Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Oliviers Assayas
(…) Carpenter s'en donne à cœur joie dès qu'il s'agit de filmer les couloirs souterrains de la station, les paysages glacés, la nuit, le froid, la tension au sein du groupe : à bien des égards, il réalise là son film le plus abouti, le plus maîtrisé. Cahiers du cinéma 341, novembre 82
Libération
par Gérard Lefort
(…) les bidoches à métamorphoses de la Chose, véritable hold-up dans les poubelles d'un abattoir,atteignent un summum ravissant. Libération, 5 novembre 82
Positif
par Alain Garsault
John Carpenter possède une adresse égale pour employer des mouvements d'appareil descriptifs et dramatiques à la fois [et] ne se départit pas de son humour, laissant le spectateur, après un récit tout à fait classique, dans un suspens inattendu. Positif 261, novembre 82
Télérama
par Bernard Génin
Soyons honnête : l'effet est cauchemardesque à souhait. Et si l'on supporte cette forme d'épouvante, on appréciera le film. Télérama, 6 novembre 82
Le Monde
par Colette Godard
John Carpenter n'a jamais été pointilleux sur les scénarios. Il attache ses soins fascinés au paysage de fin du monde et à la Chose. Le Monde, 28 octobre 82
Cahiers du Cinéma
(…) Carpenter s'en donne à cœur joie dès qu'il s'agit de filmer les couloirs souterrains de la station, les paysages glacés, la nuit, le froid, la tension au sein du groupe : à bien des égards, il réalise là son film le plus abouti, le plus maîtrisé. Cahiers du cinéma 341, novembre 82
Libération
(…) les bidoches à métamorphoses de la Chose, véritable hold-up dans les poubelles d'un abattoir,atteignent un summum ravissant. Libération, 5 novembre 82
Positif
John Carpenter possède une adresse égale pour employer des mouvements d'appareil descriptifs et dramatiques à la fois [et] ne se départit pas de son humour, laissant le spectateur, après un récit tout à fait classique, dans un suspens inattendu. Positif 261, novembre 82
Télérama
Soyons honnête : l'effet est cauchemardesque à souhait. Et si l'on supporte cette forme d'épouvante, on appréciera le film. Télérama, 6 novembre 82
Le Monde
John Carpenter n'a jamais été pointilleux sur les scénarios. Il attache ses soins fascinés au paysage de fin du monde et à la Chose. Le Monde, 28 octobre 82