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Votre avis sur Slumdog Millionaire ?
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Une claque. Slumdog Millionaire vous met une claque. Un choc visuel, sonore et émotionnel.
Le film commence dans un commissariat, en Inde, où Jamal Malik subit un interrogatoire des plus désagréables. Sa faute ? Avoir réussi à répondre correctement à toutes les questions du célèbre jeu télévisé « Qui veut gagner des millions ? » alors que personne ne pouvait se douter qu’il en serait capable. L’enfant des bidonvilles, qui n’a reçu aucune forme d’instruction à part celle née de son enfance difficile, se retrouve sur le point de devenir multimillionnaire.
Mais l’argent n’est pas ce qui a poussé Jamal à s’inscrire à ce célèbre jeu …
Rarement un parcours de vie aussi dur n’a été dépeint avec autant d’énergie, de chaleur et de couleur. La photographie est sublime du début jusqu’à la fin. La réalisation survitaminée de Danny Boyle nous plonge au cœur d’une Inde complexe, paradoxale, mais dans laquelle l’enfance difficile de Jamal n’est jamais contée de manière larmoyante. La vie va trop vite pour Jamal, pas le temps de s’apitoyer pour lui et de faire sangloter le téléspectateur. Cela ne nous empêche pas d’avoir le cœur serré lorsque le film nous fait réaliser l’enfance que peuvent vivre certains d’entre nous, touchés par la pauvreté ou l’insécurité dès leur plus jeune âge.
Danny Boyle a soignement choisi ses interprètes et cela se sent. En mélangeant des novices du grand écran (Dev Patel, Freida Pinto) et des acteurs bien plus connus (la star hindi Anil Kapoor), le réalisateur fait éclater le talent de chacun d’entre eux. La fraicheur des deux acteurs principaux fait un bien fou.
Plus qu’une addition de composantes de qualité, le film possède un supplément d’âme et une atmosphère uniques difficiles à expliquer, d’autant plus que l’histoire de Jamal est tellement incroyable qu’elle pourrait laisser sceptique les plus cartésiens.
Mais il est difficile de résister à cet incroyable vague d’énergie et de bonheur qui ressort du film, qui mérite pour moi réellement ses 8 oscars. Un inébranlable pilier de mon top 10.
Le film commence dans un commissariat, en Inde, où Jamal Malik subit un interrogatoire des plus désagréables. Sa faute ? Avoir réussi à répondre correctement à toutes les questions du célèbre jeu télévisé « Qui veut gagner des millions ? » alors que personne ne pouvait se douter qu’il en serait capable. L’enfant des bidonvilles, qui n’a reçu aucune forme d’instruction à part celle née de son enfance difficile, se retrouve sur le point de devenir multimillionnaire.
Mais l’argent n’est pas ce qui a poussé Jamal à s’inscrire à ce célèbre jeu …
Rarement un parcours de vie aussi dur n’a été dépeint avec autant d’énergie, de chaleur et de couleur. La photographie est sublime du début jusqu’à la fin. La réalisation survitaminée de Danny Boyle nous plonge au cœur d’une Inde complexe, paradoxale, mais dans laquelle l’enfance difficile de Jamal n’est jamais contée de manière larmoyante. La vie va trop vite pour Jamal, pas le temps de s’apitoyer pour lui et de faire sangloter le téléspectateur. Cela ne nous empêche pas d’avoir le cœur serré lorsque le film nous fait réaliser l’enfance que peuvent vivre certains d’entre nous, touchés par la pauvreté ou l’insécurité dès leur plus jeune âge.
Danny Boyle a soignement choisi ses interprètes et cela se sent. En mélangeant des novices du grand écran (Dev Patel, Freida Pinto) et des acteurs bien plus connus (la star hindi Anil Kapoor), le réalisateur fait éclater le talent de chacun d’entre eux. La fraicheur des deux acteurs principaux fait un bien fou.
Plus qu’une addition de composantes de qualité, le film possède un supplément d’âme et une atmosphère uniques difficiles à expliquer, d’autant plus que l’histoire de Jamal est tellement incroyable qu’elle pourrait laisser sceptique les plus cartésiens.
Mais il est difficile de résister à cet incroyable vague d’énergie et de bonheur qui ressort du film, qui mérite pour moi réellement ses 8 oscars. Un inébranlable pilier de mon top 10.
tony-76
Le film est super !!!!! On passe un très bon moment devant ce film plein d'émotions !
Slumdog Millionaire c’est la rencontre entre Hollywood et Bollywood par le réalisateur Danny Boyle qui livre ici un film fort, émouvant et magnifique dans son histoire et interprétation. Jamal Malik, 18 ans, enfant orphelin vivant dans les taudis de Mumbai, est sur le point de remporter la somme colossale de 20 millions de roupies lors de la version indienne du jeu « Qui veut gagner des Millions? ». Notre jeune serveur de thé arrive à la dernière question mais c’est là qu’il est arrêté par la police pour tricherie. Interrogé par des policiers, Jamal explique d’où lui vienne ses connaissances et raconte sa vie dans la rue, ses histoires de famille et même celle de cette fille dont il est tombé amoureux et qu’il a perdue. Mais comment se jeune homme est-il parvenu en finale de cette émission? Pourquoi c’est-il inscrit? Slumdog Millionaire est un chef d’œuvre de Danny Boyle. Le réalisateur a choisi de faire son film à la manière Bollywood avec des chansons, des paysages grandioses, une histoire captivante et magnifique avec des acteurs inconnu mais talentueux. Le scénario de Slumdog Millionaire est adapté du livre Les Fabuleuses Aventures d’un Indien malchanceux qui devint milliardaire de Vikas Swarup, et le film possède donc un scénario originale et surtout captivant de bout en bout qui retrace l’histoire passionnante de Jamal qui a vécu dans les bidonvilles, est devenu orphelin, a été utilisé par des hommes pour mendier dans les rues et a rencontré l’amour de sa vie qu’il cherche toujours. Le film prend dés le début le spectateur dans cette histoire magnifique et émouvante. L’histoire de Jamal est raconté par le biais des questions posées où l’on apprend comment il a eu la réponse à la question à travers ce qu’il a vécu, une idée originale avec du suspense parfois. Le film possède une musique tout simplement géniale et qui le rythme d’une certaine manière, le final dansant est épique et est à ne manquer sous aucun prétexte. Maintenant les acteurs, ils sont tous excellents en particulier Dev Patel qui joue Jamal adulte et Freida Pinto qui joue la belle Latika adulte. Il faut noter que le casting est composé à 100% d’acteurs indien comme Anil Kapoor qui joue Prem Kumar le présentateur du jeu télévisé et il y a aussi Irrfan Khan qui joue l’inspecteur de police qui interroge Jamal. Slumdog Millionaire fut un grand succès et le film s’est vu remettre huit Oscars dont ceux du Meilleur film, du Meilleur réalisateur pour Danny Boyle et du Meilleur scénario adapté en 2009. Slumdog Millionaire est un chef d’œuvre réaliste sur la vie en Inde et restera un des plus beaux films des années 2000.
Stephenballade
D'un côté, nous avons un jeu télévisé devenu populaire dans le monde entier, à savoir "Qui veut gagner des millions ?". En sachant qu'une personne lambda peut y participer dès lors qu'elle possède un minimum de culture générale avec un soupçon de jugeotte, qui n'a pas rêvé d'y participer ? En cela, aucun pays ni aucune culture n'y a échappé. Ainsi nous nous retrouvons embarqués au fin fonds de l'Asie, dans un pays aussi connu pour le Taj Mahal que pour la misère qui y règne (je veux bien sûr parler de l'Inde vous l'aurez compris), pour suivre la fabuleuse aventure d’un indien malchanceux qui devient millionnaire.
Telle est l’affiche du film, un long métrage qui reçut pas moins de 26 prix, dont 8 aux Oscars en 2009, une œuvre prenant un air de fresque à la fois magnifique et naïve, voire même dure et cruelle en traitant de la pauvreté en Inde.
Les moments heureux et durs sont alternés avec une grande habileté, ce qui me permet de dire que Danny Boyle a parfaitement maîtrisé son sujet, tout en maîtrisant à la perfection sa technique, offrant du même coup l'opportunité de soigner la photographie. D'ailleurs, elle est superbe.
Avec une prestation époustouflante de tous les acteurs (oui j'ai bien dit tous), nous sommes invités à partager la vie de ce pauvre serveur de thé qui se retrouve sous le feu des projecteurs, qui se voit contraint de conter aux policiers suite à une fâcheuse accusation de tricherie. L'entame nous captive d'entrée, et je vous défie de ne pas être envahis par l'émotion, la compassion, le rire, la pitié, la tristesse et la joie.
Pour autant, on ne s'enlise jamais dans les sables mouvants que pourraient former une sensiblerie démesurée et du larmoyant insupportable. Non, ces notions sont utilisées à bon escient, ce qui fait que cette œuvre... que dis-je ? ce chef-d’œuvre vous laissera un souvenir inoubliable, comme il m'en a laissé un à moi, renforcé par le fait que nous avons droit à un générique de fin incroyable par le biais d'une chorégraphie réunissant tout le casting, laissant transparaître la bonne humeur qui a dû régner sur le tournage.
On saluera le courage de Danny Boyle pour un sujet aussi délicat que réaliste, et pour avoir donné la part belle aux Indiens lors de la distribution des rôles. En bref, un grand moment de cinéma, qui plus est quand il respire l'authenticité. Merci à Danny Boyle, merci à tout le staff, merci aux comédiens, oui merci de nous offrir tant de sentiments en si peu de temps. Personnellement, j'en redemande !!!
Telle est l’affiche du film, un long métrage qui reçut pas moins de 26 prix, dont 8 aux Oscars en 2009, une œuvre prenant un air de fresque à la fois magnifique et naïve, voire même dure et cruelle en traitant de la pauvreté en Inde.
Les moments heureux et durs sont alternés avec une grande habileté, ce qui me permet de dire que Danny Boyle a parfaitement maîtrisé son sujet, tout en maîtrisant à la perfection sa technique, offrant du même coup l'opportunité de soigner la photographie. D'ailleurs, elle est superbe.
Avec une prestation époustouflante de tous les acteurs (oui j'ai bien dit tous), nous sommes invités à partager la vie de ce pauvre serveur de thé qui se retrouve sous le feu des projecteurs, qui se voit contraint de conter aux policiers suite à une fâcheuse accusation de tricherie. L'entame nous captive d'entrée, et je vous défie de ne pas être envahis par l'émotion, la compassion, le rire, la pitié, la tristesse et la joie.
Pour autant, on ne s'enlise jamais dans les sables mouvants que pourraient former une sensiblerie démesurée et du larmoyant insupportable. Non, ces notions sont utilisées à bon escient, ce qui fait que cette œuvre... que dis-je ? ce chef-d’œuvre vous laissera un souvenir inoubliable, comme il m'en a laissé un à moi, renforcé par le fait que nous avons droit à un générique de fin incroyable par le biais d'une chorégraphie réunissant tout le casting, laissant transparaître la bonne humeur qui a dû régner sur le tournage.
On saluera le courage de Danny Boyle pour un sujet aussi délicat que réaliste, et pour avoir donné la part belle aux Indiens lors de la distribution des rôles. En bref, un grand moment de cinéma, qui plus est quand il respire l'authenticité. Merci à Danny Boyle, merci à tout le staff, merci aux comédiens, oui merci de nous offrir tant de sentiments en si peu de temps. Personnellement, j'en redemande !!!
Slumdog Millionaire est un film absolument génial!!!!! Je savais que ça m'aurait plu mais pas à ce point-là!!!! La réalisation de Danny Boyle est vraiment super efficace!!!! Le montage est vraiment bluffant!! Tous les angles de caméra différents que l'équipe a pu trouver sont vraiment incroyables!!!! On est pris dès les premières minutes dans cette histoire d'amitié et d'amour sur fond de drame bien qu'avec de temps en temps quelques petites touches d'humour. Les trois acteurs donnant vie à Jamal Malik sont attachants dès les premières secondes, pareil pour ceux ( et celles ) qui incarnent Salim Malik et Latika. Les meilleurs des neuf acteurs sont évidemment Dev Patel très touchant et Freida Pinto toujours aussi belle. La musique est excellente avec des chansons très rythmées et une belle chorégraphie à la toute fin. Les réponses que donnent Jamal à " Qui veut gagner des Millions ? "pendant tout le film font toutes référence à une partie de sa vie qui émeut le spectateur à chaque fois. Vous l'avez évidemment compris, Slumdog Millionaire est un film qu'il faut absolument avoir vu dans sa vie au moins une fois. Superbe!!!!!!!!!
Un film qui nous propose une très belle histoire, nous emmenant des ruelles étroites de Mumbaï au Taj Mahal. Une réalisation réussie !
benoitG80
Pas beaucoup d'analyse Une intrigue tirée par les cheveux mais un film qui a le mérite de nous montrer bien assis que nous sommes dans nos fauteuils les joues pleines de pop corn qu'ailleurs la vie est dure!!!!
L'idée du destin de Jamal ne m'a pas plus, mais celle de la malchance du personnage principal qui s'inverse en chance extraordinaire est déjà mieux. Si les acteurs passent du très bon au "fantomatique" et si c'est parfois un peu cliché sur les bords, la mise en scène passe comme une lettre à la poste, autant que les 2h de film. On aime ou on n'aime pas, mais l'aventure à travers une Inde en pleine mutation m'a vraiment captivé. Ca reste captivant même si la dernière "partie" est un peu neuneu, et ça on le doit surtout à la caméra de Danny Boyle.
Une gigantesque baffe de cinéma !
Tout y est : mise en scène, cadrages, photo, rythme, musique, interprétation, scénario...
Même le générique est génial !
Bref un concentré d'émotions et de sensations
Le film aurait pu avoir une autre fin, mais si l'on y réfléchit un peu plus, fin bien plus intelligente qu'il n'y paraît.
Bref l'année 2009 commence en fanfare avec ce chef d'oeuvre, et j'ai même envie de revoir ce film, ce qui n'était pas arrivé depuis très longtemps...
Tout y est : mise en scène, cadrages, photo, rythme, musique, interprétation, scénario...
Même le générique est génial !
Bref un concentré d'émotions et de sensations
Le film aurait pu avoir une autre fin, mais si l'on y réfléchit un peu plus, fin bien plus intelligente qu'il n'y paraît.
Bref l'année 2009 commence en fanfare avec ce chef d'oeuvre, et j'ai même envie de revoir ce film, ce qui n'était pas arrivé depuis très longtemps...
lhomme-grenouille
Quelle corvée parfois d’avoir à écrire pour inciter où pour encenser, notamment quand il s’agit de films comme ce "Slumdog Millionnaire". Il y a toujours le refuge de ces formules toutes faites, des superlatifs élégants, ou bien des analyses techniques parfois bien commodes, mais on se prend vite à évider l’œuvre pourtant tant aimée. Et malgré tout, il est si difficile de ne pas crier sur tous les toits du monde ce que ce film nous a fait ressentir. Oui, c’est vrai, le talent de Danny Boyle à donner du rythme à ses histoires joue pour beaucoup ; la forme atypique et surprenante aussi. On pourrait souligner ce talent à toujours fouiller dans la misère sans sombrer dans le pathos ; à voir l’étincelle là où tous ne verraient qu’une grande fourmilière déshumanisante. On pourrait juger chaque cadre, la pertinence du montage, de l’écriture ou bien même encore de la partition du très renommé A.R. Rahman… Oui, comme toutes les pierres précieuses il a sûrement ses imperfections ce "Slumdog", mais il a ce que chaque cinéphile attend en arpentant les salles ; ce souffle, cette envie, cette émotion. Voila ce qu’est le cinéma qui nous fait vibrer. Voila le film entier et total que méritait Danny Boyle. Le réalisateur écossais a enfin sa pépite, et 2009 a peut-être – déjà – aux premiers jours de janvier, trouvé son joyau.
Un pitch qui ne me disait vraiment rien, un pays aux coutumes assez éloignées du monde occidental, un casting d’inconnus… Autant dire que "Slumdog Millionaire" ne m’a pas particulièrement fait saliver lors de sa sortie en salles, malgré la présence de Danny Boyle, soit l’un des meilleurs réalisateurs actuels, derrière la caméra. Mais, 8 Oscars plus tard (et après un gigantesque raz-de-marée médiatique), j’ai été contraint de revoir mon jugement afin de m’intéresser au chef d’œuvre de l’année 2009. Et sans aller jusqu’à ce statut un peu galvaudé, force est de reconnaître que Danny Boyle a, une fois encore, abattu un sacré boulot, et avec un sujet pas facile qui plus est ! Le contexte étant déjà suffisamment riche et dépaysant en soi, le réalisateur a eu l’intelligence de ne pas se perdre dans une intrigue alambiquée. Le récit de la vie du jeune Jamal (campé, entre autres, par Dev Patel, la révélation du film) est donc relativement classique avec ses traumatismes d’enfance (sa mère meurt devant ses yeux), sa relation compliquée avec son frère Salim (Madhur Mittal qui a vraiment la gueule de l’emploi), sa rencontre avec l’amour de sa vie (la troublante Freida Pinto), ses coups durs et enfin sa participation au jeu "Qui veut gagner des Millions ?" (dont le présentateur est campé par le formidable Anil Kapoor). L’histoire a beau être simple, elle n’en est pas moins superbe et bouleversante. Mais le petit plus apporté par Danny Boyle se retrouve davantage dans sa mise en scène que dans son scénario. On ne peut qu’être bluffé par le rythme et le montage (avec ses allers-retours temporels incessants) mais aussi par son sens du détail et son exigence d’authenticité dans la description du quotidien des bidonvilles indiens ou de la traite des enfants mendiants, sans oublier l’importance accordée à la culture musicale (le final en forme de comédie musicale façon Bollywood est une merveille). Car, à travers cette histoire, Boyle nous livre une description époustouflante d’un pays au final assez méconnu et qui supposait une intrigue assez optimiste pour ne pas sombrer dans le misérabilisme. "Slumdog Millionaire" fait d’ailleurs partie de ces rares films où le public espère de tout cœur un happy-end. Et que dire de l’interprétation bouleversante des gamins, tous plus doués les uns que les autres ? Bref, la consécration internationale du film n’a pas été usurpée… bien qu’elle ait été un peu exagérée, le film restant, une fois encore, assez classique dans son intrigue. Pas sûr d’ailleurs que la même histoire aurait eu droit au même accueil si elle s’était déroulée en Europe de L’Est… L’exotisme de l’Inde, associé le talent de Danny Boyle, a fait la différence.
Un très beau film, même si je le trouve dure, je le trouve super. Un Chef d’Oeuvre, 5/5.
selenie
Bon film de Danny Boyle qui prouve qu'il sait tout faire. L'histoire d'un gueux des bidonvilles qui gagne 20 millions et qui explique ses réponses par des instants forts de sa vie. Point fort : scénario en béton qui joue à merveille entre passé et présent. Point faible : un final facile avec des plans rapides de flashbacks pour faire pleurer la ménagère de 50 ans... Dommage. D'autres gênes se place ça et là (la ressemblance zéro entre les frangins adultes, BO inégal) mais sans réel importance. Le film emporte tout de même les suffrages par son originalité et par son émotion.
WHAOU ! S'il vous plaît, zappez tout de suite votre blockbuster et matez cette superbe aventure remplie d'émotions ! Rien n'est à dire du fait que j'ai été submergé encore une fois par l'une des pépites de Danny Boyle, encore je suis conscient qu'il n'a pas écrit le livre de cette dernière, mais toute fois la mise en scène fut construite avec brio !
Que dire : ce film est un petit bijou a lui tout seul. Des acteurs excellents une réalisation rythmée prenante et maitrisée à la perfection. On ne s'ennuit pas une seconde dans ce film au scénario fait de rebondissements et de dialogues ciselés. C'est un exploit de rendre un film aussi prenant sur un jeu télé connu de tous mais pas forcément transposable sur grand écran. Bref superbe film les mots me manquent devant le génie de danny boyle
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