Avis : Antonio Vivaldi, un prince à Venise - Page 3

Comment rater un film quand les deux protagonistes sont la musique de Vivaldi et Venise? Impensable! Pourtant, la musique est massacrée (violonistes qui singent les doigtés, coupures, doublage calamiteux...)et Venise nous est bien mal montrée. On aura une pensée attendrie pour Michel Serrault. Un film sans passion, sans histoire. Si vous ne vous ennuyez pas ferme, peut-être serez-vous révolté par ce massacre...

J'ai été très surprise par ce film ... je ne m'attendais pas du tout à ce qu'il soit aussi mauvais. Les acteurs jouent assez mal. Il y en a même certains, où on a l'impression qu'ils récitent carrément leur texte ! Le personnage principal n'est pas attachant. Le doublage est parfois décallé ... ça fait sourire. Ca a été un supplice pour moi qui prend des cours de chant lyrique d'entendre la voix de la cantatrice ... une véritable horreur ! Le film est beaucoup trop décousu et donne parfois l'impression d'un documentaire, avec des personnages qui se mettent à parler à la caméra sans qu'on s'y attende. Les personnages ne veillissent pas malgré les années qui passent. Les scènes musicales sont beaucoup trop longues ... et pourtant, certaines musiques sont coupées au mauvais moment ! Bref, quand je suis sortie de la salle, je me suis demandée comment un pareil film est arrivé sur les écrans ! Pauvre Vivaldi, il ne méritait pas ça !

Pitoyable ! Ce film est médiocre à bien des niveaux. A commencer par la mise en scène chaotique, sans sens, sans aucun talent. Puis les acteurs, mauvais comme rarement des acteurs ont pu l’être. Même Serrault n’est pas bon, et j’en suis bien désolé... Pour finir, la réalisation et le montage tiennent de l’amateurisme. Le résultat est ridicule, à la manière d’un film érotique... sans les scènes de sexe !

J-L Guillermou est à la culture ce que "Max Pecas" est à la comédie en gros dire que ce film est un NAVET est une insulte pour l'agriculture française

C'est de loin le film le plus affligeant de ces dernières années et pourtant j'aime la musique classique, Vivaldi,les films en costumes.La narration est confuse et superficielle (les deux soeurs de Vivaldi le détestent sans qu'on sache vraiement pourquoi, la scène de la danseuse au bal est ridicule) ,le jeu des acteurs est horrible, sans parler des dizaines de petits détails irritants comme le fait que les personnanges se prennent 40 ans dans la figure sans vieillir, la tranche de melon dans l'assiette qui fait bien pauvre dans un banquet italien du XVIIIe siècle, les ampoules,le doublage atroce de la cantatrice, et j'en passe...) Certes, il y a Venise et la musique de Vivaldi mais cela ne suffit pourtant pas à rattraper le reste à tel point que lorsque Vivaldi passe enfin l'arme à gauche, c'est le soulagement.

Le sujet du film et son caractère historique inédit m'ont interpelé.
Le fait que l'oeuvre ait pu bénéficier des conseils de Patrick BARBIER, l'un des meilleurs spécialistes de l'histoire de l'opéra et de l'art lyrique, m'a rassuré.
Mon ticket d'entrée est pris.
Dans la salle obscure, la magie de la musique, des images superbes et une histoire "bien ficelée" desservie par des acteurs remarquables ont fait le reste.
Puissent d'autres monuments de ce genre venir combler les lacunes du cinéma à caractère historique.

Bah super, rien à redire. Les gens ui ont mis 0 étoiles doivent avoir de l'imagination pour arriver à pondre des "ah c'est nul ce film". Michel Serrault est superbe.

Ce film est malheureusement un ramassis de clichés.
Acteurs compassés, dialogues lourds, scénario sans consistance.
C'est ainsi que je le définis. Le rôle des personnages apparaissants et disparaissants sans que l'on comprenne le pourquoi et le comment.
Serrault et Galabru à contre emploi.
Ils devraient revoir AMADEUS ou FARINELLI, mais tout le monde n'est pas Milos Forman, hélas.
En conclusion, deux billets gâchés et une belle déception.

J'ai vraiment adoré ce film historique qui m'a fait découvrir un compositeur méconnu en lutte avec une Eglise conservatrice : les décors et les costumes sont somptueux, tout comme Venise. Et c'est non sans émotion qu'on revoit une dernière fois Michel Serrault faire le clown dans un rôle d'évêque qui lui va à merveille.

A voir absolument !

j'en sors... très triste. Vivaldi ne méritait pas ça. Une histoire décousue, pas de dialogues, des acteurs vides qui récitent un texte creux. J'ai trouvé Serrault et Galabru incongrus dans leurs roles; ce cher Dionisi, si brillant et attachant dans Farinelli, est dépassé par une absence de scénario, de direction d'acteurs... Meme en étant prévenue par les critiques sévères, je ne m'attendais pas à une telle gifle. Je me demande ce qui s'est passé sur le tournage, quelle était l'intention du réalisateur pour produire un tel désastre. Quel dommage.

Un film à recommander absolument à tous les amoureux de Venise et du compositeur baroque.

Je dois avouer que Vivaldi restera dans mes souvenirs cinématographiques comme le pire film de l'été 2007. Quel gâchis!
Au départ, un merveilleux sujet, un casting de qualité, un contexte historique laissant espérer de somptueux costumes et de sublimes décors... A l'arrivée, des scènes qui tombent à plat, des acteurs livrés à eux-mêmes, des dialogues rendus sur un ton théâtral insupportable, un synchronisme pas toujours respecté (surtout lors des scènes d'opéra). Pour ne rien arranger, le film manque de rythme ou plutôt nous inflige un rythme haché, saccadé, ponctué par des Scènes où Vivaldi apparaît parcourant avec difficulté de longs couloirs, des escaliers interminables et des ruelles qui mènent dans le canal... Comme le film!
Dommage que le réalisateur ne se soit pas inspiré de la musique de ce grand homme si fluide, si emportée et qui nous emporte.
Je pense que ce film devrait être étudié dans le écoles de cinéma pour expliquer aux futurs cinéastes, ce qu'il ne faut pas faire.

Magnifique film que j'attendais depuis plusieurs mois et je ne suis pas du tout déçu. Tout est grandiose rien à dire de plus. Si Monsieur Michel Serrault est splendide. Maintenant j'en sais plus sur ce musicien qui à tardé à être connu. Oh surprise il y a une nouvelle actrice que je connaissais comme présentatrice sur TSR1 dans l'émission "DeSideLa", c'est la Sœur de la cantatrice préféré de Vivaldi. Et que dire de Vivaldi si ce n'est qu'il joue sublimement bien. Galabru est très bien dans le rôle du pape, court mais bien. A quand la vie de Beethoven, Haydn, Purcell et les autres? J'aime le cinéma quand il nous diverti sans complexe. Mozart fût déjà un film grandiose sous le nom de "Amadeus", mais là c'est une autre surprise qui ne vous laissera pas sans jugement. Très bien encore bravo, vivement le prochain film que l'on attend et qui ne nous déçoit pas. Sorry pour l'orthographe mais je ne suis pas descendant de Diderot, Larousse, Robert ou un autre de ceux qui gagna la dictée de Pivot.

Sans doute l'un des pires films de l'année qui a profité du décès du regretté Serrault pour sortir en salles.
La nullité du scénario, le jeu creux des acteurs, le doublage catastrophique sont autant de critères rébarbatifs pour fuir cet incommensurable navet.
Tout à fait objectivement, la réalisation et le montage sont ratés,des faux raccords, à l'image comme au son, un sens de l'esthetique en dessous de zero.

On pourrait en rire tellement ç'en est aberrant, mais c'est l'ennui qui prend le dessus.

Hommage poignant et enfiévré à ce génie de l'ère baroque qu'était Antonio Vivaldi (qui n'a jamais frissonné en se délectant des cuivres brûlants des Quatre Saisons?), ce film de Jean-Louis Guillermou nous transmet à nous, public féru d'opéra et de grande musique, sa passion avec honnêteté et un art rappelant les envolées baroques du XVIIIe siècle.
Dans ce film où souffle l'atmosphère ambiguë d'un siècle à la fois pieux et débauché, on voit Antonio Vivaldi, interprété par Stefano Dionisi, connu pour son rôle de castrat dans le film "Farinelli", à la fois aux prises avec le clergé vénitien, avec de belles femmes rondes aux appas irrésistibles, sur un air d'opéra, et quel opéra! Un déchaînement d'instruments et d'émotions, une course effrénée vers la jouissance et le plaisir, dépassant luttes d'influence et bigoteries, pour finir mal, forcément mal, car tel est le lot des génies.
Les acteurs y sont justes, et Michel Serrault y est émouvant, dans son dernier rôle.