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"JCVD" est un formidable conte ironique où l'acteur joue son propre rôle. Loin de la blague potache, la comédie tourne au thriller, mettant en évidence les qualités d'acteur chez la star.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Analyse sauvage, autodérision (qui est toujours une gymnastique de l'intelligence), "Van Damage" y démolit l'armure, se castagne avec son pire ennemi: le personnage Van Damme.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Jean-Claude Van Damme présente ici une facette qu'on ne lui connaissait pas. Fin, drôle, capable d'auto-dérision, il se montre convaincant dans son propre rôle. [Et] le scénario ne manque pas de rebondissements.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Tant pis si sa mise en scène manque d'ampleur et de rythme (...). Il [Mabrouk El Mechri] offre à son héros (...) l'opportunité d'afficher une vraie sensibilité à raconter des émotions, et un pertinent sens de l'autodérision.
Comme polar, le film, un peu trop référentiel et engoncé dans ses partis pris esthétiques ultra-tranchés, fonctionne moins bien. Il n'en demeure pas moins singulier et réellement touchant.
El Mechri a voulu réaliser deux films en un : un film de hold-up et un mélodrame réflexif sur JCVD. Il y en a un de trop, et c'est ce film de genre rempli de tics, à l'esthétique ingrate. L'autre est plus singulier (...) le film est assez habile dans sa mise en scène thérapeutique (...) Van Damme s'en tire bien.
Minuscule et consciencieux, maladroit et attachant, le film de Mabrouk El Mechri séduit finalement par là où il inquiétait le plus, depuis ce double argument auquel, par principe, on devrait s'obliger à faire la sourde oreille : JCVD est un film sincère et " humain "
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Une longue tirade de JCVD tire soudain le spectateur hors de sa relative quiétude. [Elle] constitue ce je-ne-sais-quoi, cette part profonde d'humanité qui nous attache à un film qui n'est pas par ailleurs une grande réussite.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Faute de réelle audace scénaristique, il [Mabrouk el Mechri] se contente de signer une comédie musclée à l'ironie contrôlée, à la mise en scène chichiteuse et à la bande-son assourdissante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
"JCVD" est un formidable conte ironique où l'acteur joue son propre rôle. Loin de la blague potache, la comédie tourne au thriller, mettant en évidence les qualités d'acteur chez la star.
Ciné Live
Voir le site www.cinelive.com
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Journal du Dimanche
Un morceau de cinéma-vérité dont la trame était écrite, mais qui permet à la star de laisser parler un étonnant naturel d'acteur.
Le Parisien
(...) le réalisateur offre à Jean-Claude Van Damme le rôle de sa vie, au sens propre comme au figuré.
Le Point
Voir le site www.lepoint.fr
Libération
Analyse sauvage, autodérision (qui est toujours une gymnastique de l'intelligence), "Van Damage" y démolit l'armure, se castagne avec son pire ennemi: le personnage Van Damme.
Metro
Jean-Claude Van Damme présente ici une facette qu'on ne lui connaissait pas. Fin, drôle, capable d'auto-dérision, il se montre convaincant dans son propre rôle. [Et] le scénario ne manque pas de rebondissements.
Ouest France
Tant pis si sa mise en scène manque d'ampleur et de rythme (...). Il [Mabrouk El Mechri] offre à son héros (...) l'opportunité d'afficher une vraie sensibilité à raconter des émotions, et un pertinent sens de l'autodérision.
Paris Match
(...) ce polar poilant parvient, avec tendresse, à calligraphier les initiales d'un artiste à fleur de peau et de muscles.
Positif
Enfin un bon film avec Jean-Claude Van Damme (depuis Chasse à l'homme de John Woo, 1993) qui nous surprend et nous réjouit (...).
Télé 7 Jours
Subtil mix de fiction et de réalité, emballé dans une mise en scène stylée, ce singulier objet filmique gagne haut la main son pari gonflé (..)
TéléCinéObs
Comme polar, le film, un peu trop référentiel et engoncé dans ses partis pris esthétiques ultra-tranchés, fonctionne moins bien. Il n'en demeure pas moins singulier et réellement touchant.
Brazil
La mise en abîme s'abîme malheureusement vite: après une belle première partie, où Van Damme tente de relever la tête que lever la jambe.
Cahiers du Cinéma
El Mechri a voulu réaliser deux films en un : un film de hold-up et un mélodrame réflexif sur JCVD. Il y en a un de trop, et c'est ce film de genre rempli de tics, à l'esthétique ingrate. L'autre est plus singulier (...) le film est assez habile dans sa mise en scène thérapeutique (...) Van Damme s'en tire bien.
Chronic'art.com
Minuscule et consciencieux, maladroit et attachant, le film de Mabrouk El Mechri séduit finalement par là où il inquiétait le plus, depuis ce double argument auquel, par principe, on devrait s'obliger à faire la sourde oreille : JCVD est un film sincère et " humain "
Le Monde
Une longue tirade de JCVD tire soudain le spectateur hors de sa relative quiétude. [Elle] constitue ce je-ne-sais-quoi, cette part profonde d'humanité qui nous attache à un film qui n'est pas par ailleurs une grande réussite.
Les Inrockuptibles
Malgré un emballage de polar baclé, un vrai faux portrait de Jean-Claude Van Damme, comme toujours amusant et attachant.
Studio Magazine
Voir la critique sur http://www.studiomag.com/
aVoir-aLire.com
Jean-Claude Van Damme en quête de rédemption artistique dans un film à l'originalité préfabriquée mais brillamment bricolée.
Le Figaroscope
Surprenant mais vite laborieux.
MCinéma.com
Même s'il évite la vulgarité d'un produit marketé et malgré quelques bons dialogues "Tarantinesques", JCVD reste une occasion manquée.
Télérama
Faute de réelle audace scénaristique, il [Mabrouk el Mechri] se contente de signer une comédie musclée à l'ironie contrôlée, à la mise en scène chichiteuse et à la bande-son assourdissante.