De quoi ça parle ?
Rappelé du front à la suite de la mort de son plus jeune frère, décédé des suites d’une prétendue intervention de police, Abdel retrouve sa famille déchirée. Entre le désir de vengeance de son petit frère Karim et le business en péril de son grand frère dealer Moktar, il essaye de calmer les tensions. Minute après minute, la cité Athena se transforme en château fort, théâtre d’une tragédie familiale et collective à venir. Au moment où chacun pense avoir trouvé la vérité, la cité est sur le point de basculer dans le chaos…
Athena, de Romain Gavras avec Dali Benssalah, Sami Slimane, Anthony Bajon…
Qu’en pense la presse ?
Selon Cinemateaser
Quand un grand cheval blanc apparaît entre les barres d’immeubles, le surréalisme vient bouleverser l’expérience du spectateur, pris en étau entre le réalisme cru du « film de banlieue » et des images venues d’ailleurs, du gouffre de Helm ou d’Hollywood. Choc esthétique et politique – le film finit sur un propos très actuel –, ATHENA s’impose comme l’un des meilleurs films français du XXIe siècle.
5/5
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Selon GQ
Dire qu’Athena est une prouesse relève de l’euphémisme. C’est un film comme on en voit peu dans une vie de spectateur, qui ne s’interdit rien et prend tous les sujets qu’il aborde à bras le corps. [...]Rien à craindre, Athena est inoubliable.
5/5
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Selon Le Journal du Dimanche
Le récit, régi par une unité de lieu et de temps, enchaîne les plans-séquences virtuoses pour restituer le chaos avec une puissance et une fureur rares.
4/5
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Selon Variety
Athena n'est pas de la propagande. Bien sûr, le film peut être vu comme un appel à l'action, donnant au public un avant-goût de la résistance, mais les scénaristes – Gavras, Ly et Elias Belkeddar – tempèrent cet aspect-là, avec beaucoup de prudence.
4/5
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Selon The Hollywood Reporter
Athena est un choc, un film qui vous laissera meurtri, jusqu'à sa révélation finale qui nous donne à réfléchir. 4/5
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Selon Le Parisien
Les stéréotypes (sur les fils d’immigrés, la radicalisation, les flics, les jeunes) sont écartés, et, en brouillant tous les repères, Gavras finit par toucher une forme d’abstraction théâtrale puissante. Mais si son portrait de frangins insurgés joue sur cette radicalité, il en constitue sa limite aussi.
3/5
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Selon Les Inrockuptibles
Gavras revendique de se placer sous l’égide de la tragédie antique (rien que ça), il a en réalité plus à voir avec l’imagerie des pubs de paris en ligne qu’avec une quelconque tradition dramatique d’ancienne noblesse.
1/5
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