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(...) Par contraste, victime d'une exposition aussi longuement détaillée que d'une rare virtuosité, le dernier tiers du film semble quelque peu emprunté. Lorsqu'il retrouve le fil de l'original (...) on a soudaine l'impression que le réalisateur a peur de salir les beaux tapis de la maison (...)
Le ton change avec l'inaperçu mais soufflant Halloween de saison. Micro-sortie (1 VO Paris), forte impression. Malcom "If" McDowell joue là un psy barbichu mis en échec par un psychopathe enfant, monstre servi par un fascinant Elvis Cobain nommé Daeg Faerch.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Très juste quand il s'agit d'établir le profil psychologique du tueur, à trop vouloir bien faire, il dérape dans la démonstration en empilant les cadavres. Une révélation cepandant, le jeune comédien principal, Daeg Faerch, à l'ambiguïté inquiétante.
(...) la mise en images des scènes d'action s'avère très confuse, voire illisible à certains moments, même si on distingue ça et là la patte du cinéaste (...) ce qui a à l'évidence passionné Rob Zombie, c'est la lente descente d'un enfant de 10 ans dans une nuit sans retour.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
La signature volontairement outrée de Zombie, toute de trognes et de crasse foraine, se déplie en étude clinique, entre froideur d'entomologiste (...) et électricité carnavalesque (...).
Le résultat est malgré tout décevant. La première partie du long-métrage est plutôt intéressante(...) Passés trois quarts d'heure, le film opère un virage à 180 degrés et accumule les poncifs du genre.
Brazil
Rob Zombie (...) a complètement dépoussiéré l'Halloween d'origine en le lustrant finement de perles de sang.
Chronic'art.com
La force de Rob Zombie tient à cette manière granuleuse et sonore de filmer le chaos, qui doit sans doute beaucoup à son expérience de musicien.
L'Ecran Fantastique
(...) Par contraste, victime d'une exposition aussi longuement détaillée que d'une rare virtuosité, le dernier tiers du film semble quelque peu emprunté. Lorsqu'il retrouve le fil de l'original (...) on a soudaine l'impression que le réalisateur a peur de salir les beaux tapis de la maison (...)
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
Le ton change avec l'inaperçu mais soufflant Halloween de saison. Micro-sortie (1 VO Paris), forte impression. Malcom "If" McDowell joue là un psy barbichu mis en échec par un psychopathe enfant, monstre servi par un fascinant Elvis Cobain nommé Daeg Faerch.
aVoir-aLire.com
La préquelle et remake du Halloween de Carpenter ne fait pas d'ombre à son modèle mais accroche brillamment grâce à la patte sauvage de Rob Zombie.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Journal du Dimanche
Très juste quand il s'agit d'établir le profil psychologique du tueur, à trop vouloir bien faire, il dérape dans la démonstration en empilant les cadavres. Une révélation cepandant, le jeune comédien principal, Daeg Faerch, à l'ambiguïté inquiétante.
Le Monde
Lorsque le film s'enlise dans la routine de l'horreur, on s'ennuie un peu.
Les Inrockuptibles
(...) film plutôt bien fichu dans sa sauvagerie, plus frontal (...) mais n'apportant pas grand chose.
Mad Movies
(...) la mise en images des scènes d'action s'avère très confuse, voire illisible à certains moments, même si on distingue ça et là la patte du cinéaste (...) ce qui a à l'évidence passionné Rob Zombie, c'est la lente descente d'un enfant de 10 ans dans une nuit sans retour.
Ouest France
Pas de quoi vraiment frissonner, mais, avec la participation active de Malcolm McDowell et de Brad Dourif, un efficace exercice de style.
Première
(...) Zombie, esthète du gore, est plus doué pour explorer l'horreur que pour faire vraiment peur.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Dommage que le film (...) verse dans une surenchère gore qui finit par lasser.
Télérama
(...) plus saignant que l'original de 1978 et moins furibard que [les premiers films de Rob Zombie], qui avaient un peu tendance à virer du bis au Z.
Cahiers du Cinéma
La signature volontairement outrée de Zombie, toute de trognes et de crasse foraine, se déplie en étude clinique, entre froideur d'entomologiste (...) et électricité carnavalesque (...).
MCinéma.com
Le résultat est malgré tout décevant. La première partie du long-métrage est plutôt intéressante(...) Passés trois quarts d'heure, le film opère un virage à 180 degrés et accumule les poncifs du genre.