jamaïque (ile fictive de Sainte-Monique), en Louisiane (Nouvelle-Orléans et Bayous) et en studios. Cependant, le scénario est exécrable, avec tout le temps le même schéma qui se répète, de manière difficile à comprendre de plus. Le film n'apporte rien de nouveau à la franchise et on a une sensation de déjà vu par moments. Il n'y a pas grand chose à retenir du film au final. Clint Eastwood s'est vu offrir le rôle de Bond mais a refusé car il trouvait que ce devait être un acteur anglais. Le réel propriétaire de la ferme de crocodiles a proposé et réalisé la fuite en sautant sur les crocodiles, contre un cachet de 60 000$.
Le premier Bond avec Roger Moore, qui se laisse regarder sans être transcendant. On retiendra la superbe musique de Paul Mc Cartney présente au générique.
Premier opus de la saga James Bond avec Roger Moore, "Vivre et laisser mourir" conserve les ingrédients habituels des précédents films, tout en innovant sur certains aspects. On retrouve donc le lot habituel de scènes d'action, de Bond Girls, de lieu de tournages variés... Roger Moore est convaincant en remplaçant de Sean Connery, bien que le style soit différent: moins sérieux et plus malicieux. Cette touche d'humour sera plus ou moins présente dans tous les épisodes avec Moore. Le scénario souffre de quelques "bizarreries" ou facilités spoiler: (les cartes de tarot au dos siglé 007, une voiture de location survenue de nulle part...) et aurait mérité d'être plus abouti. Au final un "Bond" divertissant, jouant avec les codes habituels des précédents opus, offrant quelques très bons moments, d'autres assez moyens.
MON NOM EST... - BOND LES NOMS C'EST POUR LES PIERRES TOMBALES MON POTE - MISTER BIG
Premier Bond de Roger Moore , premier de David Hedison (spoiler: que l'on reverra dans Permis de Tuer en 1989) . Un Bond dans la lignée de la Blaxploitation en vogue dans les années 70 .
Bond doit résoudre le meurtre de trois agents , l'un à San-Monique , l'un à New-York et l'autre à la Nouvelle-Orléans il affrontera Mister Big un caid de la drogue et son bras droit TEE-HEE au cours de cette aventure .
DOIGTS DE FEE - 007 A TEE-HEE spoiler:
Côté Bond Girls Jane Seymour assure en cartomancienne , Gloria Hendry dans le rôle de Rosie Carver est un peu plus faiblarde toutefois . spoiler: [spoiler]Côté méchant Yaphet Kotto (qui aura un rôle dans Alien en 1979) dans le rôle du docteur Kananga est plutôt perfide et parfois violent tout en étant un méchant assez basique...son bras droit TEE-HEE est plus imposant avec un bras mécanique fatal . Sans oublié le Baron-Samedi - Geoffrey Holder énigmatique et fantastique [/s poiler].
Un humour très présent , via l'apparition du Shérif -Bourrin- JW PEPPER (spoiler: plus à son aise en Louisiane que lors du spoiler: voyage touristique du prochain film) . Dommage que l'on ne voit pas plus l'allié de Bond Quarrel Fils .
spoiler: Coté cascade une impressionnante poursuite en bateau dans les bayous de Louisiane permet au film de se démarqué , car jusque là les cascades étaient assez minimalistes course poursuite dans un aéroport...dans les rues de New-York puis entre un Bus et des voitures de police à San Monique . Explosion finale assez classique par contre la base de Kananga est très très minuscule .
Coté musique le légendaire LIVE AND LET DIE de Paul Mc Cartney emporte le morceau largement un son très 70's pour la bande originale .
Côté paysage , New-York , Nouvelle-Orléans , Caraibe donnent une tonalité américaine au film .
VOICI LE MOMENT QUE JE PREFERE - TEE-HEE
spoiler: Premier Bond de Roger Moore plutôt satisfaisant , dépaysement , méchant , un humour bien placé...certes il y a un certain manque d'envergure du film qui se ressent parfois , pas d'immense base ou de plan de déstabilisation mondiale c'est peut-être le défaut majeur , sinon un Bond qui fait le taf ni plus , ni trop , ni moins . Moore s'approprie le rôle avec aisance et punchline , une autre ère s'ouvre (qui durera jusqu'en 1985) .
Guy Hamilton repasse derrière la caméra pour cette huitième mission de James Bond, sortie en 1973, qui est en revanche la première de l'acteur britannique Roger Moore, néanmoins déjà très connu à la télévision. Et je dois dire que ce n'est pas franchement mon aventure préférée, elle fait même partie de celles que j'apprécie le moins ! Ce qui est d'autant plus dommage après un "Les Diamants sont éternels" très réussi qui avait réussi à redynamiser la saga ! On revient ici au contraire à un rythme assez lent, après de plus une scène pré-générique relativement bordélique. Mais l’histoire n'est en soi pas bien compliquée, James Bond est chargé d'enquêter sur la mort de trois agents du MI6 à travers le monde. 007 voyagera donc beaucoup dans cet épisode et notamment aux États-Unis (ce qui permettra par ailleurs aux anglais de singer les américains, notamment avec le shériff qui représente le typique sudiste beauf) et sur une île fictive située dans les Caraïbes. Et malgré tous ces changements de décors, le film ne parvient jamais vraiment à être palpitant. En effet, mis-à-part les très bonnes scènes avec la cartomancienne (idée que je trouve très originale, surtout dans un "James Bond"), toute la première partie du film se traine vachement en longueur. Les scènes d'action sont rares et le scénario n'est vraiment pas passionnant alors qu'il sort pourtant de l’énième schéma manichéen 007 contre SPECTRE. Nous pouvons néanmoins retenir une seconde partie un peu plus nerveuse, notamment grâce à la course en bateaux qui est particulièrement bonne. On a également la mise en place d'un humour particulièrement appuyé (notamment dans la partie en Louisiane) qui était déjà là dans le précédent opus (en un peu moins marqué cependant) et sera, dans mes souvenirs, un peu la marque de fabrique de l'ère Roger Moore. "Vivre et laisser mourir" n'est donc pas forcément désagréable à regarder mais est un peu mou par moments.
James Bond est appelé à la rescousse pour mettre fin à l'hécatombe meurtrière qui décime les agents secrets britanniques. Enquêtant à New York, dans le quartier de Harlem, il affronte un caïd de la drogue, le redoutable docteur Kananga et sa comparse, l'étrange Blanche Solitaire. J'ai toujours trouvé l’ambiance de cet opus assez glauque, ce qui détonne fortement avec les autres épisodes de cette ère. Hormis la chanson culte de Paul McCartney (sûrement l’une des plus mémorables de toute la saga), pas grand chose à retenir de celui-là. Dans le ventre mou de la franchise, il y’a pire assurément mais aussi beaucoup mieux. Roger Moore a le plus faible premier film des six interprètes de 007.
Un très bon début pour Roger Moore qui apporte à James Bond son sang-froid et son élégance typiquement britanniques.
Un style qui diffère de celui de Sean Connery ou de George Lazenby, mais qui se révèle tout aussi efficace et jouissif.
Après spoiler: l'assassinat de trois de ses collègues aux Nations Unies à New York, à la Nouvelle-Orléans et dans les Caraïbes, 007 s'en prend à une secte vaudou internationale qui cache un gigantesque trafic d'héroïne sur le point d'envahir l'espace public et de détruire la santé publique .
Un film bien mené avec de nombreux seconds rôles qui ajoutent du mystère, de la romance, du soutien ou de l'humour. Avec Jane Seymour dans le rôle de Solitaire, Yaphet Kotto dans le rôle de M. Big, Roy Stewart dans le rôle de Quarrel Jr. (vous vous souvenez de Quarrel dans Dr. No ?) et Clifton James qui est devenu bien connu pour avoir joué le rôle de personnage de soulagement comique du shérif J.W. Pepper dans "Live and Let Die" (1973) et "L'Homme au pistolet d'or" (1974).
Ce qu'on retient de cette aventure du célèbre James Bond (ici incarné pour la première fois par Roger Moore), c'est Live And Let Die, le titre original composé par Paul et Linda McCartney. Une pure merveille déclinée de multiples façons tout au long du film, utilisée comme générique de l'émission L'heure de vérité et reprise avec brio 18 ans plus tard par les Guns n'Roses, mais cela nous éloigne de notre propos. Cet opus parait gentillet par rapport aux précédents avec Sean Connery. Roger Moore est plus placide, peut-être encore trop Brett Sinclair. Ainsi le héros musarde dans un magasin vaudou à New York. Il joue à chat sur un hors bord entre les crocodiles et les alligators. Il emmène le spectateur dans d'étranges endroits mystiques en Louisiane sans oublier de faire l'amour à la belle Solitaire (Jane Seymour) qui tire les cartes de tarot de façon peu académique. Les experts noteront en particulier une petite erreur sur l'interprétation de carte de la tour. J'ai déploré l'absence d'une belle Aston Martin et de la présentation de gadgets par Q. Enfin côté dialogues, James fait le service minimum avec quelques traits d'humour très légers. À noter cependant cette réplique remarquable pour un Français : "T'oublies que t'es pas au Mans ici, t'es en Louisiane." À voir les oreilles bien ouvertes pour écouter les diverses versions de Live And Let Die.
Un James Bond faible , dont le comique tombe à plat , de même que les scènes d'action . Cette , très lointaine , adaptation du roman de Fleming , bien meilleur, laisse froid .
Une étoile pour la musique et une autre pour quelques idées avec le méchant principal du film.
Pour le reste le rythme est très mal géré, entre courses poursuites à rallonge, scènes de tourisme exotiques, et plans bancales de la clique de méchants.
Il y a vraiment beaucoup de mauvais points malheureusement à souligner dans le film. James enquête très mal, il fait des découvertes de la même manière invraisemblable tout du long (spoiler: on lui donne toutes les infos sur un plateau d'argent de la part des méchants en permanence ). Le scénario et la suite d'événements sont trop décousus. Baron samedi est beaucoup moins cool que dans mes souvenirs. Les bad guys ont ce triste presque comique de répétition d'être vraiment nuls. Ils sont tous nuls. Toute l'armée d'homme est de main est nul. Et a nouveau problème de rythme sur leurs rencontres avec James tout du long du film spoiler: ils attrapent peut-être 5 fois 007 et avec toujours un plan bidon se débarrasser de lui, bien entendu il s'évade. Mais est-ce qu'on était obligé de le faire se faire attraper autant de fois. James devient assez pitoyable aussi. Malgré le flegme et charme de Roger Moore. .
Toutes ses rencontres avec ce même ressort indique un peu au final un manque cruel de consistance dans le script.
Le seul personnage notoire est finalement Gros Bonnet. Il a certain charisme et de semble assez intelligent.
Un mauvais James Bond que ne parvient pas à sauver Roger Moore pour sa première apparition. Scénario inexistant et parodique, pour la première fois aucun méchant charismatique.
Une grande réussite avec ce James Bond des plus grandiose : des scènes de grand spectacle et inoubliables, tout l'esprit vaudou qui est dépeint, la bande originale de Paul McCartney, l'excellent méchant qu'est Kananga, Solitaire en James Bond Girl voyante, le redoutable homme de main Tee et l'interprétation parfaite de Roger Moore qui réussi avec brio son entrée. Un des meilleurs opus, à (re)découvrir absolument.
Terminé le chapeau et les cigarettes, place aux cigares et seventies dans cette nouvelle ère de la saga James Bond. Roger Moore est le nouvel agent 007 et le sera pendant 7 épisodes ! Moins viril que Connery et moins charismatique que Lazenby, Moore dégage néanmoins beaucoup de sympathie et est en harmonie avec son personnage. Certes "Vivre et laisser mourir" manque de punch et laisse des longueurs sur son passage quand il n'abuse pas des situations risibles, mais on retiendra au moins la chanson de Paul McCartney.
Trop de cascades "téléphonées" et mal filmées (on voit les cascadeurs avec leurs casques), des types spoiler: qui meurent dans le silence en un coup de canif , des prises de risques bien trop osées pour êtres crédibles. J'ai aimé ce film quand j'étais plus jeune, et tout ça me paraissait normal. Seul points positifs : de bons acteurs, Kotto, Seymour, Moore, bien que trop italian lover. Et bien sûr la musique de Paul Mc Cartney