Une préparation incognito
On sait que pour camper Bridget, Renée Zellweger n'a pas hésité à prendre 10 kg (4000 calories par jour ! ) et à travailler son accent anglais. Ce que l'on sait moins, c'est qu'elle a exercé 1 mois durant dans une société d'édition pour préparer son rôle. Son pseudo? Bridget Cavendish. Son fiancé ? Jim Carrey dont elle arborait la photo. Une incongruité qui a étonné ses collègues sans les alerter.
Lorsque Bridget fait chuter la vente du Chardonnay
En 2008, soit 4 ans après le second volet, l'héroïne culte aurait été rendue responsable de la chute des ventes du Chardonnay, cépage blanc français très associé à la consommation féminine en général et à celle de la dame en particulier. Selon Oz Clarke, l'un des meilleurs spécialistes mondiaux du vin, elle aurait découragé les tenanciers de bar, en rendant sa consommation moins "sexy". A discuter.
Une culotte gainante enviée de toutes
La fameuse culotte couvrante, portée par Renée Zellweger et découverte inopinément par Hugh Grant, a connu son heure de gloire après le premier film. Réclamée de toutes, elle a bouleversée les certitudes du monde de la lingerie féminine, qui a vu ses ventes augmenter de 17% tandis que celles du string baissaient de 7%. Signé par l'acteur, le sous vêtement original été vendu aux enchères 2000 £.
Qui d'autre en Bridget Jones ?
Le point commun entre Patricia et Rosanna Arquette, Juliette Binoche, Selma Blair, Cate Blanchett, Helena Bonham Carter, Toni Collette, Cameron Diaz, Liz Hurley, Nicole Kidman, Sophie Marceau, Nicollette Sheridan, Tilda Swinton, Kristin Scott Thomas, Emma Thompson, Naomi Watts, Kate Winslet et Catherine Zeta-Jones (entre autres) ? Elles ont toutes passé les castings pour incarner Bridget Jones !
Mark Darcy n'a failli pas être... Mark Darcy !
Colin Firth a dans un premier temps décliné le rôle, ne voyant pas de "porte d'entrée" pour son héros : "Il traîne là, fait des grimaces, prend l'air important. Ce n'est pas très attirant !'". L'acteur a par la suite changé d'avis en décelant son potentiel comique : "Il ne fallait pas être charmant, juste être incroyablement distant et peu sympathique. C'était libérateur, ça m'a convaincu !" Ouf !
Un décès entre les deux volets...
Tous les personnages apparaissant dans le premier et le second volet sont joués par les mêmes acteurs, à l'exception de Mme Darcy, mère de Mark. Interprétée par Charmian May dans Le Journal de Bridget Jones, elle est incarnée par Shirley Dixon dans le second, suite à la mort de la première...
Une autre fin pour Bridget ?
La fin du Journal de Bridget Jones est différente selon son pays de diffusion. En Europe et en Australie, le générique propose un montage d'interviews à propos de Mark et de Bridget, données par leur entourage. Aux Etats-Unis, il montre un film de famille dans lequel les héros, encore enfants, courent non loin d'une pataugeoire. Chaque fin alternative se retrouve dans les bonus dvd du-dit pays.
Pourquoi Mark Darcy ?
L'inspiration principale des romans signés Helen Fielding est Orgueil et préjugés de Jane Austen. Obsédée par Colin Firth (alias Mr Darcy dans le téléfilm), la Bridget du livre parvient même à l'interviewer. Afin de jouer sur la référence, la production a choisi le même acteur pour incarner son propre Mark Darcy. La fameuse interview du vrai Colin Firth par Bridget est présente dans les bonus DVD.
Un peu plus de Hugh Grant s'il vous plait !
Le Hugh Grant du Raison et sentiments de Jane Austen, mis en scène par Ang Lee, a également inspiré la romancière Helen Fielding dans ses romans. Logiquement désiré pour l'adaptation cinéma, le comédien a décliné l'offre dans un premier temps puis a changé d'avis en apprenant que Richard Curtis en signait le scénario. A noter que Daniel Cleaver apparait moins dans le livre que dans le film.
Affrontements cultes ET improvisés
Les bagarres de nos deux héros, que ce soit devant un restaurant grec au son de It's raining men ou dans une fontaine au son de I believe in a thing called love, sont aussi mythiques qu'improvisées. Désireux de ne surtout pas les chorégraphier, Colin Firth et Hugh Grant ont cherché à garder la fraicheur d'une scène de lutte pathétique et hilarante car ni spectaculaire, ni violente, ni même habile.