Note de la Rédaction : cette publication n'a pas pour ambition (ni but caché) de parler politique, mais simplement de partager une anecdote étonnante liée à un classique du cinéma et à un personnage public actuellement au coeur de l'actualité. Nous comptons donc sur votre civisme dans les commentaires de cette page.
Ce souvenir, il l'a déjà partagé quelque fois, la première dans les colonnes du journal Sport Auto puis quelque temps après dans celles du Parisien : en 1971, alors qu'il n'a que 17 ans, François Fillon a approché de près Steve McQueen et l'univers de l'automobile à l'écran, via le tournage du Mans, film culte signé Lee H. Katzin.
Passionné de courses automobiles, le récent vainqueur de la primaire de droite a confié ne jamais rater à l'époque une occasion d'assister aux 24 heures du Mans, événement incontournable de sa ville d'origine, organisé par l'association de son frère Pierre Fillon, président de l'Automobile Club de l'Ouest.
C'est cette tradition familiale qui lui a offert l'opportunité de jouer les figurants dans le film de référence pour les passionnés du genre, centré autour du combat d'un pilote automobile déterminé à revenir dans la course après un grave accident.
Une apparition qui, si elle a marqué l'homme politique, n'a en revanche guère laissé de trace, l'intéressé ayant confié à regret : "On ne m'y voit pas, mais j'y suis".
Redécouvrez le film culte de Steve McQueen et... de François Fillon
