"Si vous avez aimé les premiers Terminator, vous allez adorer Terminator: Genisys". Voilà une assertion qui devrait définitivement rassurer, du moins intriguer, les fans de la franchise SF. Car cette déclaration, on la doit à James Cameron, créateur de l'univers et réalisateur de Terminator et Terminator 2.
Un film extrêmement respectueux des deux premiers films
Dans une vidéo, le cinéaste, qui se présente comme un simple "fan" n'ayant pas été impliqué sur le projet, parle ainsi d'un long métrage "très fidèle" aux deux premiers, d'un "nouveau souffle", d'une "renaissance", d'un Arnold Schwarzenegger amenant son personnage "plus loin" ou encore d'un twist ( spoiler: John Connor en méchant) "génial" : en bref, il ne tarit pas d'éloges sur un opus qu'il considère comme "le troisième film de la série".
Le vrai Terminator 3
James Cameron s'est toujours distingué par son indépendance, son caractère affirmé et son franc-parler (notamment sur la mauvaise utilisation de la 3D depuis Avatar) : difficile dès lors de taxer le réalisateur de "vendu", lui qui avait révélé "ne pas être un grand fan" de Terminator 3 le soulèvement des machines et Terminator Renaissance lors d'un échange Reddit avec des fans en avril 2014. 30 ans après les premiers pas du T-800 et à quelques jours de son retour, le papa du Terminator fait donc définitivement grimper l'attente et l'impatience autour de ce cinquième volet.
Une renaissance
Une impatience exacerbée par de nouvelles images, glissées dans cette featurette : l'arrivée du Terminator en 1984, face à des voyous à qui il "emprunte" des vêtements. Cette scène, intégralement retournée avec un Schwarzie rajeuni grâce aux images de synthèse, semble absolument bluffante. Même décor, même photo, même... Terminator qui affronte ensuite un T-800 vieillissant dans un duel homérique. "I'll be back" avait-il dit. Il a tenu sa promesse.