Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Lucille T.
38 abonnés
375 critiques
Suivre son activité
4,5
Publiée le 22 octobre 2010
slow, n. m. anglicisme : danse lente durant laquelle les partenaires peuvent s'enlacer à la verticale tout en tanguant à droite et à gauche sans que le mal au cœur ne soit imputable au monde marin.
Je voudrai danser, rien qu'une fois, rien qu'un slow
Allez hop, en avant pour cucul-land. Les personnages sont ultra caricaturaux, les ficelles pathos (pathologiques?) sont énormes, les passages rêvés désolants de niaiserie et j'en passe... Bref, à fuir.
LE MOME. Le petit poucet Dahan devenu grand, visite l'Amerique avec anges, handicapée à la recherche du temps perdu. C'est joli, merci Bob Dylan, rempli de poésie et de tendresse.
Après la môme, Olivier Dahan nous confirme son talent de réalisateur à travers un nouveau film gravitant autour du monde de la musique. Pas un chef-d'oeuvre mais une belle ode à l'amitié.
13 747 abonnés
12 431 critiques
Suivre son activité
2,5
Publiée le 23 mars 2020
Après le succès mondial de "La môme", Olivier Dahan dirige Renèe Zellweger et Forest Whitaker dans un road movie où les bons sentiments et les clichès ne manquent pas! Jane & Joey voyagent en tacot ou derrière les vitres d'un bus! Au fil de cette balade : des rencontres de hasard! Le meilleur atout de "My Own Love Song" ? Les dècors naturels de la Louisiane! Manque juste l'originalitè qui aurait fait dècoller l'ensemble! Reste qu'on ne s'ennuie absolument pas et que le « jardin des plaisirs » vu par Nick Nolte est visuellement beau! Pas besoin des anges, des fantômes ou de la magie! Le partage est l'extraordinaire chez Dahan! Alors doit-elle croire ou disparaître ? Au vu des èvènements, Jane choisira d'y croire avec une conclusion à l'amèricaine! A la base, c'est Sharon Stone qui devait jouer l'ex-chanteuse handicapèe mais les financiers ètaient très rèticents! Ouf [..] Sinon Madeline Zima, plutôt convaincante dans le rôle de Billie, a les mêmes expressions que Alicia Silverstone...
Une bande annonce qui laissait présager un beau film. Mais malheureusement ce n'est pas tout à fait le cas. Dommage car il y a du très bon dans ce film, mais le tout est assez inégal.
Premier long-métrage US pour le réalisateur de La Môme (2007), après son succès planétaire, il obtient sa Green Card et part tourner sur les terres de l'Oncle Sam une oeuvre déroutante, onirique et fascinante. On y suit deux âmes perdues, Renée Zellweger ex-chanteuse de country et paraplégique, ainsi que Forest Whitaker, ex-pompier et doux-dingue parlant aux anges et aux fantômes. A travers un road-movie fantasmagorique, on les suit (aux côtés de la charmante Madeline Zima et de Nick Nolte) sur les routes de la Nouvelle-Orléans. Un road-trip fait de rencontres, de déconvenues, de rires et de peines, le tout, en musique (et pas n'importe laquelle, puisqu'il s'agit de Bob Dylan). Un voyage surprenant et qui devrait en dérouter plus d'un (ou en émouvoir certains).
Dahan réalise un film intimiste, road-movie à la sauce indépendant genre Sundance. Un schizo qui parle aux anges et sa copine en fauteuil roulant partent en quête d'eux-même, et sur la route feront divers rencontres plus ou moins intéressantes. Les acteurs sont en osmose et donnent un maximum à notre cinéaste français dans un film où la BO est magistral (merci Bob Dylan). La photographie est splendide avec de vrais moments de grâces... Mais il manque des personnages plus consistants, plus surprenants que cette promenade sans surprise qui tente de nous faire pleurer avec des grosses ficelles à la fin. L'écrin est magnifique mais il manque d'un véritable enjeu pour les personnages. A ne pas voir déprimé !