Avis : Rocky Balboa - Page 9

On pensait que Stallone avait tout écrit sur son personnage de Rocky, que la saga s'était terminée sur un piètre épisode 5 et que jamais Stallone ne reviendrait nous émouvoir. Et bien si, il revient. Et de quelle manière ! Stallone livre un film simple, comme le personnage principal. Mais qu'est-ce que c'est beau et émouvant, beau à en pleurer. Rocky Balboa est une vraie leçon de vie et d'humilité. Le film prend son temps pour nous adresser le coup de grâce avec un combat final d'anthologie. La boucle est bouclée, Rocky prend sa retraite après 25 ans de carrière. Une saga hors-norme ! Merci Monsieur Stallone.

Le grand retour de Rocky au cinéma et quel retour !!! Stalonne signe ici le meilleur Rocky. Un Rocky touchant et émouvant. Quel courage de remonter sur le ring a son age : 60 ans quand meme. Du pur Stalonne, du pur Rocky, du pur bohneur.

Scénario vide, un vieux mec se dit qu'il a envie de boxer alors que dans le monde du sport, il est plus qu'un ancetre, mais malgré ça, il va aller se battre contre le champion du monde en titre...
Tout ceci est d'un ridicule et improbable !!!
Comme tous les autres rocky, celui-ci n'echappe donc pas à la regle pour moi...

A bientôt 60 ans, Rocky Balboa se lance un ultime défi, remonter sur le ring. Il n'a plus rien à perdre, sa femme est morte, son fils ne vient plus le voir mais il lui reste cet espoir, redevenir une gloire du passé. Ses frustrations et la solitude sont mises en évidence de manière efficace, et son interprétation de l'opprimé est une autre raison pour laquelle le public ira de nouveau l'acclamer. Film nostalgique, il est un aboutissement en soi et le meilleur de la série avec le premier volet. Du grand cinéma et un excellent Stallone.

Le meilleur Rocky aussi bon que le premier ! Un film intense et émouvant à la fois où Stallone retrouve son personnage et gloire du passé remonte sur le ring dans sont plus beau combat .

Etait-il opportun de réaliser un 6ème épisode ? Le débat est ouvert et on pourrait en parler pendant un moment... Mais il faut quand même reconnaître que le pari était osé de remettre un Rocky vieillissant sur le ring ! Sylvester Stallone prend le risque et ça fonctionne ! On retrouve avec plaisir la galerie de personnages qui ont marqué notre jeunesse. La mayonnaise prend très bien et je reconnais avoir passé un excellent moment devant ce film. Les scènes de combat ne sont pas ridicules du tout et le vieux lion rugit encore, même s'il est évident que ses crocs commencent à s'user. Malgré tout le « style » Stallone est bel et bien présent et nous fait passer un bon moment. Je le conseille sans arrière pensée, pour une soirée détente réussie !

Centre une nouvelle fois sur la relation père/fils, je viens de le voir en ce Lundi 10 Octobre 2016 au matin. Mais cette fois-ci c’est un véritable choc des cultures entre une nouvelle génération connectée et baignée dans le luxe moderne et le monde de la finance. Des médias qui ne sont presque plus radios pour retransmettre les combats mais la télé plus que modernisé, des journalistes analysants les futures rencontres avec des simulations 3D. Des jeunes utilisant leurs propres langages de rues, provocations, insultes, thermes vulgaires. Une toute nouvelle génération quoi. Et ça fait bien bizarre lorsqu’on se dit qu’on à jusqu’à maintenant vue et entendue les années 70 et 80. spoiler: Une scène très émouvante entre Rocky et Paulie sur le terrain de l’ancienne patinoire ou ils se remémorent leurs vieux souvenirs. Mais Paulie ne supporte pas cet instant car accablé par la mort d’Adrianne. Un instant insupportable pour lui qui le fait bien savoir à Rocky.
Le fils de Balboa est cette fois-ci un jeune ambitieux du monde de la finance, excédé par la popularité que son père provoque à chacune de ces apparitions. Ne pouvant presque plus travailler comme il faut. Rocky lui est devenue propriétaire de restaurant et accumule histoire sur ses succès passés. Enfin, un jeune noir accro aussi bien à la boxe qu’au basket. Entouré de voiture de sport de luxe, jolies fille et grosse villa vitrée. La presque grosse tête quoi. Une rencontre avec une très ancienne connaissance d’un jour changeant la vie du héros et qui va devenir sa collègue et grande amie avec en plus, son fils. Encore des provocations entre l’ancien boxeur star et vétéran d’une grande époque, une nouvelle génération écroué sous les contrats d’exclusivité, l'argent, la gloire et les managers les poussant à croire qu’ils sont les meilleurs. Sans suivi d’un entrainement avec toujours une très belle comparaison d’entre 2 monde, la simplicité et le luxe. Un combat très coloré et très strass dans un Vegas gonfler à bloque. Et un jeune boxeur noir qui frôle et voir même se fait humilier mais c’est très épatant, se fait humilier dans un grand respect par son vétéran. Une grande et belle leçon de vie sur des valeurs sportives, ne pas se faire piéger et avoir par des managers excentriques, ne pensant qu'à la gloire et au gros sous. Une avant dernière histoire avant que je puisse voir le tout dernier volet de cette saga cultisme. Partant de 2 navets, j’en pars avec 3 chefs d’œuvres grandioses de réalisme. La fin d’une grande saga cinématographique avec ses musiques et chansons cultes. Tout de même très heureux de les avoir tous enregistrer un par un de les avoir tous vu, un par un puis jugé et noté.

Rocky a vieillit, et pourtant, on le retrouve en super forme. On retrouve là toute l'ambiance des précédents films, avec ces rues crasseuses de Philalephie, le fameux chapeau de Rocky et surtout ce générique qui retentit dès le début.
Le film met beaucoup l'accent sur cet écart entre les deux époques, entre ce vieux Philadelphie qui a toujours été l'univers de Rocky, et celui du jeune champion bien ancré dans le 21è siècle.
"Rocky Balboa" est construit un peu de la même manière que le tout premier Rocky. N'allez pas comprendre là que s'en est une copie, loin de là, mais au lieu d'assister ici à la naissance d'un champion sorti de la rue, on assiste à sa renaissance.
Dans un premier temps, on découvre donc ce qu'est devenu la vie du héro, vivant dans son restaurant tranquille, souffrant toujours du décès de son épouse, et de la distance que son fils met entre eux. Puis vient la dernière partie du film, avec l'entrainement de Rocky et le combat.
Et quel combat ! Encore une fois, Sylverster Stallone parvient à le rendre accrocheur, sans jamais donner l'impression d'être une copie des précédents matchs. Jusqu'au bout, on garde les poings serrés en se demandant comment le match va se terminer.

On aurait pu craindre

J'ai vu tout les rocky et franchement c'est une belle arnaque!
premier coup de poing apres 1h20 DE FILM!!!sur de la viande!
un combat de boxe EUROSPORT de 10MINUTES!!!
aucun vrai entrainement,pas de nouvelles musiques epic
les bonnes notes sont du a la nostalgie!
car mieux noté que rocky 3 ET 4!!CA FRISE LE RIDICULE
une belle arnaque!

Comment boucler la boucle de la plus belle des manières… Sly ne pouvait pas faire mieux que ce nouvel opus, de loin le plus émouvant de cette saga indémodable. Ici, on retrouve un Rocky humain, qui a vieilli, a perdu sa femme aimée Adrian, et vit encore dans ses souvenirs passés mais conserve toujours ses valeurs et continue de se battre pour défendre ses idées et délivrer des messages subtiles et universels. Dans ce rôle, Stallone est parfait, il ne fait qu’un avec son personnage fétiche, on pourrait croire à une autobiographie tant ce rôle lui colle à la peau et tant on peut faire un parallèle évident entre Rocky et Stallone lui-même. Les scènes face à son fils sont bouleversantes, Milo Ventimiglia est touchant dans son chemin de vie et ses doutes, Stallone lui est pertinent dans ses conseils mais également attachant dans sa défense permanente d’une époque et d’un monde révolu. A travers ce film, Rocky nous rappelle que, bien que tout change, l’important demeure notre attitude face à l’adversité, nos valeurs, nos choix aussi et cette philosophie de vie fait réfléchir. Oui Stallone est un symbole, un guide aussi, un modèle surement.

« Je vais te dire un truc que tu sais déjà : le soleil et les arcs en ciel, c'est pas le monde. Aussi grand et fort que tu sois, la vie te mettra à genoux et te laissera comme ça en permanence si tu la laisses faire. Toi, moi, n'importe qui, personne ne frappe aussi fort que la vie. C'est pas d'être un bon cogneur qui compte, l'important c'est de se faire cogner et d'aller quand même de l'avant. C'est de pouvoir encaisser sans jamais flancher. C'est comme ça qu'on gagne ».

« Ce qui compte, c'est pas la force des coups que tu donnes, c'est le nombre de coups que tu encaisses tout en continuant d'avancer. Ce que t'arrives à endurer tout en marchant la tête haute ».

Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)

Vu en avant première.
102 minutes de bonheur , rien ne pouvais me faire décoller de ce chef d'oeuvre.
Touchant , émouvant , drôle , intense , sublime...
Et je n'étais pas la seule dans le cinéma à penser ceci , suffisait d'entendre les rires , les pleures , les acclamtions et les gens applaudire à la fin...
Je le place avant Rocky 1er du nom , et avant tous les autres.
Stallone a fait un travail de maitre , un grand scénario , une très bonne réalisation , un jeu d'acteur epoustouflant ... Les seconds roles aussi sont formidables.
Et un combat surprenant de réalisme , on a mal , tres mal pour les deux boxeurs.
A voir de toute urgence.

Quelle suite sly nous sort un des meilleurs rocky apres le 1.
Franchement, il clot la série exceptionnelement.

Rocky rechausse les gants pour un dernier round. Ce 6ème opus clôture en apothéose la saga; Eh non ce n'est pas le Rocky de trop! Vraiment très bon.

Du cinéma humble, donc forcément touchant, filmé avec le coeur. Alors, bien sûr, Stallone survole certains aspects, parce qu'il n'a qu'une heure quarante cinq pour nous présenter les adieux de Rocky et corriger l'erreur du cinquième volet, tout en revenant à la source et en sachant rester crédible et surtout pertinent. Et ça marche. Encore. Ce n'est certainement pas le meilleur de la saga cela dit (je préfère encore les trois premiers, avec évidemment le premier, un chef d'oeuvre), mais il parvient à atteindre son but avec talent: clore 30 ans de légende en sortant par la grande porte, à tous les sens du terme. Et c'était bien là le principal. Merci Stallone, merci Rocky, vous m'avez fait rêver, tous les deux...

Je n'ai jamais compris pourquoi Rocky a toujours si mal tenu sa garde et resté autant à découvert. Mais le colonel Sylvestre nous offre là cependant une bien belle conclusion a sa saga. You're simply the best Rocky !